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Critiques de Vicki Baum (76)
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Shanghai hôtel

Un auteur qui a eu beaucoup de succès en son temps, Vicki Baum, mais qui a dû publier cet ouvrage dans la clandestinité en 1939 car les nazis brûlaient les livres dits "subversifs".

C'est le récit de neuf personnages que rien ne prédisposait à se rencontrer si ce n'est leur passage à Shanghaï, pendant une période troublée.

Un récit enlevé, des personnages contrastés, une bonne finesse psychologique.
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Lac aux Dames

Urbain Hell, jeune homme pauvre se rend aux Lac-aux-dames pour y travailler pendant l’été en tant que maître-nageur. Il devient vite le chouchou de ces dames. Entre entraînement à la nage pour une course en septembre et les leçons de natation pour les privilégiés, il attend une grande nouvelle qui tarde à venir mais qui va changer sa vie.



Le sous-titre de ce roman est : Roman gai d'amour et de disette. Tout est dit, et je ne parlerai pas de gaité. Je me suis un peu ennuyée en attendant qu’il se passe quelque chose. Un peu comme le héros qui attend la clientèle les jours de pluie. Tout est bien qui finit bien malgré tout.

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Grand Hôtel

Berlin, fin des années 20. Quelques personnages hauts en couleur se croisent dans le hall - et les chambres - d'un palace, où chacun croit avoir trouvé le lieu de son destin.



Lecture volontairement très lente pour ce livre. Je n'avais pas envie de sortir trop vite de mon séjour dans cet hôtel, dans cette ville et époque que j'affectionne tout particulièrement.

Les rencontres y furent nombreuses et non dénuées d’intérêt. Elles reflètent la vie dans ce Berlin d'entre deux guerres.
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Grand Hôtel

A la fin des années 1920 -le roman est paru en 1929- dans le Grand hôtel de Berlin, l’hôtel le plus luxueux de la capitale, différents personnages se croisent.



Il y a la Grousinskaïa, une danseuse classique vieillissante qui continue de se produire malgré un succès mitigé et une fatigue grandissante. Elle fait la connaissance du baron Gaigern, un très beau jeune homme qui finance son train de vie dispendieux en faisant le rat d’hôtel. Gaigern sert de guide des plaisirs berlinois à Kringelein, un provincial falot. Atteint d’une grave maladie, ce dernier a décidé de mener la grande vie en attendant la mort mais ne sait pas trop comment s’y prendre.



Au Grand hôtel Kringelein croise Preysing, le patron de l’entreprise textile dans laquelle il était employé comme comptable. Alors qu’il négocie la fusion de son entreprise avec les Produits tricotés de Chemnitz, Preysing loue les services de la jeune Flammèche, une secrétaire qui, pour arrondir ses fins de mois, pose nue ou se vend comme escort girl. Toutes ces allées et venues sont observées par le docteur Otternschlag, une gueule cassée qui soigne ses traumatismes à la morphine.



Gaigern vole, Flammèche se prostitue mais l’autrice ne porte aucun jugement moral sur ces agissements qui apparaissent comme des gagne pain. Ces deux personnages sont avant tout jeunes, beaux et capables de compassion. Le hall du Grand hôtel, nous dit Vicki Baum, est comme une métaphore de la vie dont il faudra bien sortir un jour par la porte toujours ouverte.



Mon avis sur ce roman est mitigé. Il m’a semblé inégal avec des passages ennuyeux -les trop longues négociations d’affaire de Preysing- et d’autres plus plaisants -la transformation de Kringelein une fois qu’il a enfilé un costume du meilleur tailleur.



Je trouve intéressante la présence des séquelles visibles de la guerre : le docteur Otternschlag, le liftier manchot et Gaigern, ancien combattant qui exprime ses difficultés de réinsertion.



« Au retour, cela n’a pas été tout seul. Quand l’un de nous disait « là-bas », c’est comme s’il disait « chez moi »… ou presque. Nous vivons maintenant, en Allemagne, comme dans un pantalon devenu trop étroit. On est devenu indiscipliné et on n’a pas de place »



Bientôt les nazis, dont il n’est pas encore question ici, n’auront plus qu’à saisir ce mal être.
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Sang et volupté à Bali

Incontournable quand on visite Bali et qu'on veut ramener plus que de belles photos..
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Hôtel Berlin 43

La chute d'un mythe : le nazisme. C'est la fin, Berlin est ravagé par les bombes les forces Russes sont aux porte de la ville.

Dans un hôtel de luxe réservé aux hauts responsables nazi et à leur famille chacun fait semblant de continuer comme si de rien était,. Beaucoup préparent en secret leur exil. Et puis vient se greffer un élément de la contestation anti nazie...
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Shanghai hôtel

Ce livre a été aussi publié sous le titre : bombes sur Shanghaï (livre de poche n°2417 ). Voir ma critique.
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Lac aux Dames

Lu 30 pages et basta !

Très déçu car j'ai aimé cet auteur en lisant Sang et Volupté à Bali .

Comme je n'avais pas la fièvre faut il déclarer que toute la responsabilité incombe à la traductrice Héléne Chaudoir ?

Bien possible.
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Lac aux Dames

Ce roman décrit les relation hommes-femmes (mode d'emploi), à travers les aventures de Urbain Hell et les pensionnaires du Grand Hotel Petermann. J'aime l'époque, l'entre-deux-guerres, ce qu'elle a de gaieté, empreint d'une grande tristesse. L'angoisse d'un monde qui se brûle par les deux bouts de la chandelle !
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Grand Hôtel

Tout d’abord, le décor : un hôtel de luxe à Berlin, à la fin des années 20. Puis, les personnages : un gentleman escroc, insouciant et charmeur, tirant le diable par la queue et sur le point de réaliser un « coup » ; une danseuse russe sur le déclin, lucide et amère, ayant autrefois connu la gloire et donnant à Berlin des représentations devant un maigre public ; un employé de province, condamné par la maladie, ayant récemment hérité de son père et venu profiter pleinement de ses derniers instants, décidé à prendre sa revanche sur une existence terne ; le patron de ce dernier, bourgeois parvenu et hautain, anxieux avant d’entamer des négociations vitales pour ses affaires et, partant, sa situation ; une jeune, modeste et mignonne dactylographe, à l’occasion modèle nue pour des photographes, et ne dédaignant pas parfois d’ « accompagner » en voyage des messieurs fortunés, puisqu’il faut bien vivre.

Etrange, dit l’auteur, ce qui arrive aux hôtes du Grand Hôtel : aucun d’eux n’en ressort exactement tel qu’il était entré. En effet, dans ce quasi huis-clos - hormis quelques scènes dans un théâtre, et en d’autres endroits de Berlin lors d’une virée mémorable pour le petit employé de province, toute l’action se déroule dans l’hôtel -, les trajectoires des protagonistes vont se croiser, se frôler, se rencontrer ou se heurter. En quelques jours, la vie de chacun d’eux en sera bouleversée. Certains y gagneront (l’amour, la dignité), d’autres y perdront (l’honneur, ou pire encore).

L’ambiance est luxueuse et feutrée, avec le jazz pour arrière-fond musical (très présent). On y danse, on y fait des affaires, on y cherche l’aventure. Mais pour servir ce petit monde, les employés de l’hôtel, ces prolétaires, s’activent. Ainsi, par petites touches, l’auteur nous donne également à voir la violence des rapports sociaux et la lutte de chacun pour sa survie. Bref, l’hôtel, cette « grande boîte », comme image de la vie en général.

Tableau plutôt sombre donc, où, malgré l’effervescence, un grand sentiment de solitude domine. Il est incarné par le personnage émouvant d’un médecin, gueule cassée de la Grande Guerre et morphinomane, qui passe le plus clair de son temps dans le hall. Il y observe l’agitation et, en philosophe pessimiste, n’y voit que mirage et néant. Laissons-lui le mot de la fin : C’est affreux, se dit-il. Toujours la même chose. Il ne se passe rien. On est affreusement seul. Le monde est un astre qui ne réchauffe plus […] Si encore, dans cette grande boîte, il se passait quelque chose qui valût la peine. Mais non…rien ! […] On entre…on sort, on entre…on sort, on entre…on sort…

Un très beau roman.


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Lac aux Dames

Urbain Hell est un jeune homme de 26 ans, ingénieur sans emploi, champion d'Autriche de natation qui a trouvé à s'engager pour l'été comme maître nageur à Lac-aux-Dames, station touristique de montagne. Il pleut, l'eau est à 18° C et Hell, payé à la leçon, ne mange pas souvent à sa faim mais son orgueil l'empêche d'en faire mention aux nombreuses admiratrices qui lui tournent autour. Car Hell est un très beau garçon et, à son corps défendant, séduit toutes les femmes, jeunes ou moins, mariées ou non, dont certaines n'hésitent pas à lui imposer baisers et attouchements. Mais lui est tombé amoureux de May. Et puis il attend une lettre qui règlera tous ses problèmes financiers.



C'est gentil cette histoire, un peu ennuyeux parfois car il ne se passe pas grand chose avant les derniers chapitres où l'action se précipite. L'intérêt principal est de découvrir la vie mondaine dans une station balnéaire au début du 20° siècle -le roman est paru en 1930. C'est bien écrit et les sentiments des personnages sont bien décrits. Je déplore cependant un regard paternaliste condescendant porté sur les femmes, notamment une jeune sourde-muette comparée à plusieurs reprises à un (bon) chien.
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Hôtel Berlin 43

Nouvelle traduction pour ce roman paru aux Etats-Unis en 1944, et qui raconte, de façon prémonitoire le déclin et la chute du nazisme.L'un des intérêts principaux de ce livre, c'est la prescience, de la part de l'auteur , de ce qui attend l'Allemagne au sortir de la bataille de Stalingrad, décrite comme un tournant essentiel pour le personnage central qu'est Martin Richter, jeune résistant en fuite, et pour nombre de jeunes soldats allemands qui ont survécu au carnage. On a donc tendance à lire ce livre un peu comme le résultat d' une « performance », issue d'une solide documentation, que l'auteure, interdite de séjour dans l'Allemagne nazie, revendique dans sa préface, et cela n'est pas inintéressant. J'ai cependant été un peu gênée par le caractère quelque peu théâtral de beaucoup de scènes , aspect induit par une situation de huis-clos. A d'autres moments, c'est l'aspect cinématographique qui prend le pas, le roman étant aussi structuré par le chassé-croisé des occupants de l'hôtel berlinois où se passe l'intégralité du roman. Certains personnages très typés ( notamment les personnages féminins, comme la jeune actrice auto-centrée) peuvent d'ailleurs renvoyer aux personnages du cinéma hollywoodien de l'époque d'écriture. La photo de couverture est révélatrice du charme un peu suranné de cette fiction. Cela peut peut-être fonctionner pour certains lecteurs, mais je suis un peu restée à l'extérieur. (SP , Masse critique).
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Grand Hôtel

J'ai bien aimé le roman, sans être vraiment emballée.

Le début du roman met en place les personnages et les fait évoluer, mais un peu de loin, sans vraiment qu'ils soient attachants (ou détestables). On les voit un peu comme le docteur Otternschlag avec détachement et indifférence.Puis çà s'anime un peu avant de tomber dans un ennui profond avec les pourparlers de Preysing, qui s'étalent sur des pages et des pages.

J'ai failli lâcher le livre à ce moment.

Ensuite, c'est très bien, les personnages s'animent, deviennent vivants, prennent de l'épaisseur. Les intrigues commencent à se dessiner et le roman gagne en intérêt. Les personnages s'entrecroisent, passent du temps les uns avec les autres.

La fin du roman, n'est pas vraiment surprenante mais offre à chacun des personnages un très net changement dans le chemin à priori tout tracé de sa vie.

Au final, un roman plaisant, mais qui a du mal à démarrer.
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Shanghai hôtel

Désolée, je n'ai pas du tout aimé ce livre. Je ne sais pas si cela vient de la traduction. Aucun des personnages ne m'a été sympathique, ni n'a trouvé une quelconque compassion ou empathie. J'ai trouvé le livre trop long et j'ai eu du mal a retenir les portraits des personnages.

Je n'ai pas compris ce qui n'a pas accroché avec ce livre car l'histoire, le concept et la réalité des protagonistes sont tous les ingrédients que j'aiment habituellement.

Par curiosité, je lirai tout de même un autre livre de Vicki Baum.
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Grand Hôtel

En relatant quelques jours de la vie d’un grand hôtel berlinois, c’est un regard sur la société des années 20 que donne avec talent Vicki Baum. Pour autant, le texte n’est pas daté tant les tourments, les aspirations, le monde sans concession des affaires, les petites mesquineries de la vie, les sentiments ont ici une portée universelle.



Installé pendant de longues heures et de longs mois dans le hall du Grand Hôtel, le docteur Otternschlag pose un regard cynique sur les clients qui s’y croisent. Vivant dans une effroyable solitude, l’homme marqué dans ses chairs par une guerre pas si lointaine ouvre et ferme ce riche roman où en quelques jours des drames vont se jouer, des vies se transformer, un amour naître et la mort frapper. Au Grand Hôtel séjourne le temps de quelques représentations la Grousinskaïa, une danseuse vieillissante qui ne remplit plus les salles. Elle a voué sa vie à son art, a touché les sommets de la gloire et ne peut se résoudre à accepter le travail du temps sur son corps et sa carrière. Débarque à l’hôtel, le souffreteux Otto Kringelein : se sachant condamné par la maladie, ce comptable d’une grande usine de textiles est bien décidé à mener grand train avec ses économies, à vivre enfin comme un homme riche, lui qui a passé de longues années à compter le moindre sou d’une vie de labeur. Dans cet hôtel de standing est aussi installé un fringant et beau jeune homme, débordant de vie et de charme, le baron Gaigern. Il séduit tous ceux qui le croise, cachant la réalité d’une vie de bandit mondain. Dans les couloirs de l’hôtel, Kringelein croise le directeur général Preysing, son patron venu pour affaires et qui ne le reconnaît à peine. L’homme d’affaires va livrer une négociation au bras de fer (magnifique scène !) tentant le tout pour le tout mais va aussi s’amouracher d’une jeune assistante, Flammèche, prête à tout contre de l’argent sonnant et trébuchant. Ces protagonistes vont croiser leurs destins, pour le meilleur et pour le pire, dans l’amour et la haine, dans les faux-semblants et les rapports régis par l’argent, dans les mensonges et les mesquineries. Chacun ressortira de ce séjour à jamais transformé. Et le Grand Hôtel, plus qu’un simple décor, se révèle un personnage à part entière du roman de Vicki Baum : si les clients passent, si les histoires laissent des marques ou sont vite oubliées, c’est toute une vie qui fourmille dans ces murs, celle des réceptionnistes, des chasseurs, des femmes de chambre… Une vie faite de bonheurs, de déceptions, de menus larcins, de petites hontes, d’amours déçues, de travaux éternellement recommencés. Grand Hôtel livre un regard aigu sur l’humain qu’il sonde avec justesse, sur la société et la lutte des classes, sur le pouvoir biaisé de l’argent et sur les traces terribles de la guerre. L’ensemble est véritablement jubilatoire et a donné un film à succès dans les années trente (« Grand Hôtel » d’Edmund Goulding avec entre autres Joan Crawford et Greta Garbo) que l’on a vite envie de découvrir une fois le roman refermé.
Lien : http://lencreuse.over-blog.com
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Bombes sur Shangai

Je repense à une phrase entendue dans un film (Artemisia) : on parle souvent trop devant un tableau. Doit-on, peut-on parler devant un livre ? Je viens de finir Bombes sur Shanghaï, que j’ai lu lentement. J’en retire une forte impression. Mais cela, c’est personnel. Je n’en dirai donc rien de plus que ceci : j’aime beaucoup Vicki Baum, je la compare à Victor Hugo.
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Hôtel Berlin 43

J'aime beaucoup lire sur l'Allemagne au coeur de la Seconde Guerre Mondiale, et lorsque le récit se déroule à Berlin je suis encore plus contente. Je suis toujours à la recherche de nouveaux textes, aussi lorsque mon chemin a croisé celui de ce livre, je n'ai pas pu résister. Un grand merci aux Editions Métailié pour avoir mis un exemplaire numérique de cet ouvrage à ma disposition.



1943, dans un palace à Berlin. Poussés par le rationnement et les bombardements, tout ce que la ville compte de diplomates, de généraux, d’hommes d’affaires ou de héros de retour du champ de bataille se retrouvent dans ce lieu au luxe suranné, comme dans un ultime refuge. Plus personne ne croit à la victoire. Au milieu de tous ces hommes brillent Tilli, une femme facile mais désargentée, et Lisa Dorn, égérie du Führer pour qui la foule envahit encore chaque soir le théâtre.



Pour la petite histoire, ce livre a été écrit en anglais par une auteure allemande exilée aux Etats-Unis. Mais le plus dingue est qu'il a été écrit en 1943, nous sommes donc face à un roman d'anticipation. Ce qui est dingue, c'est que presque tout va se réaliser tel que Vicki Baum l'avait imaginé.Le livre est ici édité avec une nouvelle traduction que j'ai beaucoup apprécié. Super idée !



Ce bouquin, c'est une tranche de vie dans un hôtel de luxe berlinois. Le livre débute sous un déluge de bombes et nous allons rencontrer tous les protagonistes de cette histoire. J'ai eu la sensation que ce livre serait facilement adaptable au théâtre car finalement, toute l'action se déroule à l'intérieur de l'hôtel. Les personnages sont bien dépeints, et j'ai trouvé Martin Richter et Lisa Dorn très attachants. Leur histoire nous tient en haleine, j'ai même eu peur pour eux à certains passages.



C'est une belle découverte que j'ai fait là. Le livre est très vivant, les dialogues apportent réellement quelque chose au récit. Même si le roman est un huis-clos, on ne s'ennuie jamais. Les interactions entre les personnages sont toujours intéressantes et c'est un petit régal de les voir évoluer, se chercher, se chamailler, se rencontrer ...



N'hésitez pas à passer la porte tournante de ce bel hôtel berlinois !
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Futures vedettes

génial j'ai lu ce livre à 14 ou 15 ans. C'est exactement la même image de couverture. J'en ai 73 presque à ce jour. C'est en retrouvant le nom de l'auteur que j'ai voulu retrouvé ce que j'avais lu d'elle.
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Sang et volupté à Bali

Une plongée entre romance historique et étude ethnographique dans une civilisation exotique. Le début est laborieux, freiné par la présentation de nombreux personnages qu’on mélange longtemps et un vocabulaire local rendu abscons par l'absence de tout index. On mange, on aime, on prie, on meurt. Culture du riz, polygamie, sacrifices et combats de coqs, sous l’œil menaçant du colon hollandais. Un passé ancré qui fait encore le Bali d'aujourd'hui. "Ce qui est, ne peut jamais finir. La vie est indestructible. Elle n'est et ne peut être diminuée ni altérée. Seul le corps fragile passe. L'esprit est impérissable, éternel, indissoluble."



Sous forme de haïku :



Bali au passé.

C'est le Bali d'aujourd'hui.

La vie éternelle.
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Solitude (Ulle)

Dès les premières pages du roman, je pensais découvrir un chef-d'oeuvre. Le style de l'auteur , très envoûtant , un personnage principal attachant, l'enfant nain et puis au fur et à mesure que ce dernier quittait l'enfance, la magie a cessé d'opérer... L'histoire , tel un soufflé , est retombée et l'ennui s'est installé. Dommage, tout avait si bien commencé ....
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