Citations de Vincent Brugeas (143)
J'ai toujours été un fils respectueux et obéissant. Pas cette fois. Je serai chevalier, qu'il le veuille ou non, avec ou sans son aide...
- Des remparts construits par des Grecs, défendus par des Arabes et assiégés par des Normands, Lombards et d'autres races, au service de Byzance. Un sacré bordel, hein ?
La fiction a parfois plus à nous apprendre sur nous-mêmes que la réalité.
- Entre nous, s’attaquer au Prince Jean… Fallait oser.
- Pour ça, il fallait deux alliés de taille que tu ne possèdes pas…
- Ah ! Et lesquels !?
- Des couilles.
Toute société civilisée réunit des maîtres et des laquais. Les Pirates ne sont ni les uns, ni les autres.
C’est à l’attachement de ses hommes que l’on jauge la valeur d’un chef.
Je n’avais que notre devoir en tête, sans me rendre compte de notre épuisement. J’ai oublié que nous n’étions que des hommes… avec nos propres limites…
André Zirnheld était l’un des Français les plus appréciés de l’unité. « The Good French » comme l’appelait Stirling. Beau parleur, plein d’humour, il me ressemblait finalement beaucoup. En moins séduisant peut-être.
Professeur de philosophie, poète à ses heures, André s’était porté volontaire pour rejoindre Bergé et le SAS. Il ne plaignait pas de la guerre. Il la vivait comme une expérience à part, comme nous tous.
La dépression de Qattara est en partie composée d’immenses lacs salés. Les croûtes de sel à leur surface sont susceptibles de rompre sous le poids des véhicules.
Ne regarde pas vers le passé quand l'avenir te tend les bras !
Être riche et bien pourvu, ça s’apprend dès la naissance.
J’ai toujours dit qu’un cosaque valait sept hommes ordinaires. A nous de le prouver !
A-t-on besoin de preuves quand une simple rumeur peut détruire la plus solide des réputations ? A-t-on besoin de preuves quand la plus vile des calomnies peut abattre le plus saint des hommes ?
Une balle traçante, pour diriger le tir. Une balle perforante, pour percer le blindage et les réservoirs.
Et enfin, une balle incendiaire, pour mettre le feu au carburant.
- Et vous Seigneur Almaric ?
- Je servirai sous ses ordres. Une vie courte et plaisante, telle est ma devise, par Mitra ! Et avec Conan le coupe-jarret, elle risque fort de l'être !
Eh ben...membre de la SS...bras droit d'Heydrich...traître...m'est avis que t'étais un sacré connard...
David ne comptait pas en rester là. Après tout, son objectif était de mettre l’ennemi sous pression constante.
Nouveaux objectifs, nouveaux départs. En croisant les doigts.
- Qui êtes-vous ?
- Nous sommes la justice.
- Comment osez-vous me menacer dans mon château. Pour qui vous prenez-vous ? Mais qui êtes-vous ?
- Nous sommes Robin.
Durant des nuits entières, j'ai entendu murmurer mon nom. Il était comme chuchoté à mon oreille d'une voix sifflante.
Puis ce fit bientôt des propos obscènes. Des idées odieuses et perverses. Il me disait s'appeler Natohk et prétendait me désirer ardemment.
Nuit après nuit, il me semblait de plus en plus réel. Je pouvais voir son regard qui me dévisageait... avec voracité.
Je pouvais le sentir autour de moi.. Je sentais parfois son souffle sur ma poitrine ou mes lèvres.
J'ai prié Isthar... Supplié les prêtres de me délivrer de cette malédiction. En vain!
L'existence même de cette unité repose sur notre inconscience face au danger.