Critiques de Yasuhisa Hara (357)
A peine nos héros partis s'entraîner qu'ils sont déjà soumis à l'épreuve du feu ! C'est ce que prépare ce nouveau tome de transition qui nous présente le pays de Sei très agité par la guerre, une guerre qu'il a voulu mais une guerre qu'il subit également.
Yasuhisa Hara était très doué pour les intrigues de cour, il l'est tout autant pour les intrigues guerrières. Il met en scène ici le placement des pièces du futur puzzle de cette vaste guerre à l'échelle d'un pays aussi immense que la Chine et c'est fascinant et effrayant à la fois. J'ai beaucoup aimé suivre les différents fronts, y découvrir les figures fortes en place, et surtout recevoir en pleine face la surprise d'un front inattendu avec un pays sur le retour. C'était extrêmement bien fait !
En plus, l'auteur associe cela, toujours, à l'ascension des héros qui apprennent leur nouveau rôle, celui qu'ils aimeraient mener une fois adulte : Sei apprend difficilement à régner avec tout ce à quoi il est confronté, Shin lui est propulsé sur le champ de bataille à diriger son groupe de 100 hommes sous la houlette de Ouki, avec Kyoukai qui vient le rejoindre, et Karyo Ten poursuit son apprentissage de la stratégie avec une guerre grandeur nature qui s'offre à lui. C'est bien plus intéressant de suivre nos héros en temps de guerre qu'en temps de paix, cela permettra, j'en suis convaincue, de les voir évoluer bien plus rapidement et réalistement.
Mais le sel de ce tome vient surtout en fait de la découverte d'un pays voisin : Zhao, pays en dormance qui d'un coup se réveille et attaque avec en tête les rancoeurs d'anciennes batailles très violentes et qui, donc, vont tout ravager avec une violence mais aussi un talent incroyables. De nouvelles figures fascinantes apparaissent qui collent des frissons et on découvre également un certain passé de Qin qui met en valeur des personnages connus, une mayonnaise qui prend extrêmement bien et qui nous met l'eau à la bouche pour la suite de cet arc. Entre personnages fous et personnages charismatiques, impossible de ne pas craquer pour cette amorce !
J'ai donc dévoré ce tome une nouvelle fois, passionnée par les nouvelles aventures de nos héros qui se déclenchent et commencent à prendre une belle ampleur. J'avais peur que l'auteur expédie un peu cela comme la dernière fois en ne nous montrant qu'un petit bout de cette vaste guerre. Il semble avoir corrigé le tir et proposer à l'inverse une histoire sur plusieurs front où il cherche au contraire à montrer l'ampleur, la violence et l'horreur de celle-ci, le tout pendant que nos héros font leurs armes. Excellence en perspective !
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
Yasuhisa Hara était très doué pour les intrigues de cour, il l'est tout autant pour les intrigues guerrières. Il met en scène ici le placement des pièces du futur puzzle de cette vaste guerre à l'échelle d'un pays aussi immense que la Chine et c'est fascinant et effrayant à la fois. J'ai beaucoup aimé suivre les différents fronts, y découvrir les figures fortes en place, et surtout recevoir en pleine face la surprise d'un front inattendu avec un pays sur le retour. C'était extrêmement bien fait !
En plus, l'auteur associe cela, toujours, à l'ascension des héros qui apprennent leur nouveau rôle, celui qu'ils aimeraient mener une fois adulte : Sei apprend difficilement à régner avec tout ce à quoi il est confronté, Shin lui est propulsé sur le champ de bataille à diriger son groupe de 100 hommes sous la houlette de Ouki, avec Kyoukai qui vient le rejoindre, et Karyo Ten poursuit son apprentissage de la stratégie avec une guerre grandeur nature qui s'offre à lui. C'est bien plus intéressant de suivre nos héros en temps de guerre qu'en temps de paix, cela permettra, j'en suis convaincue, de les voir évoluer bien plus rapidement et réalistement.
Mais le sel de ce tome vient surtout en fait de la découverte d'un pays voisin : Zhao, pays en dormance qui d'un coup se réveille et attaque avec en tête les rancoeurs d'anciennes batailles très violentes et qui, donc, vont tout ravager avec une violence mais aussi un talent incroyables. De nouvelles figures fascinantes apparaissent qui collent des frissons et on découvre également un certain passé de Qin qui met en valeur des personnages connus, une mayonnaise qui prend extrêmement bien et qui nous met l'eau à la bouche pour la suite de cet arc. Entre personnages fous et personnages charismatiques, impossible de ne pas craquer pour cette amorce !
J'ai donc dévoré ce tome une nouvelle fois, passionnée par les nouvelles aventures de nos héros qui se déclenchent et commencent à prendre une belle ampleur. J'avais peur que l'auteur expédie un peu cela comme la dernière fois en ne nous montrant qu'un petit bout de cette vaste guerre. Il semble avoir corrigé le tir et proposer à l'inverse une histoire sur plusieurs front où il cherche au contraire à montrer l'ampleur, la violence et l'horreur de celle-ci, le tout pendant que nos héros font leurs armes. Excellence en perspective !
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Il était une fois un royaume divisé en plusieurs états. Un roi avec le doux rêve de rassembler tout le pays. Il est temps de le couronner tout en étant menacé par des ennemis qui sont bien proches ... comme sa mère. Encore un tome de complots, de retournements de situation et de combats à préparer avec Shin. Vivement la suite.
Dans ce genre de titres, certains aiment les batailles, moi ce que je préfère ce sont les intrigues de palais avec leurs conspirations, leurs trahisons et leurs surprises à foison. J’ai été gâtée ici dans un tome qui offre une belle révélation sur un personnage attendu !
Avec sa couverture cinglante et pleine de souffle, Yasuhisa Hara a directement annoncé la couleur : Shin et Kyoukai vont entrer en action et cela va faire mal ! Ce retour brutal dans le palais de Sei est magnifiquement géré par un auteur inspiré qui pioche allègrement dans cette histoire chinoise remplie de tentatives d’assassinat dans les méandres des couleurs de ces palais tentaculaires. Cela offre une belle richesse de mise en scène qu’il a su parfaitement exploiter.
Le retour du duo Shin – Sei fonctionne toujours aussi bien. C’est un classique avec un roi / prince et un roturier mais c’est efficace et si cela permet de souligner la modernité de Sei, je dis oui oui oui. Le retour des intrigues de palais avec un nouveau haut fonctionnaire tentant de se débarrasser du Roi pour s’accaparer le pouvoir, le tout avec envoi de pléthore d’assassins, ça fonctionne aussi très bien surtout dans un contexte aussi fragile qu’ici où Sei vient juste de prendre le pouvoir et n’a pas encore consolidé ses bases. Cela pousse forcément le lecteur à imaginer tout le travail politique qu’il lui reste à édifier et c’est très tentant.
Ajoutez à cela des combats presque épiques entre assassins avec un Shin toujours tout feu tout flamme, qui retrouve encore plus de vigueur quand il s’agit de protéger son ami, et qui progresse en direct sous nos yeux et vous comprendrez pourquoi j’ai autant aimé. En plus, ce ne sont pas des assassins lambda en face, c’est Kyoukai, ce jeune troupier qui a combattu avec lui dans son Go lors de la guerre, un personnage charismatique et intriguant extrêmement fort au combat et fin stratège. Cela donne de suite une autre ampleur à leur combat, à leur duel.
J’ai beaucoup aimé l’orchestration de celle-ci qui nous offre à la fois de beaux moments suspendus grâce au style de combat particulier de Kyoukai et des moments plus surprenants, qui nous prennent à contre-pied quand on comprend que malgré son génie celui-ci n’est pas invincible et à un sacré talon d’Achille. C’était original. La découverte de ce personnage est d’ailleurs ce qui m’a offert non pas la plus grande surprise, parce que j’avais deviné son « secret » depuis longtemps, mais une des plus belles expériences du manga jusqu’à présent. Découvrir comment il en était arrivé là m’a remué et j’aime le but qu’il s’est fixé dans la vie, c’est un grand classique mais qui a du sens et qui est prometteur d’autres moments qui seront lourds de sens.
C’est par une belle double alchimie de duos mémorables qu’Hara ramène avec audace nos regard vers Sei et son nouveau statut encore bien fragile. En utilisant un classique du genre : l’attaque d’assassins envoyés par un rival, il nous offre un tome ciselé, percutant et presque poétique à lire où la question des allégeances est centrale et où on découvre que le génie, guerrier ou stratégique, n’attend pas les années. J’ai hâte de poursuivre les aventures de ces jeunes prodiges en devenir !
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Avec sa couverture cinglante et pleine de souffle, Yasuhisa Hara a directement annoncé la couleur : Shin et Kyoukai vont entrer en action et cela va faire mal ! Ce retour brutal dans le palais de Sei est magnifiquement géré par un auteur inspiré qui pioche allègrement dans cette histoire chinoise remplie de tentatives d’assassinat dans les méandres des couleurs de ces palais tentaculaires. Cela offre une belle richesse de mise en scène qu’il a su parfaitement exploiter.
Le retour du duo Shin – Sei fonctionne toujours aussi bien. C’est un classique avec un roi / prince et un roturier mais c’est efficace et si cela permet de souligner la modernité de Sei, je dis oui oui oui. Le retour des intrigues de palais avec un nouveau haut fonctionnaire tentant de se débarrasser du Roi pour s’accaparer le pouvoir, le tout avec envoi de pléthore d’assassins, ça fonctionne aussi très bien surtout dans un contexte aussi fragile qu’ici où Sei vient juste de prendre le pouvoir et n’a pas encore consolidé ses bases. Cela pousse forcément le lecteur à imaginer tout le travail politique qu’il lui reste à édifier et c’est très tentant.
Ajoutez à cela des combats presque épiques entre assassins avec un Shin toujours tout feu tout flamme, qui retrouve encore plus de vigueur quand il s’agit de protéger son ami, et qui progresse en direct sous nos yeux et vous comprendrez pourquoi j’ai autant aimé. En plus, ce ne sont pas des assassins lambda en face, c’est Kyoukai, ce jeune troupier qui a combattu avec lui dans son Go lors de la guerre, un personnage charismatique et intriguant extrêmement fort au combat et fin stratège. Cela donne de suite une autre ampleur à leur combat, à leur duel.
J’ai beaucoup aimé l’orchestration de celle-ci qui nous offre à la fois de beaux moments suspendus grâce au style de combat particulier de Kyoukai et des moments plus surprenants, qui nous prennent à contre-pied quand on comprend que malgré son génie celui-ci n’est pas invincible et à un sacré talon d’Achille. C’était original. La découverte de ce personnage est d’ailleurs ce qui m’a offert non pas la plus grande surprise, parce que j’avais deviné son « secret » depuis longtemps, mais une des plus belles expériences du manga jusqu’à présent. Découvrir comment il en était arrivé là m’a remué et j’aime le but qu’il s’est fixé dans la vie, c’est un grand classique mais qui a du sens et qui est prometteur d’autres moments qui seront lourds de sens.
C’est par une belle double alchimie de duos mémorables qu’Hara ramène avec audace nos regard vers Sei et son nouveau statut encore bien fragile. En utilisant un classique du genre : l’attaque d’assassins envoyés par un rival, il nous offre un tome ciselé, percutant et presque poétique à lire où la question des allégeances est centrale et où on découvre que le génie, guerrier ou stratégique, n’attend pas les années. J’ai hâte de poursuivre les aventures de ces jeunes prodiges en devenir !
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On croit avoir cerné le titre, avoir un peu tout vu de ce qu’il peut nous proposer, et là-dessus l’auteur nous offre une belle surprise ou plutôt une surprise cinglante et sanglante !
Partir déjà, à ce stade-là de l’histoire, à l’attaque de la capitale, du palais et du roi qui a remplacé Sei, c’est quelque chose ! Vivre les combats au plus prêts comme on le fait grâce au regard de Yasuhisa Hara, c’est encore passer à un autre niveau. J’ai beaucoup aimé le côté très immersif de ce tome qui m’a permise de vibrer auprès de nos héros et de leur entreprise dantesque.
Le mangaka découpe, classiquement mais astucieusement, sa narration en deux morceaux. Nous suivons d’un côté le Roi qui s’attaque de plein fouet à l’armée face à lui menée par un solide général. Il a avec lui le peuple des montagne, sa chef et son propre général, ainsi qu’une armé en soutien qui attend. De l’autre, il y a une petite troupe qui s’introduit en douce dans le palais et suit un chemin secret et tortueux pour atteindre le Roi usurpateur de l’intérieur. Bien sûr, des embûches les attendent en chemin.
L’auteur ne révolutionne pas le genre mais il use à merveille des codes classiques de ce type de récit et pond une histoire intense et passionnante à lire où bien qu’on sache que les héros n’ont rien à craindre, on tremble quand même pour eux face à la menace sourde et brutale qu’ils affrontent. Et puis, on se rappelle la mort de Hyou et on se dit que peut-être tout est possible. Alors quand ils se retrouvent face à de grosses brutes, ça fait mal. J’ai apprécié que l’auteur caractérise chacun différemment : l’un est un épéiste, l’autre un cavalier, le dernier une bête de foire. Chacun correspond aussi à un lieu différent : couloir caché, grande place ou salle du trône. Cela rend l’histoire fort dynamique à lire.
Il n’hésite pas non plus à nous proposer de nombreux instants de bravoure. Il y a ceux, devenus évidents, de Shin et Sei. C’est même presque un peu trop dans le cas du premier, tellement c’est surréaliste. Mais il y a aussi ceux de leurs soutiens et autant, Shôbunkun, on le connaissait déjà, autant j’ai apprécié de voir mis en lumière des membres du Peuple de la Montagne, car ils gagnent à être connus. En plus, c’est très intense avec une mise en scène particulièrement brutale et violence qui surprend à plus d’une reprise. Quand l’auteur décide de trancher dans le vif, il le fait sérieusement et ça fait mal. J’en ai ressenti certains frissons jusque de l’autre côté du livre. Excellent !
Kingdom est donc de ces fresques épiques qui savent gérer leur suspense, leur montée en pression et en parallèle nous faire nous enthousiasmer pour certains personnages dont quelques uns un peu imprévus. J’aime cette surprise. J’aime cette intensité. Je n’ai qu’une envie, poursuivre et voir si oui et comment nos héros vont renverser la vapeur.
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Partir déjà, à ce stade-là de l’histoire, à l’attaque de la capitale, du palais et du roi qui a remplacé Sei, c’est quelque chose ! Vivre les combats au plus prêts comme on le fait grâce au regard de Yasuhisa Hara, c’est encore passer à un autre niveau. J’ai beaucoup aimé le côté très immersif de ce tome qui m’a permise de vibrer auprès de nos héros et de leur entreprise dantesque.
Le mangaka découpe, classiquement mais astucieusement, sa narration en deux morceaux. Nous suivons d’un côté le Roi qui s’attaque de plein fouet à l’armée face à lui menée par un solide général. Il a avec lui le peuple des montagne, sa chef et son propre général, ainsi qu’une armé en soutien qui attend. De l’autre, il y a une petite troupe qui s’introduit en douce dans le palais et suit un chemin secret et tortueux pour atteindre le Roi usurpateur de l’intérieur. Bien sûr, des embûches les attendent en chemin.
L’auteur ne révolutionne pas le genre mais il use à merveille des codes classiques de ce type de récit et pond une histoire intense et passionnante à lire où bien qu’on sache que les héros n’ont rien à craindre, on tremble quand même pour eux face à la menace sourde et brutale qu’ils affrontent. Et puis, on se rappelle la mort de Hyou et on se dit que peut-être tout est possible. Alors quand ils se retrouvent face à de grosses brutes, ça fait mal. J’ai apprécié que l’auteur caractérise chacun différemment : l’un est un épéiste, l’autre un cavalier, le dernier une bête de foire. Chacun correspond aussi à un lieu différent : couloir caché, grande place ou salle du trône. Cela rend l’histoire fort dynamique à lire.
Il n’hésite pas non plus à nous proposer de nombreux instants de bravoure. Il y a ceux, devenus évidents, de Shin et Sei. C’est même presque un peu trop dans le cas du premier, tellement c’est surréaliste. Mais il y a aussi ceux de leurs soutiens et autant, Shôbunkun, on le connaissait déjà, autant j’ai apprécié de voir mis en lumière des membres du Peuple de la Montagne, car ils gagnent à être connus. En plus, c’est très intense avec une mise en scène particulièrement brutale et violence qui surprend à plus d’une reprise. Quand l’auteur décide de trancher dans le vif, il le fait sérieusement et ça fait mal. J’en ai ressenti certains frissons jusque de l’autre côté du livre. Excellent !
Kingdom est donc de ces fresques épiques qui savent gérer leur suspense, leur montée en pression et en parallèle nous faire nous enthousiasmer pour certains personnages dont quelques uns un peu imprévus. J’aime cette surprise. J’aime cette intensité. Je n’ai qu’une envie, poursuivre et voir si oui et comment nos héros vont renverser la vapeur.
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Qin contre Wei. Le plan d'Ouhon est en cours mais les unités de Qin sont bien malmenées par l'ennemi. Nos jeunes commandants vont devoir faire face à gros bras du pays de Wei et ça dépote grave ! Le 3eme jour tant attendu pour resserrer l'étau arrive avec les futurs duels de Shin et Ouhon. Trop bien, tome plus lent mais tout aussi riche que les précédents !
Mais qu'est-ce que c'est bien ce manga ! La tension est à son comble car nous avons atteint ce 15eme jour de guerre tant attendu, le moment prévu pour que la porte de Kankoku tombe selon les ennemis. Alors que nous laissons de côté Shin (et ça n'est absolument pas grave), la guerre fait rage sur tous les côtés, tout menace de s'effondrer et c'est épique. Les grands chefs Kanki et Chouto sont mis en exergue avec leurs valeurs et leurs vaillances. Faut aussi le dire : l'auteur est impressionnant. Les stratégies sont hautement réfléchies pour surprendre l'ennemi et nous lecteurs ! Impossible de décrocher d'un tome quand on en amorce la lecture...
Duke Hyou est en train de se faire prendre au piège par sa fougue et son instinct au combat. Mais n'oublions pas notre héros outsider à la tête de ses 1000 hommes ! Il a du talent pour venir mettre en déroute l'ennemi et c'est le moment de venir secourir Duke Hyou. Un tome avec de l'action en guerre mais l'émotion est peu présente dans ce volume.
Bon et bien voilà, je suis fichue.. j'ai lu tous les tomes de ma biblio, qu'est-ce que je vais devenir ? Je vais devoir être en sevrage de Kingdom. Le tome est puissant car les combats se poursuivent et la fin du tome est certes attendue mais très bien réalisée : la double-page avec Renpa, que de puissance et de force. Shin monte d'un échelon et la couverture-là va vous en faire des frayeurs car finalement, on n'attend que ça, la scène fatidique. Mais qu'est-ce que je vais pouvoir faire maintenant...
Kyoukai. Un combattant bien mystérieux et fort. Avec sa taille, il n'en a pas l'air mais est puissant. J'ai beaucoup aimé découvrir son passé, sa tribu et sa quête. C'est un pan nécessaire et on sent que c'est un personnage qui prendra de l'ampleur dans l'entourage de Shin et du roi ! Série toujours aussi passionnante, je ne vois plus les "défauts" des dessins.
Trépidant ! Chaque tome a son lot d'actions entraînantes et me poussant toujours à vouloir connaître la suite. Ei Sei et Shin ont besoin d'alliés pour reprendre le trône au pouvoir du jeune demi-frère du roi (complètement barjo celui-là). Ils vont s'enquérir de l'aide d'un peuple oublié de tous mais donc la force serait phénoménale. C'est durant leur quête et leur rencontre, que Shin va découvrir le réel but d'Ei Sei qui n'est pas seulement de récupérer son trône. Son dessein est bien plus important que prévu, il voit grand comme l'unification de la Chine. Comme je le disais dans les précédents tomes, mes blocages sur les dessins ont totalement disparus et je n'ai qu'une hâte, c'est de SAVOIR !
Finalement, je n'aurai peut-être pas dû emprunter que 2 tomes ..... mais je me vois mal emprunter en une seule fois, tous les tomes disponibles à ma biblio !
Finalement, je n'aurai peut-être pas dû emprunter que 2 tomes ..... mais je me vois mal emprunter en une seule fois, tous les tomes disponibles à ma biblio !
"Kingdom T.10" de @HaraYassa chez @Meian_editeur
Ce tome 10, qui marque ma lecture du dernier tome en ma possession, pour l'instant, de cet excellent manga, marque le début d'une nouvelle aventure pour Shin et pour Ten. En effet, suite aux événements survenus dans le tome précédent, ils se rendent compte qu'ils ne sont pas encore assez forts, pour faire jeu égal avec les ennemis d'Ei Sei. Et comment peuvent-ils le protéger s'ils ne peuvent avoir le répondant le plus adéquat possible ? De ce constat, partons avec eux pour de nouvelles péripéties.
"Le chancelier Ryo Fui qui, depuis des années, dirige dans l'ombre l'état de Qin, dévoile enfin son visage. La puissance de cet homme et de son entourage semble insondable ! Shin, réalisant à quel point leur ennemi est colossal, cherche un moyen de progresser davantage..."
Le tome 9 ayant donné un visage au mystérieux chancelier Ryo Fui, ainsi qu'à son entourage, ce tome 10, va nous montrer par quel moyen nos deux héros vont vouloir et pouvoir progresser. En effet, ils vont devoir suivre des chemins bien différents. Eh, oui, Shin va trouver un allié inattendu, en la personne du dernier Général de Légende, ayant foulé les terres de Qin et va donc lui demander de bien vouloir le prendre comme disciple et lui montrer toutes les ficelles du métier. L'identité de ce "sensei" sera d'une logique imparable et essentiel pour la suite de l'histoire. Du côté de Ten, qui veut devenir un stratège de renom, vu qu'il ne peut pas compter sur sa force physique pure, va, par un pistonnage assez inattendu, se retrouve dans l'école de formation des futurs stratèges, la plus connue et la meilleure de toute la Chine actuelle. Celle qui est gérée par l'un des hommes forts de Ryo Fui, naturellement, sinon ce n'est pas drôle. Comme dit le proverbe, c'est un bien pour un mal, en effet, notre héros, comme leur ennemi, sont au courant de se fait, assez particulier, et vont essayer de l'utiliser à leur avantage dans la suite du conflit qui les oppose et qui oppose surtout leur chef respectif. Nous voilà donc repartis pour un nouvel arc, une nouvelle aventure qui risque de se révéler encore plus palpitant et encore plus excellent que tout ce que l'on a déjà lu. Si vous aussi, vous venez de sentir un frisson vous parcourir la colonne vertébrale, rassurez-vous, c'est tout à fait normal.
Ce tome 10, va ouvrir la voie à ce que sera la vie, les péripéties et les futurs combats qui attendent nos héros, mais également tous les personnages impliqués depuis le début dans cette sombre et épique histoire. Avoir enfin un visage à détester, à craindre et à vouloir éradiquer est ce qui va permettre aux différents personnages de monter en compétences et donc de relancer intelligemment notre histoire. Tous ces événements sont de nouveau amenés avec talent et perspicacité pour nous offrir une lecture toujours immersive et jouissive. J'ai vraiment hâte de voir ce que va donner l'entraînement de Shin, voir ce qu'il va devenir, voir quelle capacité et quelle force, il va développer. Je pense que tous les lecteurs, qui sont au même stade que moi, ont dû vouloir la même chose que moi. Mais il ne faut pas oublier également Ten, qui risque de devenir soit le plus farouche des ennemis de Shin et d'Ei Sei, soit la meilleure des taupes qui existent. J'ai donc hâte également où tout ça va le mener et comment le mangaka va réussir à jongler avec tout ça. Dois-je vraiment encore parler de l'univers graphique que Yasuhisa Hara développe dans son univers ? Dire à quel point c'est beau, juste, précis et parfait à chacun de ses tomes ? Comme dit le proverbe (j'utilise beaucoup cette formule, ces derniers temps), c'est prêcher un convaincu. Encore une fois, c'est une lecture réussi, qui me pousse à acheter les prochains tomes et quand je vois que j'en ai 28 de retard et que ce chiffre monte de deux tomes ou presque tous les deux mois et qu'il y en a 57, je crois au Japon, bah, je pleures intérieurement. J'espère que le mangaka a bientôt fini son histoire et que cela ne deviendra pas comme "One Piece", une série aux trop nombreux numéros, même si la qualité ne baisse pas.
Note tome 10 : 5/5.
Voilà, je conclus mon épopée des 9 neufs chroniques sur les 10 premiers tomes, d'une des meilleures séries de manga que j'ai lu et qui m'a redonné le goût de lire ce style de bande-dessinée. Je remercie également Meian Editions pour son travail de qualité apporté à chaque tome et qui donne tout simplement envie de dépenser son argent. Je reviendrai prochainement dans l'univers de "Kingdom", car je vais faire une petite pause, oui, je me fais du mal, mais c'est pour mon bien, car j'ai énormément de retard dans mes autres lectures. Donc, ce n'est qu'un au revoir, pour un plus grand retour.
Et vous, qu'en avez-vous pensé ? Qu'avez-vous lu, découvert, aimez, partagez ? Ça m'intéresse d'échanger avec vous là-dessus.
Comme toujours, suivez-moi sur les réseaux sociaux ou directement sur ce blog, pour échanger avec votre serviteur et/ou être les premiers avertis lorsque paraît une nouvelle #chronique. Je viens également d'ouvrir un #insta, un compte @Babelio et je suis "Superlecteur" sur IZNEO, pour ce blog à retrouver sous les #nametag : yradon4774 (insta) et Yradon4774 (Babelio et IZNEO).
See you soon sur les ondes...
Lien : https://wordpress.com/post/y..
Ce tome 10, qui marque ma lecture du dernier tome en ma possession, pour l'instant, de cet excellent manga, marque le début d'une nouvelle aventure pour Shin et pour Ten. En effet, suite aux événements survenus dans le tome précédent, ils se rendent compte qu'ils ne sont pas encore assez forts, pour faire jeu égal avec les ennemis d'Ei Sei. Et comment peuvent-ils le protéger s'ils ne peuvent avoir le répondant le plus adéquat possible ? De ce constat, partons avec eux pour de nouvelles péripéties.
"Le chancelier Ryo Fui qui, depuis des années, dirige dans l'ombre l'état de Qin, dévoile enfin son visage. La puissance de cet homme et de son entourage semble insondable ! Shin, réalisant à quel point leur ennemi est colossal, cherche un moyen de progresser davantage..."
Le tome 9 ayant donné un visage au mystérieux chancelier Ryo Fui, ainsi qu'à son entourage, ce tome 10, va nous montrer par quel moyen nos deux héros vont vouloir et pouvoir progresser. En effet, ils vont devoir suivre des chemins bien différents. Eh, oui, Shin va trouver un allié inattendu, en la personne du dernier Général de Légende, ayant foulé les terres de Qin et va donc lui demander de bien vouloir le prendre comme disciple et lui montrer toutes les ficelles du métier. L'identité de ce "sensei" sera d'une logique imparable et essentiel pour la suite de l'histoire. Du côté de Ten, qui veut devenir un stratège de renom, vu qu'il ne peut pas compter sur sa force physique pure, va, par un pistonnage assez inattendu, se retrouve dans l'école de formation des futurs stratèges, la plus connue et la meilleure de toute la Chine actuelle. Celle qui est gérée par l'un des hommes forts de Ryo Fui, naturellement, sinon ce n'est pas drôle. Comme dit le proverbe, c'est un bien pour un mal, en effet, notre héros, comme leur ennemi, sont au courant de se fait, assez particulier, et vont essayer de l'utiliser à leur avantage dans la suite du conflit qui les oppose et qui oppose surtout leur chef respectif. Nous voilà donc repartis pour un nouvel arc, une nouvelle aventure qui risque de se révéler encore plus palpitant et encore plus excellent que tout ce que l'on a déjà lu. Si vous aussi, vous venez de sentir un frisson vous parcourir la colonne vertébrale, rassurez-vous, c'est tout à fait normal.
Ce tome 10, va ouvrir la voie à ce que sera la vie, les péripéties et les futurs combats qui attendent nos héros, mais également tous les personnages impliqués depuis le début dans cette sombre et épique histoire. Avoir enfin un visage à détester, à craindre et à vouloir éradiquer est ce qui va permettre aux différents personnages de monter en compétences et donc de relancer intelligemment notre histoire. Tous ces événements sont de nouveau amenés avec talent et perspicacité pour nous offrir une lecture toujours immersive et jouissive. J'ai vraiment hâte de voir ce que va donner l'entraînement de Shin, voir ce qu'il va devenir, voir quelle capacité et quelle force, il va développer. Je pense que tous les lecteurs, qui sont au même stade que moi, ont dû vouloir la même chose que moi. Mais il ne faut pas oublier également Ten, qui risque de devenir soit le plus farouche des ennemis de Shin et d'Ei Sei, soit la meilleure des taupes qui existent. J'ai donc hâte également où tout ça va le mener et comment le mangaka va réussir à jongler avec tout ça. Dois-je vraiment encore parler de l'univers graphique que Yasuhisa Hara développe dans son univers ? Dire à quel point c'est beau, juste, précis et parfait à chacun de ses tomes ? Comme dit le proverbe (j'utilise beaucoup cette formule, ces derniers temps), c'est prêcher un convaincu. Encore une fois, c'est une lecture réussi, qui me pousse à acheter les prochains tomes et quand je vois que j'en ai 28 de retard et que ce chiffre monte de deux tomes ou presque tous les deux mois et qu'il y en a 57, je crois au Japon, bah, je pleures intérieurement. J'espère que le mangaka a bientôt fini son histoire et que cela ne deviendra pas comme "One Piece", une série aux trop nombreux numéros, même si la qualité ne baisse pas.
Note tome 10 : 5/5.
Voilà, je conclus mon épopée des 9 neufs chroniques sur les 10 premiers tomes, d'une des meilleures séries de manga que j'ai lu et qui m'a redonné le goût de lire ce style de bande-dessinée. Je remercie également Meian Editions pour son travail de qualité apporté à chaque tome et qui donne tout simplement envie de dépenser son argent. Je reviendrai prochainement dans l'univers de "Kingdom", car je vais faire une petite pause, oui, je me fais du mal, mais c'est pour mon bien, car j'ai énormément de retard dans mes autres lectures. Donc, ce n'est qu'un au revoir, pour un plus grand retour.
Et vous, qu'en avez-vous pensé ? Qu'avez-vous lu, découvert, aimez, partagez ? Ça m'intéresse d'échanger avec vous là-dessus.
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"Kingdom T.5" de @HaraYassa chez @Meian_editeur
Après un tome 4 survitaminé, le mangaka offre enfin une pause, un petit moment de relâchement et de tranquillité à ses héros, dans ce cinquième tome. En effet, suite à la victoire d'Ei Sei sur son frère, Shin prend congé du jeune roi et part pour de nouvelles aventures, accompagné de Ten. Découvrant leur nouveau chez soi, une certaine entente se profile entre ces deux énergumènes. Voici, leurs aventures dans ce tome 5.
"La rébellion a été déjouée par Ei Sei, le roi Qin, et ses alliés. Shin, désormais fantassin, ambitionne de devenir un grand général, et, pour cela, il se prépare à la guerre contre l'état voisin de Wei !"
Après un quatrième tome haut en couleur, en action, en intensité, en combats, ce cinquième tome permet aux différents personnages de souffler un peu. En effet, venant de récupérer son trône, Ei Sei, va donner congé à Shin et ce dernier va partir vers de nouvelles aventures. Accompagné par Ten, notre général en herbe, va s'engager, à proprement parlé, dans l'armée de Qin qui va affronter son voisin belliqueux, l'état de Wei. Nous découvrons donc la première étape du plan d'Ei Sei, pour la domination de toute la Chine, dans un épisode beaucoup plus apaisé, mais riche en rencontre et en nouvelles découvertes. Notre héros va retrouver d'anciennes connaissances de son village et se faire de nouveaux amis, plus ou moins par la force des choses. Enrôlé dans les fantassins, notre jeune héros va découvrir sa nouvelle "famille" et les règles qui la régissent. La formation militaire classique utilisée par l'armée de Qin est toute nouvelle pour Shin, en effet, lui ne pense qu'à foncer dans le tas avec son épée, alors lorsqu'il va devoir faire équipe avec quatre autres personnes, qui doit, en plus, le choisir, il n'est tout simplement pas prêt. On a l'impression d'être de retour au collègue, lorsque l'on doit faire les équipes pour tel ou tel sport. On a limite l'impression que cette situation a été vécue par le mangaka, presque. Notre Shin va donc s'acoquiner avec 4 autres gugusses : ses deux potes de son village, un chef d'escouade has been et un énergumène bien mystérieux, ressemblant à un ninja. Cette dream team va donc apprendre à s'apprivoiser assez rapidement, car l'ennemi est déjà passé à l'action et c'est assez dévastateur. 2 immenses forces se rassemblent et convergent vers le lieu de l'ultime bataille. Préparez-vous à être secoué dans le prochain tome.
Ce tome 5 est ce que l'on pourrait appeler, l'apéritif avant le plat de résistance. En effet, il permet d'un côté de souffler, après 4 tomes d'une énorme intensité et de l'autre, de se préparer à la prochaine bataille, au prochain gros moment d'intensité. On prend donc notre temps pour découvrir Shin dans son nouvel univers, tout en se préparant à la suite, qui sera certainement de toute beauté. On a qu'une hâte, c'est de voir les premiers combats éclater et de voir à l'oeuvre les premiers pas de l'unité de Shin. C'est de nouveau orchestré avec brio, on pourrait croire que ce tome 5 va être long à lire, pénible, inintéressant, mais pas du tout, on est de nouveau attrapé par l'histoire, dans une danse folle, qui nous promet monts et merveilles pour la suite. C'est donc une très très bonne transition qui nous est proposé ici, tant par les nouveaux éléments qu'elle apporte, que par le futur qu'elle nous fait entrevoir au loin. Bien que ça soit un tome "calme", l'univers graphique est toujours aussi soigné et aussi intense. On a plaisir à découvrir visuellement ce que représente sur un champ de bataille les deux armées qui vont bientôt s'affronter et c'est assez vertigineux. Je pense que la scène où elles vont se rencontrer va être dantesque. J'ai don hâte de poursuivre mon exploration des terres de Kingdom. Encore une lecture que je vous conseille.
Note tome 5 : 5/5.
Et vous, qu'en avez-vous pensé ? Qu'avez-vous lu, découvert, aimez, partagez ? Ça m'intéresse d'échanger avec vous là-dessus.
Comme toujours, suivez-moi sur les réseaux sociaux ou directement sur ce blog, pour échanger avec votre serviteur et/ou être les premiers avertis lorsque paraît une nouvelle #chronique. Je viens également d'ouvrir un #insta, un compte @Babelio et je suis "Superlecteur" sur IZNEO, pour ce blog à retrouver sous les #nametag : yradon4774 (insta) et Yradon4774 (Babelio et IZNEO).
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Après un tome 4 survitaminé, le mangaka offre enfin une pause, un petit moment de relâchement et de tranquillité à ses héros, dans ce cinquième tome. En effet, suite à la victoire d'Ei Sei sur son frère, Shin prend congé du jeune roi et part pour de nouvelles aventures, accompagné de Ten. Découvrant leur nouveau chez soi, une certaine entente se profile entre ces deux énergumènes. Voici, leurs aventures dans ce tome 5.
"La rébellion a été déjouée par Ei Sei, le roi Qin, et ses alliés. Shin, désormais fantassin, ambitionne de devenir un grand général, et, pour cela, il se prépare à la guerre contre l'état voisin de Wei !"
Après un quatrième tome haut en couleur, en action, en intensité, en combats, ce cinquième tome permet aux différents personnages de souffler un peu. En effet, venant de récupérer son trône, Ei Sei, va donner congé à Shin et ce dernier va partir vers de nouvelles aventures. Accompagné par Ten, notre général en herbe, va s'engager, à proprement parlé, dans l'armée de Qin qui va affronter son voisin belliqueux, l'état de Wei. Nous découvrons donc la première étape du plan d'Ei Sei, pour la domination de toute la Chine, dans un épisode beaucoup plus apaisé, mais riche en rencontre et en nouvelles découvertes. Notre héros va retrouver d'anciennes connaissances de son village et se faire de nouveaux amis, plus ou moins par la force des choses. Enrôlé dans les fantassins, notre jeune héros va découvrir sa nouvelle "famille" et les règles qui la régissent. La formation militaire classique utilisée par l'armée de Qin est toute nouvelle pour Shin, en effet, lui ne pense qu'à foncer dans le tas avec son épée, alors lorsqu'il va devoir faire équipe avec quatre autres personnes, qui doit, en plus, le choisir, il n'est tout simplement pas prêt. On a l'impression d'être de retour au collègue, lorsque l'on doit faire les équipes pour tel ou tel sport. On a limite l'impression que cette situation a été vécue par le mangaka, presque. Notre Shin va donc s'acoquiner avec 4 autres gugusses : ses deux potes de son village, un chef d'escouade has been et un énergumène bien mystérieux, ressemblant à un ninja. Cette dream team va donc apprendre à s'apprivoiser assez rapidement, car l'ennemi est déjà passé à l'action et c'est assez dévastateur. 2 immenses forces se rassemblent et convergent vers le lieu de l'ultime bataille. Préparez-vous à être secoué dans le prochain tome.
Ce tome 5 est ce que l'on pourrait appeler, l'apéritif avant le plat de résistance. En effet, il permet d'un côté de souffler, après 4 tomes d'une énorme intensité et de l'autre, de se préparer à la prochaine bataille, au prochain gros moment d'intensité. On prend donc notre temps pour découvrir Shin dans son nouvel univers, tout en se préparant à la suite, qui sera certainement de toute beauté. On a qu'une hâte, c'est de voir les premiers combats éclater et de voir à l'oeuvre les premiers pas de l'unité de Shin. C'est de nouveau orchestré avec brio, on pourrait croire que ce tome 5 va être long à lire, pénible, inintéressant, mais pas du tout, on est de nouveau attrapé par l'histoire, dans une danse folle, qui nous promet monts et merveilles pour la suite. C'est donc une très très bonne transition qui nous est proposé ici, tant par les nouveaux éléments qu'elle apporte, que par le futur qu'elle nous fait entrevoir au loin. Bien que ça soit un tome "calme", l'univers graphique est toujours aussi soigné et aussi intense. On a plaisir à découvrir visuellement ce que représente sur un champ de bataille les deux armées qui vont bientôt s'affronter et c'est assez vertigineux. Je pense que la scène où elles vont se rencontrer va être dantesque. J'ai don hâte de poursuivre mon exploration des terres de Kingdom. Encore une lecture que je vous conseille.
Note tome 5 : 5/5.
Et vous, qu'en avez-vous pensé ? Qu'avez-vous lu, découvert, aimez, partagez ? Ça m'intéresse d'échanger avec vous là-dessus.
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"Kingdom T.3" de @HaraYassa chez @Meian_editeur
Pour ce mercredi BD, je vous parlerai du tome 3 de Kingdom. Troisième volet des aventures d'Ei Sei, de Shin et de leurs compagnons d'infortune, nous les retrouvons aux portes de la capitale. Est-ce toujours aussi bon, voire meilleur ? Je vous laisse le découvrir ci-après.
"Le roi de Qin, Ei Sei, cherche à retrouver son trône après qu'un coup d'état lui ait ravi. Il ambitionne de renouer une ancienne alliance avec le roi des montagnes. Les pions avancent et la stratégie de reconquête de Kanyou, la capitale, se met en place. Découvrez la nouvelle histoire du premier empereur de Qin et l'un des épisodes décisifs vers son unification de la Chine !"
Dans ce troisième tome, tout s'accélère pour Ei Sei et ses coéquipiers d'aventure. En effet, ayant réussi à raviver la flamme entre Qin et le peuple de la montagne, notre roi sans trône, passe à la phase suivante de son plan : reconquérir la capitale et ravir le trône à son frère. Chose plus facile à dire qu'à faire, car son frère aurait plus de 80 000 hommes sous ses ordres, alors qu'Ei Sei n'en a que quelques milliers. La marche vers la capitale ne se fait pas dans la plus grande des discrétion, eh, non, car Shin fait encore des siennes, bah, oui, quelle idée de vouloir lui apprendre à chevaucher, hein quelle idée. Naturellement, il ne fera pas dans la retenue et s'en donne à cœur joie. Pour devenir le plus grand général sous les cieux, ne faut-il pas savoir chevaucher, comme si c'était votre deuxième nature ? Tout ce qu'il peut apprendre pour réaliser son rêve et bon à prendre et ça il l'a bien compris. Encore un grand moment passé avec Shin et ce n'est pas fini. Enfin arrivé à la capitale, ils vont tous se faire pour des guerriers du peuple des montagnes, pour rentrer plus facilement et passer les différents niveaux de sécurité, sans trop de difficultés. Sur les 3 000 hommes qu'Ei Sei a réussi à rallier à sa cause, seule 50 vont pouvoir l'accompagner, pour rencontrer le chancelier Ketsu. 10 hommes du roi et 40 des meilleurs guerriers du peuple de la montagne. Vous me direz, c'est trop peu face aux forces du chancelier, mais c'est la crème de crème qui accompagne Ei Sei et ce n'est pas rien. La situation se complique légèrement en arrivant à un point de contrôle stratégique, en effet, pour franchir cet obstacle, ils doivent déposer les armes. Ei Sei décide donc de changer son fusil d'épaule et d'attaquer en scindant son groupe en deux : un, le plus grand, servira de diversion, le temps que le plus petit, dont fait partie Shin, se faufile par une porte dérobée et aille tout droit à la salle du trône, tuer Sei Kyou. Mais avant ça, ils doivent réussir à franchir les murailles du palais et c'est finalement Shin, qui sera la porte de salut de tout ce petit monde. Le chancelier Ketsu voyant la situation tourner en sa défaveur, cours se réfugier dans le giron de son roi. Une course-poursuite s'engage entre des hommes du peuple de la montagne et le chancelier. Cette course effrénée est arrêtée nette, lorsque d'autres hommes de Sei Kyou rentrent en action, dont le bras droit du chancelier. La conclusion de la reconquête du trône est en route, Ei Sei & Co seront-ils assez fort pour vaincre tous les obstacles qui surgiront sur leur passage ? A vous de le découvrir.
Ce tome 3 n'échappe pas à la règle, en effet, Yasuhisa Hara, nous embarque, encore une fois, facilement dans son univers, au travers des péripéties de ses personnages, des combats auxquels ils font fassent, des épreuves qu'ils arrivent à affronter et à vaincre. Le talent avec lequel il arrive à nous conter cette histoire est tout simplement prodigieuse et d'une qualité à toute épreuve. Pour attirer aussi facilement son lectorat, le fidéliser et le tenir autant en haleine au fil des tomes (et je n'en suis qu'à 3, pour l'instant), montre à quel point il sait raconter une histoire et la rendre irrésistible. La qualité visuelle est également un énorme point fort dans ce manga. En effet, il arrive à maîtriser la perception de la violence des combats dans ses dessins, afin que son oeuvre et le message qu'il veut faire passer, n'aient pas un impact moindre. Ce jonglage habile entre violence et histoire est tout simplement exécuté avec brio. C'est donc encore un très très bon tome que nous livre ici le mangaka. Il n'a qu'un seul défaut, si je puis dire, il ne vous donne qu'une seule envie : poursuivre sans attendre et dévorer les tomes suivants. Et lorsque l'on doit écrire une chronique sur chaque tome lu, cela complique sévèrement les choses. Mais bon, ce manga est une petite merveille, que je vous conseille vivement de découvrir et de lire.
Note Tome 3 : 5/5.
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Pour ce mercredi BD, je vous parlerai du tome 3 de Kingdom. Troisième volet des aventures d'Ei Sei, de Shin et de leurs compagnons d'infortune, nous les retrouvons aux portes de la capitale. Est-ce toujours aussi bon, voire meilleur ? Je vous laisse le découvrir ci-après.
"Le roi de Qin, Ei Sei, cherche à retrouver son trône après qu'un coup d'état lui ait ravi. Il ambitionne de renouer une ancienne alliance avec le roi des montagnes. Les pions avancent et la stratégie de reconquête de Kanyou, la capitale, se met en place. Découvrez la nouvelle histoire du premier empereur de Qin et l'un des épisodes décisifs vers son unification de la Chine !"
Dans ce troisième tome, tout s'accélère pour Ei Sei et ses coéquipiers d'aventure. En effet, ayant réussi à raviver la flamme entre Qin et le peuple de la montagne, notre roi sans trône, passe à la phase suivante de son plan : reconquérir la capitale et ravir le trône à son frère. Chose plus facile à dire qu'à faire, car son frère aurait plus de 80 000 hommes sous ses ordres, alors qu'Ei Sei n'en a que quelques milliers. La marche vers la capitale ne se fait pas dans la plus grande des discrétion, eh, non, car Shin fait encore des siennes, bah, oui, quelle idée de vouloir lui apprendre à chevaucher, hein quelle idée. Naturellement, il ne fera pas dans la retenue et s'en donne à cœur joie. Pour devenir le plus grand général sous les cieux, ne faut-il pas savoir chevaucher, comme si c'était votre deuxième nature ? Tout ce qu'il peut apprendre pour réaliser son rêve et bon à prendre et ça il l'a bien compris. Encore un grand moment passé avec Shin et ce n'est pas fini. Enfin arrivé à la capitale, ils vont tous se faire pour des guerriers du peuple des montagnes, pour rentrer plus facilement et passer les différents niveaux de sécurité, sans trop de difficultés. Sur les 3 000 hommes qu'Ei Sei a réussi à rallier à sa cause, seule 50 vont pouvoir l'accompagner, pour rencontrer le chancelier Ketsu. 10 hommes du roi et 40 des meilleurs guerriers du peuple de la montagne. Vous me direz, c'est trop peu face aux forces du chancelier, mais c'est la crème de crème qui accompagne Ei Sei et ce n'est pas rien. La situation se complique légèrement en arrivant à un point de contrôle stratégique, en effet, pour franchir cet obstacle, ils doivent déposer les armes. Ei Sei décide donc de changer son fusil d'épaule et d'attaquer en scindant son groupe en deux : un, le plus grand, servira de diversion, le temps que le plus petit, dont fait partie Shin, se faufile par une porte dérobée et aille tout droit à la salle du trône, tuer Sei Kyou. Mais avant ça, ils doivent réussir à franchir les murailles du palais et c'est finalement Shin, qui sera la porte de salut de tout ce petit monde. Le chancelier Ketsu voyant la situation tourner en sa défaveur, cours se réfugier dans le giron de son roi. Une course-poursuite s'engage entre des hommes du peuple de la montagne et le chancelier. Cette course effrénée est arrêtée nette, lorsque d'autres hommes de Sei Kyou rentrent en action, dont le bras droit du chancelier. La conclusion de la reconquête du trône est en route, Ei Sei & Co seront-ils assez fort pour vaincre tous les obstacles qui surgiront sur leur passage ? A vous de le découvrir.
Ce tome 3 n'échappe pas à la règle, en effet, Yasuhisa Hara, nous embarque, encore une fois, facilement dans son univers, au travers des péripéties de ses personnages, des combats auxquels ils font fassent, des épreuves qu'ils arrivent à affronter et à vaincre. Le talent avec lequel il arrive à nous conter cette histoire est tout simplement prodigieuse et d'une qualité à toute épreuve. Pour attirer aussi facilement son lectorat, le fidéliser et le tenir autant en haleine au fil des tomes (et je n'en suis qu'à 3, pour l'instant), montre à quel point il sait raconter une histoire et la rendre irrésistible. La qualité visuelle est également un énorme point fort dans ce manga. En effet, il arrive à maîtriser la perception de la violence des combats dans ses dessins, afin que son oeuvre et le message qu'il veut faire passer, n'aient pas un impact moindre. Ce jonglage habile entre violence et histoire est tout simplement exécuté avec brio. C'est donc encore un très très bon tome que nous livre ici le mangaka. Il n'a qu'un seul défaut, si je puis dire, il ne vous donne qu'une seule envie : poursuivre sans attendre et dévorer les tomes suivants. Et lorsque l'on doit écrire une chronique sur chaque tome lu, cela complique sévèrement les choses. Mais bon, ce manga est une petite merveille, que je vous conseille vivement de découvrir et de lire.
Note Tome 3 : 5/5.
Et vous, qu'en avez-vous pensé ? Qu'avez-vous lu, découvert, aimez, partagez ? Ça m'intéresse d'échanger avec vous là-dessus.
Comme toujours, suivez-moi sur les réseaux sociaux ou directement sur ce blog, pour échanger avec votre serviteur et/ou être les premiers avertis lorsque paraît une nouvelle #chronique. Je viens également d'ouvrir un #insta, un compte @Babelio et je suis "Superlecteur" sur IZNEO, pour ce blog à retrouver sous les #nametag : yradon4774 (insta) et Yradon4774 (Babelio et IZNEO).
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Comme je suis contente de pouvoir enchaîner ces tomes grâce à la nouvelle fournée de Meia, tant elles forment un tout autour du mystérieux personnages de Kanki et résonne du parallèle entre lui et Riboku.
En effet, les deux généraux ne pourraient pas être plus différents et pourtant leur génie militaire, leurs surprises et leurs rapports à leurs plus proches semblent se répondre par écho. Les voir s’affronter d’abord à distance puis en face à face prend donc tout son sens et est jouissif. J’ai adoré les surprises dont l’auteur émaille ce tome, le tout à un rythme effreiné qui laisse peu le temps de reprendre son souffle.
Stratégiquement, c’est encore excellent. Je le dis à chaque fois mais l’auteur me surprend toujours pas sa capacité sans démontrée à renouveler les phases d’action et de stratégie des guerres et batailles qu’il met en scène. Cette fois, on a quand même droit à du contournement de siège de haut vol, suivi d’une mêlée chaotique d’une intensité folle et malgré tout, tout reste lisible et en plus, on a du développement de personnages à l’intérieur ! C’est assez fou.
J’ai donc adoré voir Kanki passer à l’action, voir Riboku lui répondre, voir les pièges se tendre, suivre les réponses de chacun et ses invectives. Il y avait une tension à couper au couteau, des surprises à n’en plus finir, des interventions des lieutenants de chacun pour protéger son chef au dernier moment, ce qui rendait impossible de lacher le tome. A chaque tournant de page, on pouvait se demander ce qui allait arriver, qui allait déchoir, etc. Et ce que j’ai particulièrement aimé, c’est la place donnée justement aux relations entre nos généraux et leurs proches, on voit tout l’engouement que chacun a suscité, alors qu’ils sont diamétralement opposés sur le papier, mais dans le font, ce sont tous deux des meneurs d’hommes charismatiques. Ça donne lieu, bien sûr, à des scènes hyper intenses, le combat est rude et sans pitié, ça tombe des deux côtés et c’est assez imprévisible. C’est vraiment l’une de mes mêlées préférées de l’histoire de la série !
Nouvelle surprise que cette rencontre au sommet entre deux stratèges fous et imprévisibles. C’est jouissif de voir les manoeuvres de chacun et scotchant de les voir face à face dans un duel d’une intensité rare. L’auteur parvient encore et toujours à nous surprendre et joue si bien sur les seconds couteaux pour soutenir et réveiller l’histoire à chaque instant ici. Une merveille guerrière !
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
En effet, les deux généraux ne pourraient pas être plus différents et pourtant leur génie militaire, leurs surprises et leurs rapports à leurs plus proches semblent se répondre par écho. Les voir s’affronter d’abord à distance puis en face à face prend donc tout son sens et est jouissif. J’ai adoré les surprises dont l’auteur émaille ce tome, le tout à un rythme effreiné qui laisse peu le temps de reprendre son souffle.
Stratégiquement, c’est encore excellent. Je le dis à chaque fois mais l’auteur me surprend toujours pas sa capacité sans démontrée à renouveler les phases d’action et de stratégie des guerres et batailles qu’il met en scène. Cette fois, on a quand même droit à du contournement de siège de haut vol, suivi d’une mêlée chaotique d’une intensité folle et malgré tout, tout reste lisible et en plus, on a du développement de personnages à l’intérieur ! C’est assez fou.
J’ai donc adoré voir Kanki passer à l’action, voir Riboku lui répondre, voir les pièges se tendre, suivre les réponses de chacun et ses invectives. Il y avait une tension à couper au couteau, des surprises à n’en plus finir, des interventions des lieutenants de chacun pour protéger son chef au dernier moment, ce qui rendait impossible de lacher le tome. A chaque tournant de page, on pouvait se demander ce qui allait arriver, qui allait déchoir, etc. Et ce que j’ai particulièrement aimé, c’est la place donnée justement aux relations entre nos généraux et leurs proches, on voit tout l’engouement que chacun a suscité, alors qu’ils sont diamétralement opposés sur le papier, mais dans le font, ce sont tous deux des meneurs d’hommes charismatiques. Ça donne lieu, bien sûr, à des scènes hyper intenses, le combat est rude et sans pitié, ça tombe des deux côtés et c’est assez imprévisible. C’est vraiment l’une de mes mêlées préférées de l’histoire de la série !
Nouvelle surprise que cette rencontre au sommet entre deux stratèges fous et imprévisibles. C’est jouissif de voir les manoeuvres de chacun et scotchant de les voir face à face dans un duel d’une intensité rare. L’auteur parvient encore et toujours à nous surprendre et joue si bien sur les seconds couteaux pour soutenir et réveiller l’histoire à chaque instant ici. Une merveille guerrière !
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• Kingdom, Tome 21
• Yasuhisa Hara (Scénario & Dessin)
• Meian
Si nous continuons la guerre entre Qin et Wei avec le combat opposant Shin à Rinko, nous aurons également affaire à d'autres généraux dans ce volume, notamment avec le vice général Housen, un personnage très intéressant à suivre dont on réentendra parler à coup sur par la suite.
Un manga qui nous montre un nombre hallucinant de généraux charismatique sans jamais faire de redit, avec tantôt des grands combattants, tantôt des grands stratèges... Une fois de plus un excellent volume.
• Yasuhisa Hara (Scénario & Dessin)
• Meian
Si nous continuons la guerre entre Qin et Wei avec le combat opposant Shin à Rinko, nous aurons également affaire à d'autres généraux dans ce volume, notamment avec le vice général Housen, un personnage très intéressant à suivre dont on réentendra parler à coup sur par la suite.
Un manga qui nous montre un nombre hallucinant de généraux charismatique sans jamais faire de redit, avec tantôt des grands combattants, tantôt des grands stratèges... Une fois de plus un excellent volume.
• Kingdom, Tome 20
• Yasuhisa Hara (Scénario & Dessin)
• Meian
Alors que nous sommes dans la guerre entre Qin et Wei, si Shin reste notre personnage principal, il n'est bien entendu pas le seul que l'on va suivre, et si dans Kingdom on est habitué à voir un bon paquet de personnages charismatiques, dans ce tome on va être servi avec les différents généraux, que ce soit du côté de Qin ou du côté de Wei.
Je ne suis pour le moment qu'au tome 20 d'un manga en comptant 70 (à ce jour), mais je ne me lasse pas et Kingdom se place déjà très haut dans mes mangas.
• Yasuhisa Hara (Scénario & Dessin)
• Meian
Alors que nous sommes dans la guerre entre Qin et Wei, si Shin reste notre personnage principal, il n'est bien entendu pas le seul que l'on va suivre, et si dans Kingdom on est habitué à voir un bon paquet de personnages charismatiques, dans ce tome on va être servi avec les différents généraux, que ce soit du côté de Qin ou du côté de Wei.
Je ne suis pour le moment qu'au tome 20 d'un manga en comptant 70 (à ce jour), mais je ne me lasse pas et Kingdom se place déjà très haut dans mes mangas.
Nous étions dans une forme d'attente à la fin du tome 2. Est-ce qu'Ei Sei allait pouvoir convaincre le roi des montagnes? Et est-ce que la fine équipe risque de se faire tuer? Nous avons enfin les réponses. L'art de convaincre sert surtout lorsque la situation est périlleuse. L'ancien futur roi a de quoi dire pour dire pour changer l'avenir et oublier le passé. Pas besoin de tuer pour venger les massacres du passé. Par contre, devenir des atouts dans un nouveau pays est d'un autre acabit. Ei Sei veut unir la Chine. Comment ne pas voir la similitude avec "Le Chef de Nobunaga" qui voulait unifier le Japon? Des grands stratèges voulant un mieux pour leur nation et pas seulement eux.
On les accompagne à la conquête de Kanyou, la capitale avec 3 000 soldats face à 80 000. Est-ce pour autant joué? On se doute bien que non. Toutefois, nous n'en saurons plus que dans la suite. Nous assistons à la construction d'une alliance hors du commun. En plus, qu'elle n'est pas notre surprise quand on voit que le boss, Yôtanwa est une femme. Graphiquement, le peuple des montagnes rend magnifiquement. Tous ont des corps hyper musclés et des masques très effrayants. Une approche assez dissuasive pour ceux à combattre. On voit des scènes de combat assez percutantes, pleines de testostérone, d'ingéniosité et de cadavres. Impossible de ne pas avoir envie de poursuivre.
Lien : https://22h05ruedesdames.com..
On les accompagne à la conquête de Kanyou, la capitale avec 3 000 soldats face à 80 000. Est-ce pour autant joué? On se doute bien que non. Toutefois, nous n'en saurons plus que dans la suite. Nous assistons à la construction d'une alliance hors du commun. En plus, qu'elle n'est pas notre surprise quand on voit que le boss, Yôtanwa est une femme. Graphiquement, le peuple des montagnes rend magnifiquement. Tous ont des corps hyper musclés et des masques très effrayants. Une approche assez dissuasive pour ceux à combattre. On voit des scènes de combat assez percutantes, pleines de testostérone, d'ingéniosité et de cadavres. Impossible de ne pas avoir envie de poursuivre.
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Kingdom, Tome 10
Manga
Yasuhisa Hara
De nombreuses choses se passent dans ce tome.
Tout d'abord, après la tentative d'assassinat sur le roi que nous apprenions être commandité par le chancelier Ryo, ce n'est nul autre que ce dernier qui se décide à rendre visite à son altesse avec ses différents bras droits. Une visite qui se révèlera d'autant plus intéressante que même si les deux partis ne sont pas des plus amis, ils ne peuvent pour le moment pas dévoiler toutes leurs cartes et vont devoir faire preuve de diplomatie.
Par la suite, nous suivrons les personnages de Shin et Ten qui vont faire des choix importants pour leur avenir respectif.
Si depuis le début de la série je prends plaisir à lire chaque tome, je dois avouer que mon intérêt pour le manga ne fait que croitre et j'ai trouvé ce tome excellent.
Ici, pas ou peu d'action, mais de la politique. Et si cela pourrait gêner les bagarreurs en manque d'hémoglobine, pour moi, l'enchainement phases d'actions / phases calmes est un élément important pour un manga réussi, et Kingdom parvient pour le moment à le faire avec brio.
Manga
Yasuhisa Hara
De nombreuses choses se passent dans ce tome.
Tout d'abord, après la tentative d'assassinat sur le roi que nous apprenions être commandité par le chancelier Ryo, ce n'est nul autre que ce dernier qui se décide à rendre visite à son altesse avec ses différents bras droits. Une visite qui se révèlera d'autant plus intéressante que même si les deux partis ne sont pas des plus amis, ils ne peuvent pour le moment pas dévoiler toutes leurs cartes et vont devoir faire preuve de diplomatie.
Par la suite, nous suivrons les personnages de Shin et Ten qui vont faire des choix importants pour leur avenir respectif.
Si depuis le début de la série je prends plaisir à lire chaque tome, je dois avouer que mon intérêt pour le manga ne fait que croitre et j'ai trouvé ce tome excellent.
Ici, pas ou peu d'action, mais de la politique. Et si cela pourrait gêner les bagarreurs en manque d'hémoglobine, pour moi, l'enchainement phases d'actions / phases calmes est un élément important pour un manga réussi, et Kingdom parvient pour le moment à le faire avec brio.
Quel tome plein de souffrance ! J’ai rarement autant peiné avec les personnages de Kingdom !
Sans mauvais jeu de mots, ce fut une lecture vraiment éprouvante. Aux côtés de Kanki, comme c’était prévisible, nous menons une guerre des plus âpres et des plus sales. La violence est de mise partout et nos héros ont fort à faire pour avancer, surtout avec un Grand général aussi taiseux et mystérieux quant à ses plans. On avance donc dans le brouillard.
Comme à chaque offensive, Hara se livre à un exercice de style, celui de proposer quelque chose d’inédit dans le format de la guerre qu’il choisit. C’est encore une fois réussi ! Nous suivons d’un côté Shin qui tente de rattraper la défaite d’Ouhon et de s’emparer d’une falaise imprenable. Et de l’autre, c’est un des généraux de Kanki, celui à l’oeil tatoué dont nous allons suivre les exactions mais également la torture et ce fut terrible. Ce rappel que la guerre c’est sale, violent, intente, difficile est nécessaire mais éprouvant.
J’ai donc réellement vécu cette lecture en immersion à leurs côtés et j’ai souffert avec eux. J’ai trouvé Hara très malin de nous plonger ainsi dans l’incertitude et de nous amener au plus près de la vie de ces combattants ignorant tout des plans de leur grand chef mais devant quand même lutter et avancer. J’ai été soufflée par le courage et l’entêtement des troupes de Shin et le bel hommage que l’auteur rend ainsi aux fantassins, ces parents pauvres de la guerre parce qu’ils sont issus du peuple et n’ont pas le prestige des cavaliers. C’était beau et intense de les voir ainsi grimper au mental et à la force de leurs bras. Le combat qui lui fait suite est tout aussi intense, imprévisible et violent au point d’en être étouffant. Je regrette juste que l’auteur nous ressorte encore une fois ce modèle du David contre Goliath avec l’affrontement de Shin. Mais j’ai aimé ce retour aux sources pour lui avec l’utilisation de son épée avec son style bien à lui et la convergence avec tout ce qu’il a appris depuis. C’était émouvant d’une certaine façon.
Mais ce qui m’a peut-être le plus marqué ici, c’est l’irruption de la froide violence inqualifiable de la torture subie par l’homme de Kanki. Avec lui, j’aurais pu m’attendre à ce que ça arrive, car la violence appelle la violence, et les attrocités que lui-même commet ici sont inqualifiables, mais c’était quand même rude. L’auteur nous plonge dans des réalités terribles de la guerre et il ne nous épargne pas. On ne suit pas en direct ce qu’il subit, mais on en voit clairement les effets et ils vaut mieux avoir le coeur bien accroché au vu de ce que les corps subissent. Cela montre combien chaque camp est près à tout ici. Ils sont vraiment engagés dans une guerre des plus âpres.
Tome fort rude à lire, il recoupe une réalité de la guerre encore peu montrée par l’auteur de par sa violence phusique et morale. Cela choque mais ne suprend pas quand on voit le général en face mais c’est douloureux. Hara n’hésite pas à se renouveler sans cesse dans ses propositions quitte à explorer les côtés les plus sombres et entre torture, falaises imprenables et colosse martial à la garde impénétrable, on a eu notre lot ici !
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Sans mauvais jeu de mots, ce fut une lecture vraiment éprouvante. Aux côtés de Kanki, comme c’était prévisible, nous menons une guerre des plus âpres et des plus sales. La violence est de mise partout et nos héros ont fort à faire pour avancer, surtout avec un Grand général aussi taiseux et mystérieux quant à ses plans. On avance donc dans le brouillard.
Comme à chaque offensive, Hara se livre à un exercice de style, celui de proposer quelque chose d’inédit dans le format de la guerre qu’il choisit. C’est encore une fois réussi ! Nous suivons d’un côté Shin qui tente de rattraper la défaite d’Ouhon et de s’emparer d’une falaise imprenable. Et de l’autre, c’est un des généraux de Kanki, celui à l’oeil tatoué dont nous allons suivre les exactions mais également la torture et ce fut terrible. Ce rappel que la guerre c’est sale, violent, intente, difficile est nécessaire mais éprouvant.
J’ai donc réellement vécu cette lecture en immersion à leurs côtés et j’ai souffert avec eux. J’ai trouvé Hara très malin de nous plonger ainsi dans l’incertitude et de nous amener au plus près de la vie de ces combattants ignorant tout des plans de leur grand chef mais devant quand même lutter et avancer. J’ai été soufflée par le courage et l’entêtement des troupes de Shin et le bel hommage que l’auteur rend ainsi aux fantassins, ces parents pauvres de la guerre parce qu’ils sont issus du peuple et n’ont pas le prestige des cavaliers. C’était beau et intense de les voir ainsi grimper au mental et à la force de leurs bras. Le combat qui lui fait suite est tout aussi intense, imprévisible et violent au point d’en être étouffant. Je regrette juste que l’auteur nous ressorte encore une fois ce modèle du David contre Goliath avec l’affrontement de Shin. Mais j’ai aimé ce retour aux sources pour lui avec l’utilisation de son épée avec son style bien à lui et la convergence avec tout ce qu’il a appris depuis. C’était émouvant d’une certaine façon.
Mais ce qui m’a peut-être le plus marqué ici, c’est l’irruption de la froide violence inqualifiable de la torture subie par l’homme de Kanki. Avec lui, j’aurais pu m’attendre à ce que ça arrive, car la violence appelle la violence, et les attrocités que lui-même commet ici sont inqualifiables, mais c’était quand même rude. L’auteur nous plonge dans des réalités terribles de la guerre et il ne nous épargne pas. On ne suit pas en direct ce qu’il subit, mais on en voit clairement les effets et ils vaut mieux avoir le coeur bien accroché au vu de ce que les corps subissent. Cela montre combien chaque camp est près à tout ici. Ils sont vraiment engagés dans une guerre des plus âpres.
Tome fort rude à lire, il recoupe une réalité de la guerre encore peu montrée par l’auteur de par sa violence phusique et morale. Cela choque mais ne suprend pas quand on voit le général en face mais c’est douloureux. Hara n’hésite pas à se renouveler sans cesse dans ses propositions quitte à explorer les côtés les plus sombres et entre torture, falaises imprenables et colosse martial à la garde impénétrable, on a eu notre lot ici !
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Après un tome fort en émotion, l'auteur s'emploie à nous calmer en orientant notre regard vers la dérive de l'état de Zhao. Il ne faut pas oublier que notre état de Qin est en liesse et s'est bien établi dans la partie acquise donc nos jeunes héros vont être acclamés au palais ! Un tome qui temporise mais qui électrise aussi car Zhao est dans une période bien noire où le roi tyrannique et pervers veut la tête de son plus grand stratège qu'est Riboku.
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