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Critiques de Yuki Kodama (II) (78)
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Kids on the slope, tome 1

Kaoru Nishima a l'habitude des déménagements, au gré des mutations de son père marin. Mais plus il grandit, plus les changements d'établissements scolaires le déstabilisent. Elève brillant mais solitaire, il évite de se lier avec ses nouveaux camarades. Pourtant, cette fois-ci tout va changer. En voulant se réfugier sur le toit de son nouveau lycée, il tombe sur Sentarô, un voyou qui sèche les cours et aime la bagarre. Très différents l'un de l'autre, c'est la musique qui va les rapprocher. Kaoru fait du piano classique depuis son plus jeune âge et Sentarô se passionne pour le jazz. Par l'entremise de la jolie et gentille Ritsuko, ils vont devenir amis et jouer ensemble. Pour Kaoru, c'est le début d'une nouvelle vie. Il découvre l'amitié et s'éveille à l'amour sur le rythme saccadé de cette nouvelle musique.





Un grand costaud cool et une "pousse de bambou"introverti unis par l'amour de la musique. Une amitié difficile tant ils sont opposés et c'est malgré lui que Kaoru se laisse entraîner vers une nouvelle vie. Timide et frêle, c'est d'abord l'esprit de compétition qui le motive. Il ne supporte pas que Sentarô soit plus fort physiquement et plus doué pour le jazz, surtout devant la belle Ritsuko, alors il va se dépasser pour prouver sa valeur.

Manga d'initiation, Kids on the slope est bercé par les sonorités du jazz et l'éveil à la vie. C'est frais, tendre et drôle et particulièrement réussi pour un premier tome.
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Kids on the slope, tome 1

Un manga plutôt sympa sur la musique, l'amitié et ... l'amour ! Ou comment des personnes extrêmement différentes peuvent se rassembler autour d'une passion.
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Kids on the slope, tome 8

Quoi de mieux que la musique et les amis pour effacer les peines de cœur et les déceptions de toutes sortes ?
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Kids on the Slope, tome 2

Sentarô va mal! Il traîne comme une âme en peine, n'a plus goût à rien et ne comprend pas ce qui lui arrive. Très vite, Kaoru reconnait les symptômes de l'amour. Sentarô est amoureux pour la première fois et c'est la belle Yurika qui fait battre son coeur. Malgré sa timidité, Kaoru connait bien ce sentiment et il se propose d'aider Sentarô à conquérir sa belle, manoeuvre tactique pour l'éloigner de Ritsuko. Et puis, une fois ce problème réglé, ils pourront tous les deux enfin se consacrer au plus important : un vrai concert devant un vrai public de leur orchestre de jazz.





Chassés-croisés amoureux, grandes déclarations et jazz sont au menu de ce tome 2. Un tome où le contexte historique est un peu plus présent puisqu'il est fait mention de la présence américaine au Japon. Mais finalement tout reste très classique pour un shôjô. La seule originalité vient du jazz et malheureusement il manque le son!
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Chiisako garden

Chiisako Garden est un manga composé de cinq histoires, dont certaines sont indépendantes les unes des autres et d'autres intimement imbriquées. Toutefois, elles conservent le point commun de mettre en scène des Chiisakos, qui sont de minuscules êtres que seuls les coeurs purs, c'est-à-dire les enfants mais aussi les personnes qui ne sont jamais tombées amoureuses, peuvent voir.



J'ai tellement aimé ces courts récits de vie, qui abordent avec délicatesse et sensibilité des thématiques universelles telles que les relations familiales, amicales et amoureuses, mais aussi des sujets plus spécifiques comme le processus créatif, l'écriture mais aussi le cas des hikikomoris, que j'ai pour ma part complètement découvert.



Même s'il s'agit d'un one-shot composé de plusieurs historiettes, je me suis facilement attachée aux personnages. de plus, on retrouve Ten, le Chiisako que vous voyez en gros plan sur la couverture, dans plusieurs d'entre elles, ce qui renforce notre attachement. Certains récits sont plus percutants, notamment le quatrième et le cinquième qui sont encore ancrés dans ma tête.



Loin d'être enfantin, je pense que ce manga s'adresse aussi et surtout aux adultes qui ont su conserver leur part d'imagination. J'ai besoin de ce genre de lecture, où la nature est mise à l'honneur, et où le merveilleux côtoie notre monde. Ça fait tellement de bien, je ne peux que vous recommander Chiisako Garden si comme moi vous êtes sensibles à la poésie des simples instants de vie.
Lien : https://unparfumdelivre.word..
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Chiisako garden

Les Chiisako sont des petites créatures vivant parmi les humains depuis des siècles. Seuls les enfants, ceux qui n'ont jamais connu l'amour ou les mourants peuvent les voir. Ce recueil de 5 nouvelles, nous fait découvrir quelques personnages de ce petit peuple et leur interaction avec des humains. Ce manga se mit un peu comme un conte où règne une extrême douceur et où la violence de notre monde est inexistante. On passe un agréable moment de lecture.
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Kids on the slope, tome 6

L'hexagone amoureux explose en morceaux, mais heureusement l'amitié elle demeure bien intacte !
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Kids on the slope, tome 9

J’ai ressenti de la nostalgie pour une période et un lieu que je n’ai pas connu, pour une façon d’être qui m’est étrangère et pour une musique que je n’apprécie habituellement que très moyennement. Kids on the slope est un manga qui tiraille par ses douleurs, apaise par ses réussites et questionne sur l’adolescence et ce qu’on attend de soi et des autres. J’ai trouvé la fin habile, les personnages intelligents et le tout très sensible autant dans son traitement du passage à l’âge adulte, de la confiance / conscience de soi et le prisme géopolitique et social de l’époque.
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The Blue flowers and the ceramic forest, to..

C’est encore une fois la beauté de la couverture qui m’a attirée vers ce manga ! Ce magnifique liseré bleu en relief était très prometteur, d’autant plus que l’histoire se déroule au sein d’un atelier de céramique, dans la ville de Hasami, ville de la préfecture de Nagasaki où se trouvent les plus grands spécialistes en la matière. Hé oui, j’aime toujours autant me cultiver par le biais de mes lectures !



« Jusqu'à présent, il travaillait à l'étranger... mais il est venu à Hasami pour réapprendre les bases du métier. » Le quotidien d’Aoko jeune peintre sur céramique rêveuse et inspirée par la nature, est bousculé par l’arrivée d’un nouveau collègue. Ce dernier se révèle froid et distant… et il est particulièrement adepte de la céramique blanche et épurée…



« Il a seulement effleuré cette assiette...

Mais il l'a fait...

Avec tant de délicatesse. » Et puis à l’occasion d’un concours, Aoko va découvrir la face cachée de Tatsuki, qui va se révéler, en secret, un homme beaucoup plus délicat qu’il ne le paraît.



Au final, une histoire très touchante et très délicate, qui met en place deux personnages aux caractères diamétralement différents ; autant l’un est réservé et centré sur lui- même que l’autre se montre plutôt extravertie et fantaisiste. J’ai vraiment adoré et hâte de lire la suite !

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The Blue flowers and the ceramic forest, to..

Très joli début pour ce josei tout en délicatesse.



Direction Hasami, ville nippone réputée pour ses poteries et céramiques. Le mystérieux Tatsuki, tout juste revenu de Finlande, fait ses premiers pas au sein d'un petit mais chaleureux atelier. Aoko, descendante d'une famille du coin dont tous les membres ont travaillé dans la céramique, est une jeune femme à la personnalité (apparemment) curieuse et tête-en-l'air et dont la spécialité est la peinture sur porcelaine.



Ces deux personnalités en apparence opposées seront amenées à travailler ensemble, d'abord à la façon normale d'un atelier, puis carrément en duo (ou plutôt en duo compétitif).

Si le début de ce premier tome est dédié à l'opposition frontale des deux personnages, le reste gagne rapidement en profondeur au fur et à mesure que l'on découvre les secrets derrière la froideur de Tatsuki.



J'ai beaucoup apprécié le ton et le dosage des éléments du manga : on retrouve l'idée classique des opposés qui s'attirent et des engueulades avant de se découvrir des sentiments mutuels, sauf que c'est traité de façon bien plus fine que ça. Le postulat de départ reste le même, mais les personnages sont écrits de manière réaliste, comme des être humains normaux et donc avec des réactions normales et ça fait plaisir !

On est donc clairement sur un josei destiné aux adultes (ou à tout lecteur souhaitant sortir des histoires mièvres ou très clichées pour plus jeunes) avec des personnages secondaires attachants, un environnement construit et une intrigue qui ne tourne pas uniquement autour du duo principal.
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Kids on the slope, tome 5

Notre groupe d'amis s'aperçoit que l'on peut aussi être jaloux en amitié ! Ajoutez à ça l’hexagone amoureux et la fête de l'école...une situation qui promet des complications !
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Kids on the Slope, tome 2

Sentarô connaît ses premiers émois amoureux alors que Kaoru voit enfin une chance de le mettre hors de son chemin pour tenter une approche auprès de Ritsuko. Seulement les choses ne sont jamais aussi simples, se dessine alors un véritable décagone amoureux, presque tous les personnages s'en mêlent ! Mais heureusement il y a la musique, le Jazz, pour détendre tout le monde.
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The Blue Flowers and The Ceramic Forest, to..

Je suis très contente d'avoir retrouvé Aoko et Tatsuki, mes céramistes favoris !



Ce troisième tome se déguste comme une bulle de douceur, comme une boisson chaude sous un plaid lors d'une journée froide ou une boisson fraîche un jour de chaleur. Bien qu'on attaque un peu dans le dur, à savoir les blessures réciproques de nos deux protagonistes...



C'est le passé d'Aoko qui est mis en avant dans ce nouveau volume, grâce/à cause de son ex, arrivé comme une fleur et de façon retentissante à la fin du deuxième opus.

Si le fameux Kumahei semble avenant et bien s'entendre avec l'équipe de l'atelier, Shinobu est furieuse de son retour et Aoko plus pile électrique que jamais.

Tatsuki comprend immédiatement qu'Aoko se jette dans le travail afin d'oublier ce qu'il se passe autour d'elle, les sentiments qui sont en train de la traverser et les anciennes blessures qui ressurgissent suite au retour de Kumahei.



On finit par apprendre que le jeune homme partit du jour au lendemain, prétextant un séisme dans sa ville natale, puis ne revint jamais et s'était retrouvé une compagne là-bas. Suite à cet abandon, Aoko avait évidemment été extrêmement blessée et c'est un traumatisme encore présent en elle.



Du côté de Tatsuki, son attitude glaciale se réchauffe doucement aux côtés de la jeune femme et il commence à réaliser qu'il a des sentiments plus qu'amicaux pour elle. Douuuuucement mais sûrement !

Il surprend ses collègues (Aoko la première) en étant tout le temps disponible pour s'occuper d'elle et est une présence réconfortante tout au long du tome.

Leur rapprochement est tranquille, tendre, bien dosé entre le touchant et le drôle du manque de réalisation des deux côtés. C'est adorable à voir et ça réchauffe le cœur pour ces deux personnages de se dire qu'ils surmontent doucement leurs anciens traumatismes ensemble, là l'un pour l'autre.



La toute fin de l'ouvrage laisse espérer une réponse au mystère entourant le retour de Tatsuki au Japon du premier tome. Vite, vite la suite !
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The Blue Flowers and The Ceramic Forest, to..

Ce deuxième tome est encore plus réussi et plaisant à lire que le premier !



Après le festival du printemps et la compétition des soliflores, notre duo atypique continue de se découvrir et en plus du passé de Tatsuki, les dernières pages laissent aussi entrevoir les blessures d'Aoko. Un rival probable devrait débarquer au début du troisième tome, un ex probablement ; en espérant que l'intrigue ne vire pas en eau-de-boudin car jusqu'ici, c'est un vrai plaisir.



J'ai dévoré ce tome encore plus que le précédent, les échanges entre les protagonistes gagnent en qualité et le récit global prend de l'épaisseur.

Et quel régal d'en apprendre plus sur la poterie locale, alors que je ne suis pas spécialement intéressée par cet artisanat. Ici, la mangaka écrit si bien que tout est limpide et on en demande plus !
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Chiisako garden

Déjà enfant, j'étais fan des Minipouss et des Voyages de Gulliver qui passaient à la télévision, alors forcément quand je sais que ces créatures font partie des histoires d'un manga qui doit sortir, je ne peux que m'y intéresser. Ajoutez à ceci que l'autrice n'est autre que celle de Kids on the slope, ce josei sur le jazz que j'ai adoré il y a quelques années, j'étais obligée de l'acheter !



Chiisako Garden se présente un peu comme un titre pour enfants, du moins en apparence, mais quand on commence à lire les 5 histoires qui le compose, on se rend compte que Yuki Kodama s'adresse en fait aux adultes et tente de leur rappeler combien l'imagination est importante et qu'il ne faut jamais se moquer de ceux qui en ont. C'est ainsi une très belle ode au travail que font les auteurs en mettant les mondes qu'ils ont imaginés à notre disposition.



Pour ma part, j'ai aimé de bout en bout, d'abord parce qu'on y retrouve le trait simple mais évocateur de l'autrice, mais également ses ambiances un peu hors du temps et empreintes de mélancolie, qui m'avaient tant charmée autrefois et dans lesquelles je me retrouve. Chaque histoire est l'occasion d'aller au devant d'un personnage qui rencontre un Chiisako, ces créatures qui ressemblent à des Lilliputiens. Mais chaque héros est également quelqu'un qui détonne un peu dans le paysage, soit par son imagination fertile, soit par son inadaptation aux normes de ceux qui l'entourent. Et les aventures qu'il ou elle va vivre sera un moyen de découvrir que ce n'est pas grave d'être différent et qu'il faut au contraire le cultiver. J'ai beaucoup aimé ce message.



Dans la première histoire, nous faisons la connaissance d'une charmante petite fille, qui comme dans Arrietty va emménager dans une nouvelle maison et y faire la connaissance d'un Chiisako répondant au nom de Ten, mais elle est la seule à le voir et personne ne la croit. Sa mère a beau être autrice (oui AUTRICE et non "auteure" qui ne respecte pas la règle de construction des noms au féminin... et qui m'a agacé tout au long de ma lecture...), elle ne parvient pas à faire preuve d'imagination face à ce que lui raconte sa fille et la rabroue inutilement. La mangaka fait ici une belle critique du fossé entre enfants et adultes et des incompréhensions et frustrations qui peuvent en naitre. C'est une belle histoire émouvante où une mère qui va apprendre à écouter sa fille, lui faire confiance.



Dans la deuxième histoire, on retrouve ce monde de l'écriture, puisque ceux qui vont rencontrer un nouveau Chiisako sont autrice et éditeur. En effet, au détour d'une sortie à la montagne pour un repérage afin d'écrire un roman, le binôme va tomber sur une de ces créatures. On va découvrir avec eux de façon assez amusante qu'il y a des règles pour pouvoir voir les Chiisako : seuls les enfants et gens qui n'ont jamais été amoureux le peuvent. C'est l'occasion de faire une incursion dans le processus créatif d'une autrice ainsi que dans le genre de relation qu'elle peut entretenir avec son éditeur, j'ai trouvé ça fort intéressant. Il y a aussi un joli discours sur son travail et la place qu'y tient l'imagination une fois de plus. Et pour finir, j'ai beaucoup aimé le choix par la mangaka d'une héroïne enrobée. Elle en fait un très beau portrait avec cette femme enjouée, pleine d'énergie, à l'aise dans son corps et dans sa tête. C'est une histoire adorable lors de laquelle on voit en direct un personnage tomber amoureux de façon fort cocasse.



Dans la troisième histoire, Yuki Kodama ose parler avec beaucoup de douceur et de bienveillance d'un phénomène terrible : les hikkikomori, grâce à son héros qui est un jeune garçon qui vit enfermé chez lui, n'ose plus sortir et ne va donc plus en classe. Sa rencontre avec une Chiisako va l'aider à s'en sortir, à s'ouvrir de nouveau et à oser affronter le monde. Même si elle m'a plu, c'est l'histoire que j'ai trouvée la plus faible. La relation entre les deux personnages, la belle amitié et plus, qui se noue entre eux va trop vite et aurait mérité qu'on prenne plus le temps. Mais j'ai trouvé la fin très belle, pleine de douceur, de sensibilité et de subtilité. On y découvre également encore de nouveaux petits détails sur les créatures au centre de ce recueil.



J'ai été surprise de retrouver Ten, le Chiisako des débuts, dans la quatrième histoire. On découvre son passé, quand il cohabitait avec d'autres humains dans la maison où on le rencontre. Ces derniers sont un mari et une femme un peu particuliers, ce que nous allons découvrir au fil des pages. La jeune femme est la seule à voir Ten et à entretenir une relation directe avec lui, mais son mari et au courant et la croit, faisant preuve d'une belle ouverture d'esprit. Toute l'histoire repose sur la relation de ce couple et ne voulant pas vous gâcher le plaisir, je dirai juste que j'ai été très émue par la fin. C'était une belle histoire en costumes.



Enfin, la dernière histoire prête à sourire puisqu'on y fait la connaissance, sur son lit de mort, de l'autrice des livres pour enfants racontant les aventures des Chiisako. Elle nous explique d'où lui sont venues toutes ces idées et c'est l'occasion de revivre un moment charnière de son passé. C'est une charmante histoire, qui met des étoiles dans les yeux du lecteur et en même temps où la mangaka fait preuve de beaucoup d'humour et de second degré. Elle livre à nouveau un beau message sur le processus de création des auteurs et ce à quoi ils peuvent aspirer dans leur travail. J'ai trouvé la fin parfaite !



Pour conclure, au cours des 5 histoires de ce recueil, j'ai adoré trouver une légère ambiance fantastique à la japonaise avec de nombreuses incursion dans leur folklore et leurs traditions. La nature y tient une grande place tout comme le travail des auteurs, pourvoyeurs d'imagination et d'évasion pour les lecteurs. C'est un très beau titre où l'on sent bien la patte de l'autrice et cela va au-delà de ces dessins typiquement josei que j'adore de part leur simplicité si expressive. Ce titre est un coup de coeur comme le fut Kids on the slope, on aimerait voir d'autres titres de cette autrice en France !
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Kids on the slope, tome 4

Kaoru rencontre sa mère à Tokyo qu'il n'a pas vu depuis des années. Accompagné de son fidèle compagnon il en apprend un peu plus sur sa famille. Quoi de mieux pour oublié un échec amoureux ?
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Kids on the Slope, tome 3

Comme l'adage populaire le dit "on ne choisi pas sa famille" heureusement nos personnages ont de bons amis pour pallier ce manque.
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Kids on the Slope, tome 3

C'est Noël mais Kaoru n'est pas à la fête. Son père lui manque et il ne se sent pas à sa place chez son oncle et sa tante. Il envie terriblement Sentarô qui vit entouré d'une famille aimante. Pourtant son ami n'a pas toujours été heureux et ses confidences vont alléger la peine de Kaoru qui se rend compte qu'il ne devrait pas se plaindre. Mais sa mélancolie reprend le dessus quand il constate que Ritsuko ne lui pardonne pas le baiser qu'il lui a volé. Il préfère éviter sa boutique et par conséquent arrêter le jazz. Heureusement Sentarô veille au grain et ne le lâche pas d'une semelle...





Un tome mélancolique où le jazz cède la place aux histoires plus personnelles des protagonistes. On apprend beaucoup sur l'enfance difficile de Sentarô et sur ses origines. Parallèlement, le mal-être de Kaoru tient une grande place, mélange de pressions familiales et de chagrin d'amour. Les deux amis si différents se rapprochent, surtout grâce à l'insistance de Sentarô qui va jusqu'à accompagner Kaoru à Tokyo à la rencontre de sa mère qu'il n'a pas revu depuis de nombreuses années. La personnalité de Sentarô, instinctif, impulsif et flegmatique, se heurte à celle de Kaoru, réfléchi et posé. Le voyage à Tokyo s'annonce donc chaotique mais l'amitié va certainement prendre le dessus.

Ce troisième tome s'achève au moment où Koaru va revoir sa mère après des années de séparation. Cette rencontre sera-t-elle bénéfique ? Il va falloir lire le tome 4 pour le savoir...
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The Blue flowers and the ceramic forest, to..

Voilà une rencontre totalement inattendue. Ce manga est apparu sur ma page d'actualité car il a été lu par @Tachan dont je suis les lectures. Je n'ai jamais lu de manga, MAIS la couverture du livre me tape dans l'oeil...bon...je suis curieuse, je lis l'avis de @Tachan, ça m'intrigue encore plus !



Mais j'ai un peu peur de me lancer. J'ai une image assez mitigée des mangas et j’appréhende aussi le sens de lecture. J'ai quelques difficultés avec la gauche et la droite...

J'ai l'occasion de le feuilleter en librairie et le dessin extrêmement sobre et dépouillé, me séduit. Contrairement à d'autres mangas que j'ai eu l'occasion de feuilleter, celui-ci ne m'effraie pas visuellement.

Je me renseigne sur la série est-ce qu'elle est terminée ? Et si oui, en combien de tomes. Elle est terminée en 10 tomes. Bon...allons-y, je me lance !



Alors ? J'ai apprécié et je regrette déjà de ne pas avoir acheté le 2e tome qui était également disponible !

Les dessins sont très agréable et reposant, j'aime beaucoup. J'ai un peu de mal avec le noir et blanc par contre.

Concernant le sens de lecture, je dois à chaque fois y penser avant d'attaquer la page. Et je me trompe souvent dans le sens de lecture des dialogues...mais ça va venir !



Et pour l'histoire ? Sachant qu'elle dure 10 tomes, on se dit que ça va quand même prendre du temps à se mettre en place.

Ce premier tome nous présente les personnages principaux Aoko et Tatsuki et on commence doucement à faire leur connaissance. Tatsuki est très taciturne et renfermé, on se demande ce qu'il a vécu pour être ainsi.

Aoko est plus volubile, mais discrète aussi.



Il est aussi très intéressant de découvrir cet univers autour de la porcelaine. J'aime beaucoup l'artisanat c'est fascinant.



Il ne me reste plus qu'à me procurer le tome 2 et à attendre patiemment la traduction des 8 prochains...en espérant que cela ne prenne pas trop de temps !
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Kids on the slope, tome 9

Toute la petit bande a bien grandit et comme souvent après le lycée ils se sont un peu perdu de vue. Heureusement les vraies amitié durent toujours !
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