Éric Corbeyran

La saison 2 se focalise sur le personnage de Sandor G. Weltmann, un insaisissable magnat de l'industrie pharmaceutique. Un tome intermédiaire ou l'on progresse et converge peu à peu vers le dénouement. Toujours les mêmes critiques sur les couleurs et l'abus d'hémoglobine à tout va, sinon le rythme reste rapide et le dessin dense.

Quelle alchimie ! Du suspense, de la magie, dans un univers plutôt glauque de cette fin du XIXe, pour ce premier album fort prometteur.
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Dans sa veine réaliste, le dessin de Horne déçoit un peu par son côté trop raide et une colorisation inégale.
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Au final, voilà donc une série qu’on suivra avec un intérêt modéré, mais un intérêt quand même, son gros avantage étant d’être bouclée en un an seulement.
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Affrontement se révèle une parfaite conclusion pour une série qui aura su conserver une qualité et une cohérence constante.
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Laura apprend que son père vient d'avoir un accident de voiture et est dans le coma. Elle est alors soulagée, non pas que son père ne soit pas mort, mais qu'il va surement mourir, pourquoi ?



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L'histoire est très bien menée, avec un rythme rapide, régulièrement coupé par des phases d'explications de la psychologie des tueurs en série, apportant ainsi une bonne approche du sujet.
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Le dessin d'Eric Chabbert est à la hauteur de cette série. Il a su camper d'excellents personnages qui permettent aux lecteurs de s'intéresser à eux. Les décors sont d'une rare beauté.
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Ne ratez pas cette belle série conçue par Eric Corbeyran et Alice Picard. Le voyage en vaut la peine !
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Voilà donc une très belle adaptation de l'oeuvre de Poe, Le scarabée d'or. Les amateurs seront ravis de retrouver une oeuvre comme celle-ci, qui permettra aux autres de découvrir l'un des chefs d'œuvres de la littérature fantastique !

A ne pas manquer !!
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La variété des BD induite par les différents dessinateurs correspond parfaitement à la diversité des situations : sourds de naissance, enfants de sourds, devenus sourds, interprètes ; honte, discrimination, malice, cas de conscience, solitude... Une excellent introduction à la culture sourde.

Suro fait du bon travail sur les planches de cet album. Il est vrai que son style fait assez "grand" et permet de mieux apprécier son travail. Là où certains peuvent vous faire dix ou douze cases, lui se contente de cinq, voir trois par pages et cela marche très bien. Les couleurs de Malisan sont assez belles et imprègnent parfaitement l'univers des Stryges.
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Un thriller fantastique de grande qualité qui fait de cette bande dessinée un valeur sûre dans le monde des bulles !
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Le travail de Richard Guérineau est tout aussi réussi que dans les précédents tomes. Un trait net, clair, précis et dynamique, le tout agrémenté de couleurs très adroitement mis en lumière rend à la fois plus clair des scènes pourtant sombres.


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Rarement [...] Bordeaux aura été représentée avec autant de réalisme [...]. Avec son trait réaliste pouvant vite virer au sombre, Horne était un dessinateur idéal. L’association des trois auteurs, avec la coloriste Catherine Moreau, donne un polar à la française crédible et vivant comme on aimerait en voir plus souvent.
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Si l’ensemble fonctionne plutôt bien, on reste un peu en attente de voir où tout cela va nous mener. Car les scènes sur le personnage se réveillant dans le noir ont beau être angoissantes à souhait, on ne les rattache pas encore au récit principal.
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Résumé : Nous sommes dans un futur controlé par une société totalitaire qui vient de faire passer une énième loi liberticide, celle qui interdit de se suicider...

Dans ce monde, une jeune femme, Lynn, cherche à savoir ce qu'il est advenu de son mari qui travaille pour une société de transport de déchets dans l'espace. Il y aurait eu un accident et Lynn n'a aucune nouvelle de la part de la société. Un journaliste, en quête d'article qui pourrait gêner le gouvernement se propose de l'aider.

Il apprend par l'intermédiaire d'un cadre de la boîte que les hommes sont mis en quarantaine suite à un contact avec un objet/Animal, ils ne savent pas trop, extra-terrestre.

Lynn est aussi aidée par sa soeur qui travaille au ministère. Mais son beauf-frère ne l'aime pas et va tout faire pour l'écarter de la famille.

Pendant ce temps le journaliste est arrêté. On le soupçonne d'être à l'origine de la diffusion d'un conte pamphlétaire.





Mon avis : Je ne sais pas comment fait Corbeyran pour être à l'origine d'autant de récits. Une nouvelle série donc qui sera une tétralogie.

L'histoire est très intéressante et le monde totalitaire qu'il créé est tout à fait crédible. Cela fait un peu froid dans le dos d'ailleurs.

On est happé par le récit qui se déroule sous nos yeux.

On pense tout de suite à d'autres livres ou films comme Brazil, Blade Runner. Enki Bilal signe préface.

Les dessins de Grun sont tout simplement splendides et les couleurs adoucissent le propos.

Une très bonne nouvelle série de SF à suivre.
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Le récit, bien que prenant appui sur le bon vieux classique attrait du régime nazi pour l’occultisme, est entrainant et contourne les clichés. Les deux histoires parallèles et leurs interactions sont menées avec brio. Ce premier tome est riche en surprises qui devraient ravir les lecteurs de la première heure comme les néophytes.
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Un bon premier épisode dont le titre est un clin d'œil au surnom du port de Bordeaux, qui pose les bases d'une intrigue certes classique mais captivante.
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Serge Fino montre sa propension à dessiner de manière réaliste un cadre historique entre Venise, Londres et l’Anatolie. Le niveau général de la collection étant élevé, il lui fallait être irréprochable dans chacune de ses planches. C’est le cas ! Encore une idée un peu folle bien réalisée.
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