On dit que l'arrière de couverture est bon moyen pour vendre son roman. Je l'avoue que j'ai été tenté par ce roman un peu différent des
John Grisham de ce monde. Je n'ai lu que la moitié du roman car j'ai décroché lorsque l'auteur
James Grippando a mis l'avocat dans un compte offshore et que la mafia recherche cette argent vivement. Les personnages ne sont pas crédible pour cinq cent même l'intrigue en générale est boiteuse et je ne me suis pas attaché du tout au héros. Trop de fil blanc qui ne tiennent pas ensemble. À éviter au lisez
La Firme ou
le Client.