Jack Rowan/5
5 notes
Résumé :
Tolgrund Burnley (Tol pour les intimes) est un sadique dans l'âme. Mais il ne connaît rien du BDSM. Personne ne lui a jamais appris à tenir ses pulsions en laisse. Il ne sait que les exprimer au superlatif ou les étouffer complètement. Toute sa jeune existence (il a 24 ans au début du roman), il s'est efforcé de faire taire ce qu'il appelle « la Bête » qui rugit en lui. Mais un jour, quand il rencontre Aron, il en tombe aussitôt éperdument amoureux. Aron, qui a touj... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1)
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Ce livre aurait pu s'intituler « Crime et châtiment » tant l'histoire est axée sur la très dure punition que reçoit Tol suite à son crime. Mais le jeune dominateur sadique subit sa peine avec courage et avec l'espoir de retrouver Aron, qu'il aime plus que jamais.
Mais j'avoue avoir trouvé certaines scènes très dures, même cruelles. Et je ne vois pas en quoi le fait de confier un jeune homme qui ne sait pas comment aimer à deux hommes haineux pourra lui apprendre qu'en BDSM, il faut que le dominateur aime son/sa soumis/e ou ait au moins de la compassion pour lui ou elle.
En tout cas, ce roman pourrait donner lieu à une discussion profonde sur la difference entre BDSM et cruauté. C'est pour ça que je lui ai donné 4½ étoiles.
Mais j'avoue avoir trouvé certaines scènes très dures, même cruelles. Et je ne vois pas en quoi le fait de confier un jeune homme qui ne sait pas comment aimer à deux hommes haineux pourra lui apprendre qu'en BDSM, il faut que le dominateur aime son/sa soumis/e ou ait au moins de la compassion pour lui ou elle.
En tout cas, ce roman pourrait donner lieu à une discussion profonde sur la difference entre BDSM et cruauté. C'est pour ça que je lui ai donné 4½ étoiles.
Citations et extraits (2)
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− Je l’aurais fait, Ordure. J’aurais aimé tirer un coup. Mon Maître est un homme bon, très bon, mais je ne suis qu’un méchant petit punk et ne l’oublie jamais. Je l’aurais fait.
− Pourquoi ne l’avez-vous pas fait alors ?
− Tu ne comprendrais pas.
Il m’a laissé dans la noirceur. Il avait tort toutefois ; je comprenais et ça me rassurait. Graduellement, je me suis endormi en pensant à l’amour.
− Pourquoi ne l’avez-vous pas fait alors ?
− Tu ne comprendrais pas.
Il m’a laissé dans la noirceur. Il avait tort toutefois ; je comprenais et ça me rassurait. Graduellement, je me suis endormi en pensant à l’amour.
La pitié n'a jamais eu autant d'attrait que la vengeance.
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