La Dame des tours, tome 1 : Sous l'aile de la renarde

Au XIVe siècle, le pouvoir se partage entre plusieurs familles et la puissance de celles-ci est visible grâce à la tour appartenant au clan. Les familles se sont alliées soit à l'empereur, soit au pape.
Nous sommes en Vénétie, un conflit est en train de naître entre la famille de Condotierra et la famille de la tour voisine.
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J'ai été plutôt déçu par cette lecture… La mise en place est complexe, que ce soit sur le contexte ou les personnages. Puis les tournures de phrases ampoulées et le vocabulaire n'ont pas aidé… Pourtant, le concept est bon et l'histoire, quand j'ai commencé à comprendre qui était qui (c'est-à-dire à la fin) est vachement sympa !

L'auteur a pris soin de mettre en place un univers complet et qui reprend assez bien les conflits typiques qu'on pouvait trouver au XIVe siècle : que ce soit entre les familles, ou entre l'état politique et l'état religieux. C'est creusé et ça peut mener à quelque chose de super !

Mais sur un livre de 150 pages, il faut faire plus simple au risque de ne pas captiver les lecteurs, je crois… !
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Bref, dommage pour moi !
Je remercie babelio et les éditions okama pour l'envoi de ce livre dans le cadre de l'opération masse critique mauvais genre :)

Lorsqu'un clan rival prend le pouvoir de Trevigliano, Condottiera - la fille du gonfalonier de la cité tué pendant l'assaut de la tour familiale - prend la fuite à l'aide des deux étranges hôtes recommandés par Ugolino, le fils de la famille qui vit en Hongrie. 
Il s'agit de Niklaus de Sachseln, un moine suisse qui a voyagé jusqu'aux confins du monde et de sa compagne Masako, une kitsune japonaise. Réfugiés dans le château de son cousin au coeur des montagnes, elle peut désormais compter sur l'aide de ces nouveaux alliés pour reconquérir sa tour et délivrer sa mère et sa soeur qui y sont retenues prisonnières!

J'ai lu ce premier tome d'une trilogie dans le cadre de la masse critique mauvais genre de Babelio! La dame des tours, sous l'aile de la renarde est publié aux éditions Okama dans la collection HeYoKa. C'est une collection destinée aux Young Adults qui mêle fantasy et faits historiques réels! 

Et c'est ce qui m'a particulièrement plu dans ce roman qui se situe dans le Nord-est de l'Italie sous fond de lutte du sacerdoce et de l'Empire! " I Rossi, le Parti Rouge, fidèle à l'Empereur, affronte I Bianchi, le Parti blanc, allié au pape." . Il est aussi question de l'Inquisition qui a mené une véritable chasse aux sorcières en Europe! Il faut ici souligner que Olivier May, après des études d'archéologie et d'histoire, a travaillé comme archéologue, enseignant et doyen.

J'ai également apprécié le décor que nous plante l'auteur : cette cité aux douze tours comme le nombre de familles qui dirigent la Cité et qui portent leur nom et forment une couronne autour de la place centrale.

Quant aux éléments "fantasy", ils évoquent les récits mythologiques autour des renards à Cipango, l'actuel Japon.

Enfin le personnage principal féminin qui manie l'arbalète et porte bien son " improbable prénom, comme si son père,  en insistant pour le lui donner à la naissance, avait la prémonition de son incroyable destin; celle qui mène les hommes au combat, la commandante en chef! "

Ce premier tome à la la couverture particulièrement attrayante, est sorti le 6 octobre. Je lirai sûrement la suite! 

Condotierra, est la fille du gonfalonier de Trevigliano. Alors que son frère s'est enfui pour vivre son histoire d'amour, c'est à elle que revient le devoir de défendre sa tour quand celle-ci est attaquée. Pour sauver sa soeur et sa mère et reprendre sa tour, elle peut compter sur Niklaus de Sachseln et de son âme soeur Mistuko, une Kitsune japonaise.

Premier tome d'une trilogie dont la suite est encore à paraître, la Dame des tours, emmène le lecteur dans une épopée moyenâgeuse, mêlant histoire et fantasy, sur fond de chasse aux sorcières. Un roman Young adult original qui plaira au férus d'aventures et de grandes légendes.

On sent qu'Olivier May prend un réel plaisir à construire son riche univers et à donner vie à ses personnages et ça se sent même si la mise en place du décor peut sembler un peu longue et complexe pour le lecteur. Enfin, l'auteur s'amuse à utiliser un vocabulaire parfois désuet qui sied particulièrement bien à ce type de texte. Quant au livre-objet, sa couverture est particulièrement réussie avec son jeu de textures !

J'ai reçu ce livre dans le cadre d'une masse critique Babelio et il est loin de m'avoir convaincue.
J'ai été séduite par la couverture que je trouve très belle #fillefutile et par la promesse d'un roman mêlant histoire et fantastique.
Mais j'ai eu beaucoup de mal à accrocher. Tout m'a semblé très confus et complexe inutilement. L'auteur est historien et c'est peut être son côté trop pointu qui m'a dérangée, notamment dans le vocabulaire employé.