À l’équilibre, j’ai toujours préféré la catharsis. Une montée à pic, suivie d’une chute et d’un choc. Puis remonter vers la cime jusqu’à la prochaine chute. Comme si, chaque fois, j’oubliais la violence de l’impact. Ne gardais que la grisée de l’ascension. Le problème, c’est qu’on peut toujours monter plus haut et tomber plus bas. Les sommets n’existent pas plus que les bas-fonds. L’humain trouvera toujours un moyen d’aller trop loin. N’empêche, quelque chose devait... >Voir plus