La première fois que j'étais entré au CAFE PANIQUE, en compagnie de Cul-Sec qui tenait à me présenter Verre-en-Main, avec lequel, selon lui, j'étais fait pour m'entendre, j'avais trouvé l'endroit formidable.
Tous les vins que nous avions pris ce jour-là étaient bons, Deux-Minutes, la fille qui servait, souriante, et la porte si proche qu'on avait l'impression d'être sur le trottoir.
Ce sont des détails qui comptent pour un bistrot.
Et puis, c'est important, la lumière est belle.
En partie grâce à la patine des murs et du plafond, mais aussi peut-être, parce que les globes de verre dépoli n'étaient pas propres....
Il régnait une atmosphère dorée qui embellissait tout le monde.
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