Un gros blockbuster qui tabasse, avec ce qu'il faut d'explosions, de gros bras tatoués, d'armes qui déchargent leur lot de douilles et même quelques scènes de bikinis, que demander de plus ?
Lire la critique sur le site : Sceneario
Malgré donc quelques longueurs et répétitions d’effets de style, ce gros album assure l’essentiel, à savoir un thriller guerrier à grand spectacle et à gros gunfights, dans un registre finalement assez rare en bande dessinée, c’est-à-dire avec un soin du détail et un point de vue pas si décérébré.
Lire la critique sur le site : BoDoi
Très à son aise dans ce type d'histoire, Amazing Ameziane propose avec Cash Cowboys un album musclé et plein de rebondissements. Il faudra toutefois avancer dans sa lecture avant d'en tirer le meilleur et passer un bon moment de détente.
Lire la critique sur le site : BDGest
Cash Cowboys est un album coup de sang et coup de poing, à la frontière du film d’action et du thriller politique avec des dialogues à la Clint Eastwood.
Lire la critique sur le site : LeSoir
Darkwateur, une milice privée qui veut défendre l'hégémonie américaine et qui recrute ses mercenaires parmi les retraités des différentes armées. Sam Hicks, un ancien SAS (Special Air Service) du MI6 accepte d'infiltrer leur rang, pour essayer de retrouver quelqu'un en échange. Il rejoint le groupe formé de Darwin, un ancien équipier des SAS, une femme, Umata, un ancien agent du Mossad et Ewan. Leur mission ? Protéger un site industriel d'un cartel mexicain de la drogue qui veut avoir accès à un tunnel souterrain. Mais c'est sans compter les traitres, les complots...
Le récit avance de façon chronologique différente : il s'ouvre sur la reprise de service auprès du MI6, puis suit la mission Cartel / El Cuchillo, tout en étant entrecoupé d'avances rapides, la chute en plein vol de Sam et l'arrestation de Darwin et d'Umata.
Certaines planches tranchent : souvent elles mettent en scène les combats d'Umata, sous forme de silhouettes.
Une bande dessinée intéressante. Aux éléments classiques de guerre, l'importance du soutien inconditionnel entre une équipe, le côté placide et antihéros du superhéros, droit dans ses bottes, s'ajoute des éléments originaux.
Cette histoire traite en effet de guerre, de gangs, de cartels, mais aussi de géopolitique, d'économie, et de démocratie. Car privatiser la défense d'une nation n'est pas sans danger...
Dans le 146e épisode du podcast Le bulleur, on vous présente Lucille, album que l'on doit au scénario d'Ilaria Ferramosca, au dessin de Chiara Abastanotti et aux éditions Paquet. Cette semaine aussi, on revient sur l’actualité de la bande dessinée et des sorties avec :
- La sortie de l'album Hayat, d'Alep à Bruxelles, un titre que l'on doit à Anaële Hermans, aidée de Manal Halil pour le scénario, de Delphine Hermans pour la partie dessin et c'est édité chez La boite à bulles
- La sortie de l'album Le royal fondement que l'on doit au scénario de Philippe Charlot, au dessin d'Eric Hübsch et c'est édité chez Grand angle
- La sortie de l'album Nazi killers, le nouvel album que l'on doit à Amazing Améziane et aux éditions du Rocher
- La sortie de Glaise, album adapté d'un roman de Franck Bouysse par Fabrice Colin, mis en dessin par Loïc Godart et édité chez Marabulles
- La sortie de l'album Psychothérapies que l'on doit au scénario conjoint de Jessica Holc et de Ghislain de Rincquesen, au dessin d'Émiliano Tanzillo et c'est édité chez Glénat dans la collection Vents d'ouest
- La réédition de Ghost World, album de Daniel Clowes qui est sorti chez Delcourt dans La bibliothèque de Daniel Clowes
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