AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,62

sur 115 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Anna c'est une histoire qui débute en 2020, l'histoire d'une pré adolescente et de son petit frère qui doivent survivre en Sicile après une épidémie mondiale (La rouge) rayant les adultes de la surface de la Terre (toutes personnes ayant dépassé la puberté plus exactement).

C'est aussi et surtout un récit sur les responsabilités, la façon de penser et de réagir aux événements du point de vue d'une enfant plus tout à fait gamine et pas encore tout à fait jeune femme.

Nous y trouverons peu d'action, la n'etant pas le but du roman, même si par moments il lui faut bien montrer qu'elle a de la ressource la petite Anna si elle veut protéger son petit frère hyperactif (un bambin qui même en temps normal doit être difficile à gérer). Elle découvrira les malheur que le mensonge peut entraîner même si il est dit dans une intention charitable, elle y découvrira aussi l'amitié et ses premiers émois sentimentaux, la drogue, la trahison, la culpabilité, la peur, la joie, l'espoir et plein d'autres sentiments, un point fort du roman.

C'est une histoire intéressante écrite par l'auteur du très bon “Moi et toi” mais qui tombe à une période où le post-apocalyptique foisonne et où il faut donc se démarquer si l'on choisi d'écrire sur ce thème, malheureusement ici ce n'est pas très original, j'avais l'impression en lisant que c'était un peu du déjà vu.
C'est tout de même une histoire qui peut plaire, notamment aux plus jeunes car même avec le contexte nous ne sommes pas dans quelque chose d'hyper violent et les quelques scènes dure sont écrites avec tact.
L'auteur laisse une fin ouverte pour que le lecteur se fasse sa propre opinion sur le destin d'Anna mais qui permet aussi une suite, personnellement je ne crois pas trop à cette deuxième option.

Voir la chronique sur mon blog :
Lien : http://unbouquinsinonrien.bl..
Commenter  J’apprécie          170
Ce genre littéraire a la vogue ces derniers temps, donc pour intéresser son lecteur, il faut se démarquer !

Niccolo Ammaniti a au départ une idée assez originale, puisque le adultes ont disparus suite à un virus !

Ok jusque là on se dit sympa comment vont se débrouiller ces gamins seuls face à l'horreur !

L'auteur a pris le partie de centrer sa fiction sur Anna et Astor son petit frère, c'est une vraie mère pour lui et elle tente de le protéger de l'horreur. Bizarrement je m'attendais, malgré cette apocalypse à ce que les enfants tentent de se regrouper ! Mais en fin de compte, même pour les enfants, les plus faibles sont sous la coupe des plus forts, ce qui est encore plus flagrant avec des enfants, qui n'ont eu aucune limite, ou s'en souviennent si peu.

L'auteur arrive, à travers ses descriptions à nous imprégner de l'atmosphère de son récit, grâce à des description très imagées et digne d'un bon film (Les enfants vivants en communauté dans l'hôtel, les vaches dans la grande surface, les squelettes parsemés ...). Il ne révolutionne pas le genre, mais laisse entrevoir un rite initiatique du passage de l'enfant à l'adulte

Anna est une condamnée et elle le sait, elle tente par tout les moyens de transmettre à son frère l'instinct de survie.

Peu d'action, mais beaucoup de réflexions, de souvenirs, de peurs d'enfants face à la mort, mais surtout la peur de laisser l'autre dans ce monde sans espoir ! Pourtant, là on retrouve tout à fait le propre du caractère de l'enfant, l'espoir est au centre de ce roman ! La vie prends le dessus, l'envie de vivre est plus forte que tout ! Les enfants ont des ressources que nous adultes soupçonnons tellement peu...

Les sentiments d'Anna sont très bien décrits, ce qui donne une réalité au roman que l'on arrive très bien à transposer dans un futur proche....

Malgré le pessimisme de ce roman, l'espoir parsemé de gouttes de croyances sorties de l'imagination des enfants.... se laisse lire, mais ne révolutionne pas le genre.

Je ne connaissais pas l'auteur, mais il est agréable à lire, même si j'ai bien failli abandonner ma lecture que j'ai trouvé trop longue par moment... Mais la ténacité d'Anna la rend attachante.

J'ai eu une petite pensée pour « Sa Majesté des Mouches » de William Golding, privés d'adultes, les enfant se réinventent un monde, constituent de nouvelles règles pour tenter de survivre, Anna est dans la même veine, mais en plus moderne.

La fin est à l'image du livre, brutale et sans mais bizarrement avec une ouverture sur un probable espoir d'une vie meilleure.
Lien : https://julitlesmots.wordpre..
Commenter  J’apprécie          70
Voici un petit post-apo assez récent dont je n'avais jamais entendu parler.
Le contexte : dans un avenir très proche, un virus frappe mortellement l'humanité, n'épargnant que les enfants. L'histoire se déroule en Sicile, quelques années seulement après l'apparition de ce fléau, qui est toujours une réalité. Quelques années, c'est à la fois peu et beaucoup. Ainsi, les orphelins ont pu survivre sans trop de peine en glanant les ressources alimentaires encore récupérables dans les villes et les champs laissés à l'abandon. D'un autre côté, la disparition des adultes (les Grands) a rapidement entrainé la chute de la civilisation, et l'émergence de comportements primitifs.


Dans ce cadre au périmètre bien défini (on ne s'intéressera pas aux causes du virus), nous suivons Anna et son jeune frère, depuis leur maison du domaine familial jusque sur le continent. Leur périple est pour eux une quête du sens de la vie et pour nous l'occasion de plonger dans ce monde moribond imaginé par l'auteur.

C'est un petit roman qui se lit facilement, en dépit de ses descriptions omniprésentes et de phrases parfois longuettes.


Tout paraît très classique dans ce roman (pour du post-apo) : le contexte et le cadre, la structure narrative, la trame construite autour de la quête personnelle, l'errance et les rencontres.

Le style m'a furieusement rappelé celui de Barjavel dans Ravage (un vieux classique du post-apo justement). On retrouve le poids des descriptions, le ton mélancolique, l'empreinte de la nature, la recherche de l'évocation avec l'omniprésence des métaphores. Malheureusement, le résultat est loin d'être aussi convaincant : là où Barjavel excelle avec son écriture légère et poétique, celle d'Ammaniti donne l'impression de sonner légèrement faux, et ce de manière récurrente. Un défaut qui pourrait passer inaperçu si une bonne part du roman n'était pas consacrée à la description des lieux et des personnages. J'imagine tout à fait un défaut de traduction (d'ailleurs, je commence à percevoir que les auteurs à métaphores sont probablement désavantagés quand vient le moment de traduire leurs textes).

Le déroulement de l'histoire est linéaire, simple et logique. Il est entrecoupé de nombreuses séquences de type flashbacks apportant parfois des éléments de contexte sur l'univers ou certains personnages. Ces séquences participent souvent à la mise en relief ou à l'explication d'un évènement particulier de la trame principale, et c'est assez réussi. En revanche, elles sont souvent un peu longues par rapport à l'effet recherché et se perdent parfois en digressions.


J'ai trouvé les personnages plutôt réussis. Avec une ado fille pour personnage principal, j'avais de grosses craintes. L'auteur a façonné des personnages très crédibles et agréables à suivre. Ainsi Anna est plutôt forte physiquement et de caractère (on ne s'attend pas à moins pour survivre aux épreuves qu'elle va traverser), et pour autant on voit bien comment, sous le coup de l'épuisement, ses forces l'abandonnent et sa volonté vacille. Aussi, elle est plutôt mature et futée, mais commet parfois des erreurs.

Autre réussite liée à celle des personnages, ce monde d'après est montré à travers les yeux d'enfants. On y voit leur naïveté, leur spontanéité, leur capacité d'adaptation, mais aussi leur cruauté et leur propension à se laisser influencer.


Je reste déçu de cette lecture. D'une part, les légers défauts d'écriture ne m'ont pas permis de m'immerger dans ce monde ou d'en ressentir l'atmosphère. Même les lieux, pourtant décrits longuement et systématiquement, je n'arrivais pas toujours à me les représenter précisément. D'autre part, à aucun moment l'émotion n'a décollé chez moi, malgré des personnages attachants et des scènes fortes. Quant au dénouement, ce n'en est pas vraiment un, ce qui m'a aussi agacé, même si je m'y attendais depuis un moment.

Les amoureux de la Sicile apprécieront spécialement ce roman qui fait la part belle à cette grande île.
Commenter  J’apprécie          50
Un virus a frappé les Hommes, et plus précisément les adultes. Anna s'occupe de son petit frère, Astor. Tous les deux tentent de survivre dans un environnement hostile.
Les romans post-apocalyptiques sont des romans que j'apprécie particulièrement. Dans Anna, je pensais retrouver l'ambiance de la saga Autre-Monde de Maxime Chattam, mais ce ne fut pas le cas. J'ai trouvé certains passages très touchants, notamment celui de la perte de la mère, et les instructions qu'elle a laissé à ses enfants. Mais je ne sais pas... J'ai l'impression qu'il manque un petit quelque chose pour que ça soit mieux. Certains passages ne sont pas vraiment utiles et trainent en longueur... En bref l'histoire aurait pu être plus intéressante, c'est dommage.
Commenter  J’apprécie          43
La Rouge s'est répandue dans le monde entier. Des tâches apparaissent sur tout le corps. Une terrible fièvre suit. Puis la mort. Les adultes sont partis les premiers. Ne restent plus que les enfants, qui décèdent à leur tour vers l'âge de la puberté. Anna a treize ans. Son frère Astor, huit. Cela fait maintenant quatre ans qu'ils survivent...

Anna se débrouille avec les dernières indications de sa maman, mais les difficultés sont là. Pour se soigner, pour se nourrir. Pour préserver Astor. le contexte est bel et bien difficile et l'auteur nous rappelle à de nombreuses reprises que ce ne sont que des enfants. On sent son envie de réalisme et il ne facilite donc pas les choses. Les règles d'hygiène ont été oubliées. L'utilisation des médicaments est discutable. L'alcool est bu comme du petit lait. Les enfants sont plus que jamais livrés à eux mêmes.

Dans ce roman, l'auteur met l'accent sur la psychologie de ses personnages, plus que sur leur survie ou leur voyage en lui même. Ne vous attendez donc pas à une lecture trépidante. J'ai personnellement aimé tous ces détails autant que leur sombre aventure. On parle de leur vie d'avant. de leur famille. Les souvenirs remontent à la surface, et tout ceci les affectent d'une manière ou d'une autre. Même si aucun enfant ne le dira de vive voix.

Anna est destinée à mourir de la Rouge. Elle le sait et ne croit pas à un éventuel vaccin. Elle mourra comme tous les autres. C'est inévitable. Dans ces conditions, une seule question se pose : A quoi ressemblera la fin d'Anna et Astor ? Au vu des événements, on ne peut que la redouter. On se dit qu'elle arrivera tôt où tard, même si ce n'est peut-être pas dans les pages de ce roman. J'ai donc beaucoup aimé cette fin ouverte qui nous est proposée. Ma lecture a été plutôt sombre, je pensais qu'il n'y avait véritablement aucun espoir. Mais nous terminons sur une note positive, aussi curieuse et insolite soit-elle.

Ce fût pour moi une lecture bien singulière. Au point de ne pas savoir si j'ai totalement apprécié. J'ai lu beaucoup de roman post-apocalyptique, j'adore ça. Mais celui-ci est probablement le plus réaliste, dans sa version la plus poignante et la plus dérangeante. Nous avons affaire à des enfants livrés à eux mêmes et le résultat n'est pas beau à voir. Dans les romans du genre, il n'est pas rare d'y trouver des vrais héros, des enfants autonomes et responsables, des enfants qui ont grandi très vite à cause de la fin du monde. Ici, ces enfants restent des gosses. Des pauvres gosses qui tentent de survivre tant bien que mal, dans les ruines du monde des Grands...
Lien : http://revesurpapier.blog4ev..
Commenter  J’apprécie          20
Nous sommes en 2020, en Sicile. Sur cette petite île qui s'accroche presque à la botte de l'Italie, vivent Anna et son petit frère Astor, et pas grand chose d'autre. Quelques années plus tôt, un virus inconnu surnommé La Rouge a déferlé sur la planète, décimant tous les adultes plus où moins rapidement. de manière assez mystérieuse, la maladie ne se déclare chez les enfants qu'avec les signes de puberté. Les Grands réduits à l'état de cadavres à la décomposition plus où moins avancée, ne reste alors plus sur la planète qu'une génération d'enfants de moins de 14 ans, résignés à survivre en attendant la mort. Ou une guérison miraculeuse.

A Castellammare, au nord ouest de l'île, les deux enfants tentent de survivre dans la maison de leur mère. Astor, quatre ans, vit enfermé dans le terrain familial, effrayé par toutes les horreurs qu'Anna a inventé pour éviter que son petit frère n'aille se confronter à la laideur du monde. C'est elle qui explore les villes à l'abandon, errant de boutique saccagée en maison déjà fouillée, dans l'espoir de trouver quelques vieilles conserves leur permettant de se remplir l'estomac de temps en temps.

Sur cette île coupée du monde, livrée à elle-même, règne un espoir d'enfant : une Grande aurait survécu, et serait immunisée face au virus. Cette adulte érigée en déesse vivrait protégée par une meute d'enfants dans un hôtel du coin, et chacun y va de son histoire pour imaginer comment la contenter, afin d'obtenir d'elle une immunisation. Pour Anna et Astor, l'espoir se situe sur le continent, où elle est persuadée que certains ont survécu et mis au point un remède. de Palerme à Messine, commence alors un long périple dans un territoire peuplé de cadavres, de bandes d'enfants errants et de meutes de chiens affamés. Un voyage vers l'espoir.

Romancier italien bien connu à l'étranger, Niccolo Ammaniti voit la plupart de ses romans adaptés au cinéma. Anna dérogera peut-être à cette règle : si le roman se lit avec avidité, et que la plume est belle et l'histoire émouvante, haletante, impossible de s'enlever de l'esprit un air de déjà lu, de déjà vu. Anna pourrait être une variante de la Route de Cormac McCarthy, qui semble avoir posé les codes du genre. Les amateurs de série retrouveront également l'ambiance post-apocalyptique de The Walking Dead, zombies en moins. Un bon roman, mais qui m'a un peu déçu par son manque d'originalité.
Lien : https://www.hql.fr/anna-nicc..
Commenter  J’apprécie          10
Un virus a éradiqué tous les adultes de la planète. Seuls survivent quelques enfants, qui une fois l'adolescence passée, décèdent. L'humanité semble perdue. L'héroïne, Anna, vit avec son jeune frère, suivant un cahier écrit par sa mère quelques temps avant qu'elle meurt.
On pourrait redouter une énième histoire apocalyptique, avec un lot de méchants garnements avides, une gentille fille pleine de bons sentiments, des scènes de villes désertiques. On en est malheureusement pas loin. La seule différence avec ce sujet tant de fois abordé (en littérature, ciné, série…) est l'héroïne. Les personnages ne sont pas des adultes mais des enfants qui perdent tout repère dans un monde déshumanisé. Comment grandir sans repère, tout en sachant bien que la mort les guette au tournant. La jeunesse naïve résiste tant bien que mal, mais le Mal est si proche, la survivance devient un état d'esprit. On peut regretter de nombreuses séquences attendues. Les enfants grandissent malgré eux trop vite pour tenter de vivre rapidement avant leur mort. Une légère déception par un manque de surprises, malgré quelques belles phrases & pensées en cours de lecture.
Commenter  J’apprécie          10
Ce livre par plusieurs aspects n'est pas sans rappeler certains romans adolescents post apocalyptique.

Anna est forte et courageuse, c'est elle qui s'occupe de trouver des médicaments et des vivres. Elle fait tout pour son frère (Astor), ce qui la rend d'autant plus attachante. Elle va faire plusieurs rencontres lors de sa recherche D Astor. Certaines seront dangereuses, d'autres plus sympathiques.

Cette histoire mélange les passages d'action, de suspense, d'espoir et de désespoir. le livre se lit bien et il reste sympathique mais il n'est pas un coup de coeur. Je l'aime bien sans plus.
Commenter  J’apprécie          10
Ce livre post-apocalyptique raconte l'histoire d'Anna, 13 ans, et de son petit frère Astor, 8 ans, survivants d'un virus qui tue les plus de 14 ans. Que des enfants donc dans cette quête d'un sauvetage illusoire.

Nous découvrons une Sicile dévastée, quatre ans après le début de l'épidémie. L'intérêt de ce récit réside pour moi dans la pugnacité d'Anna à rester en vie, et à sauver son frère quand celui ci sera enlevé. Leur route croisera un chien errant féroce mais qui s'attachera à eux avec tout l'amour qui lui a manqué, et Pietro un jeune garçon de l'age d'Anna, débrouillard et amoureux.

Tous les quatre vont s'entraider, se soutenir, lutter contre les bandes de gamins qui hantent l'île et entretenir l'espoir d'une vie future sans virus.

Une lecture plutôt pas mal mais avec une fin où il manque quelque chose, pas assez développée, et c'est dommage.
Commenter  J’apprécie          10
C'est un petit roman d'anticipation que j'ai bien aimé. J'ai pas eu une grande impression d'originalité, une Terre dévastée par un virus où seuls des enfants ont survécus c'est pas l'histoire la plus originale (et pourtant j'en ai pas lu des masses des romans SF), et malgré tout je me suis laissée entraîner dans le sillon de Anna sans aucune difficulté.

Au début cela m'a fait pensé un peu à Autre-Monde de Maxime Chattam, du fait que les Grands ont tous disparus, mais la similitude s'arrête là, le reste n'a plus rien à voir.

J'ai pris beaucoup de plaisirs à suivre les aventures de ce petit bout de femme, très mature et débrouillarde pour son jeune âge (13 ans), qui doit non seulement s'occuper d'elle-même et survivre tant bien que mal, mais également s'occuper d'un tout petit bout'chou. Elle fait tout ce qu'elle peut pour préserver son frère et gérer la situation, c'est super mignon et attendrissant.

Ce qui m'a frappé c'est le mélange entre la beauté des sentiments, l'amour partagé par les personnages et la dureté du monde qui les entoure.
Ce qui fait aussi le point fort du récit c'est le dépaysement total. L'histoire se passe en Sicile, c'est assez original et ça sort des sentiers battus où ont a l'habitude de se retrouver à New-York ou aux USA de manière générale, où à Paris etc... Ici on sort vraiment du cadre habituelle, c'est vraiment rafraîchissant et plaisant.

Même si ce n'est pas un coup de coeur, ce livre vaut bien le coup d'oeil, il m'a fait passé par divers sentiments, assez fort surtout sur la fin, même si le dénouement final m'a quelque peu déçu. J'aurais aimé davantage d'explications sur la situation générale. Je vois bien une suite, même si je pense que ce n'est pas prévu, ça pourrait être vraiment intéressant d'étoffer davantage l'univers créé.
Lien : http://voyageaucentredeslivr..
Commenter  J’apprécie          00


Lecteurs (279) Voir plus



Quiz Voir plus

Grandes oeuvres littéraires italiennes

Ce roman de Dino Buzzati traite de façon suggestive et poignante de la fuite vaine du temps, de l'attente et de l'échec, sur fond d'un vieux fort militaire isolé à la frontière du « Royaume » et de « l'État du Nord ».

Si c'est un homme
Le mépris
Le désert des Tartares
Six personnages en quête d'auteur
La peau
Le prince
Gomorra
La divine comédie
Décaméron
Le Nom de la rose

10 questions
827 lecteurs ont répondu
Thèmes : italie , littérature italienneCréer un quiz sur ce livre

{* *}