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EAN : 978B07YRTNLMV
7 pages
(05/10/2019)

Note moyenne : /5 (sur 0 notes)
Résumé :
Après le deux décembre et la traîtrise immenseDont le César bandit couronna sa démence,Le croirez-vous, Français, on ose conspirer,Pour jeter la patrie en proie au fils de l’hommeMonstre en crime, plus grand que les Césars de Rome !Gouvernement des loups, on veut te restaurer !Qui veut faire hériter l’avorton du vampire ?Qui veut ressusciter cet exécrable empire,Dont Sedan a rompu les membres disloqués ?Ce sont des malfaiteurs, des repris de justice,Qui veulent que ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
Un an avant sa mort, et d'un âge avancé, le légitimiste Edouard d'Anglemont joint ses idées politique à sa poésie pour défier le courant bonapartiste, sur fond de défaite contre la Prusse : il s'imagine en guerrier refusant de se soumettre à l'Empire. Il est difficile de déterminer quels remous politiques le poussèrent à écrire un tel texte, alors que la suite montra qu'il s'inquiétait à tort, lui qui ne vit pas le boulangisme. Il y a quelque chose de triste et d'un peu absurde, donc, à trouver quelque accent hugolien chez un poète qui, contrairement à Victor Hugo, n'eut pas à démontrer qu'il avait de la suite dans les idées.
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Citations et extraits (2) Ajouter une citation
C'est en vain qu'en leur antre ils menacent ma tête,
Que leur tourbe me crie, en sa fureur, "Arrête :
"Sinon, barde imposteur, ton jour est arrivé ;

"Sinon tu peur, serpent, faire venir un prêtre,
"Notre bras devant Dieu te fera comparaître ;
"Le mot est dit : sur toi le poignard est levé !"
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Devant ces égorgeurs de notre pauvre France,
Que Verhuel second plongea dans la souffrance,
Que j'aime d'un amour invincible et fervent,

Qui, moi, mon glaive en main, retourner en arrière !
Jamais ! dût leur poignard me frapper par derrière,
Car nul d'eux n'oserait me frapper par devant !
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