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EAN : 9782865532315
166 pages
Jean-Cyrille Godefroy Editions (21/10/2011)
3/5   1 notes
Résumé :

L’oligarchie financière qui gouverne l’Occident depuis plusieurs décennies a fait croire que la crise était imprévisible. Faux : des experts l’avaient annoncée, certains depuis plus de dix ans. Ils avaient les bons outils d’analyse.

La crise entre dans sa phase la plus aiguë avec la « faillite » en série des États, qui se répercute sur les grandes banques et l’économie réelle. À son paroxysme, elle sera pire que celle de 1929 et provoquera la... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
Voilà un essai décapant sur le sujet du moment : l'économie et la crise.

Sur un ton vif, Artur du Plessis répond à la question essentielle : Et nul n'a vu la crise venir ? Aucun des commentateurs, des économistes, des politiques, des banquiers et des organismes de contrôles alors au pouvoir n'a rien vu venir. Et pourtant ils sont tous encore confortablement installés, vaticinant en chaire sur ce qu'il convient de faire pour obtenir un futur radieux vivant aux dépens de ceux qui les écoutent. (texte intégral du XVIIème , Alors les Renards, ça vous dit quelque chose ?)

Et pourtant nombreux et connus sont ceux qui ont annoncé la crise, ses causes et ses effets. Ils sont diplômés, décorés, écoutés par les plus riches pour la gestion de leur fortune

MAIS ils sont écartés de force de la parole publique. Silence, l'oligarchie financière tond son troupeau avec l'accord explicite des Etats inféodés, des syndicats marron, des médias complices et de la Finance avide.
suite....
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Citations et extraits (2) Ajouter une citation
"Ce qui frappera le plus les historiens dans cinquante ans, c’est que tout le modèle de l’économie globale de la fin du XXème siècle, était en fait un gigantesque marché dérivé, reposant sur une expansion du crédit, devenu vitale à sa survie, et de plus en plus vulnérable à un accident local."
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"*On a le pire du socialisme et du capitalisme. Les profits sont privatisés, et les pertes socialisées. Comme ces gens ne courent plus aucun risque, ils peuvent se lancer dans les opérations les plus dangereuses : si ça tourne mal, ils gardent même leur poste et leurs bonus."
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