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3,3

sur 282 notes
J'ai été invitée, le temps de lire quelques 200 pages à un dîner de cons, dans un des quartiers les plus chics de la capitale. Je m'y suis terriblement ennuyée. J'en baille encore en écrivant ces propos !
Sophie du Vivier, la maitresse de maison, invite un homme d'affaire étranger de la plus haute importance. Pour lui tenir compagnie le temps de cette soirée, elle convie quelques amis triés sur le volet. Cette soirée doit être brillante, alors elle frotte toutes ses idées, sélectionne ses relations afin qu'il n'y ait pas de fausses notes. Tout le vernis doit reluire de mille éclats, la table sera tirée au cordeau. Sophie du Vivier, surnommée Madamedu, va jusqu'à mesurer la distance entre les verres et les assiettes, comme à l'Elysée (copieuse !)…..Assurément l'homme d'affaires va en avoir plein la vue.
Les invités arrivent : Marie-Do, esclave de la chirurgie esthétique, Joséphine, directrice d'un programme représentant les médias, Adrien, avocat de renom, un ambassadeur, un financier etc etc…….
Ils devaient être 14. A la dernière minute quelqu'un se désiste. 13 à table ? hors de question. Quelqu'un a une idée lumineuse. Invitons la « bonne » ;
Sonia d'origine marocaine, doctorante en histoire de l'art ôte son tablier et s'assoit le plus naturellement du monde. « Tellement intelligente qu'elle n'arrive pas à éprouver de rejet » !
Et les dialogues sont consignés un peu moins naturellement d'ailleurs, enchaînant clichés, banalités, convenances, idées reçues. Tout me semble cousu avec du fil blanc.
Quelqu'un demande à Sonia « Et vous vous plaisez chez nous ? Et à la question Quelle est votre religion ? Sonia répond : le savoir-vivre !
Je n'ai pas adhéré à cette comédie outrancière où le racisme fuse dans tous les sens. Racisme latent et primaire de la part des invités en direction de Sonia ; racisme méprisant et aux traits quelques peu grossiers vis-à-vis des « bourgeois », propos mordants à l'encontre de cet ambassadeur : « son excellence Alexandre »,qui s'agrippe à son marocain un peu terni « parce qu' il n'appartenait plus à aucun réseaux au coeur des hautes nominations : ni aristocrate, ni homosexuel, ni franc-maçon » et hop ! un coup de griffe au passage pour ces trois groupes catégoriés. Pierre Assouline évoque même le racisme des gens incultes confrontés aux gens cultivés. Et si quelqu'un habite Passy alors là !!!!
Même les femmes, choisies pour ce texte bien sûr, apparaissent comme des poupées refaites et tout juste capables de s'échanger le nom de leur coiffeur ou de leur couturier. L'une d'elle semble cependant assez maligne pour glisser à l'oreille de Sonia : « séparément, ce sont tous des gens de qualité… Oui presque tous, je vous l'accorde. Mais une fois ensemble, ils en deviennent parfois imbuvables. Allez expliquer çà ! Au-delà-de deux, la vie en société agit comme une compétition d'égo où la surenchère révèle ce que l'âme a de plus noir. »
Tous se plient bon gré mal gré « aux structures élémentaires de l'apparté » .
J'ai trouvé ce récit ampoulé, éxagéré et discriminatoire vis-à-vis de pas mal de monde.
Les caricatures sont nombreuses et leur sens devient lourd à mes yeux.
J'ai refermé ce livre, très heureuse de garder un peu d'espoir sur l'être humain qu'il soit avocat, journaliste, employé de maison, français, anglais, péruvien ou femme de !
Je ne retournerai jamais dîner avec ces personnes là! jamais, jamais, jamais.....
Demain je vais réveillonner. Nous serons douze très précisément, à moins qu'une personne s'annonce à la dernière minute………..

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De cet auteur, j'avais particulièrement aimé le bouleversant "Hôtel Lutetia", d'autant plus que je sortais à peine de la lecture de "Suite française" d'Irène Nemirowsky qu'évoque Pierre Assouline dans son livre.
« Les invités » est d'un genre tout à fait différent. On a l'impression que l'auteur s'est beaucoup amusé à caricaturer cette grande bourgeoisie prétentieuse. Peut-être a-t-il profité de son récit fictif pour régler quelques comptes au passage. Toujours est-il qu'on sourit en écoutant pérorer ce petit monde infatué.
Le plus drôle, c'est la superstition qui, pour éviter les treize convives autour de la table, conduira la maitresse de maison à inviter l'employée de maison. Cette jeune femme d'origine maghrébine et dont l'esprit est bien supérieur à celui de ces grands intellectuels va bouleverser les rôles impartis.
On aurait pu tomber dans la caricature outrancière, mais Pierre Assouline sait manier la dérision avec de la légèreté et un humour grinçant.
Roman vite lu, pas du grand Assouline, mais c'est jubilatoire.


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Un dîner à Paris est en soi une comédie française*.

Stupeur : le dîner mondain de Madamedu prend l'eau : ils sont 13 à table.
L'hôtesse est anéantie, autant de cette faute de goût impardonnable que de la solution proposée pour limiter le naufrage: on invite la bonne. le plan de table très réfléchi en est tout chamboulé, d'où crispations de certains, provoquant la pensée d'un invité: "Cette soirée part en couilles, j'adore!"

Un dîner savoureux, que j'ai dégusté en gourmandise pour l'ironie, le zeste de paillardise au détour d'un paragraphe, l'érudition sans affectation et le décryptage du petit manuel d'un certain savoir-vivre. L'élégance y côtoie l'absolue goujaterie, le cynisme, le paraître, le pouvoir de l'argent et le racisme ordinaire.

Exercice littéraire féroce de la part d'Assouline, dont le persiflage sent le vécu, quand il dénonce les vanités d'une certaine grande bourgeoisie. Il nous prend à contre pied avec sa domestique arabe et érudite, quand on pouvait s'attendre à un choc frontal de classes. C'est beaucoup plus subtil et l'auteur sait éviter la caricature et les clichés. J'ai craint pendant quelques pages que le propos incisif ne s'essouffle en dévoilant les fragilités bien cachées, mais la chute post prandiale est sous le signe de la légèreté et de l'humour.

Quelle joyeuse lecture!

(*page 29)
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"Il n'avait tout de même pas l'idée de faire diner la bonne avec eux?"
Mais oui, mais oui "Madamedu", "Madamedu" tout va très bien, tout va très bien.
Sophie du Vivier, la grande bourgeoise perfectionniste experte dans "l'art du placement", dite "Madamedu" par la jolie Sonia discrète et "bien dans sa peau" et l'impulsif Othman, ses employés de maison très classe, se rappellera de sa réception mondaine où, de petits riens en petits riens,rien ne va se passer comme prévu jusqu'à frôler la catastrophe!
Les invités (d'où le titre) étaient pourtant triés sur le volet: un normalien, un énarque ambassadeur, son épouse à "l'enfance aristocratique",un couple de nouveaux riches glamour,un avocat bavard,son épouse "diaphane", une directrice de programmes de chaine cablée,un académicien,une scientifique de haut niveau et "l'invité d'honneur" un richissime industriel canadien.Par le jeu du hasard, un couple s'est désisté, un deuxième normalien distrait se joint au groupe puis se retire s'apercevant qu'il était invité à l'étage du dessus. 13! Les voilà 13! Impossible n'étant pas français voilà une bonne étrangère à leur table pour calmer les superstitieux!
La plume ironique de Pierre Assouline va orchestrer ce cruel repas aux conversations, tous azimuts, des plus pétillantes !
Comme pour le cocktail dinatoire d' Etat LimitePierre Samson "aime soulever le tapis pour voir ce qu'on a glissé dessous", c'est ici Georges Banon "l'invité d'honneur" (le plus humain des convives présents) qui accomplira le même geste en fin de repas, car les défauts des uns et des autres vont apparaitre de ci de là (snobisme,manque de diplomatie,arrivisme,moqueries,humiliations,méchancetés,racisme,perversité,
perfidie,malveillance,vulgarité..) d'où les réactions disparates de cette "comédie des apparences" (entre gêne,malaise,énervement,réparties,lourds silences,jeux de mots pour sauver l'atmosphère plombée,disputes).
Les secrets se révèlent au cours des conversations ou sont surpris au détour d'un regard ou d'une éclipse dans la salle de bains: qui est homosexuel,cocaïnomane,en échec,en désamour,cancéreux...à moins qu'il ne soit pas un bon chrétien bien formaté selon les critères de cette société bien pensante? Elle court, elle court la rumeur!
Je laisse aux lecteurs le plaisir de découvrir ce "dîner de cons" (toutefois imprévu) où bien sûr les rôles parfois s'inversent car les invités tombent de haut!
Pierre Assouline, dont j'avais adoré l' analyse psychologique implacable de Double vie (Prix des libraires 2001) et l'extraordinaire humour mordant d' Etat limite, pond, ici encore, un petit chef d'oeuvre qui conforte sa réputation de grand écrivain aux moult récompenses (Vies de Job a obtenu le Prix français Méditerranée, Lutétia: le prix des Maisons de la presse 2005 et le Portrait: le prix de la langue française 2007).
Bravo et merci pour ce grand moment de détente (aux brillantes formules du style "Un dîner à Paris est en soi une comédie française") et cette belle leçon de vie!
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J'ai beaucoup apprécié cette subtile et cynique analyse d'un dîner de la bourgeoisie parisienne intellectuelle, qui se voudrait détachée des conventions mais en fait ne l'est pas du tout !

le repas ne se passe pas exactement comme prévu car, quelle horreur ! 13 à table...Eh oui,la superstition touche même les êtres supérieurs...On ne peut alors refuser à l'invité de marque, qui doit investir pour le maître de maison,cela dit en passant, la suggestion suivante, qui choque tout le monde, sans qu'on ose s'y opposer: proposer à la bonne de venir s'attabler avec eux.


le livre prend ensuite une dimension jubilatoire et cruelle.Au cours de la conversation, la "bonne" se révèlera aussi- voire plus- instruite que les gens présents , elle prépare une thèse à la Sorbonne sur les jardins.Les joutes oratoires des uns et des autres vont se retourner contre eux car elle mettent en pleine lumière leurs préjugés, cachés sous une apparence de liberté d'esprit et d'originalité.Se révèlent alors les poncifs de leur " caste".

Voilà une comédie cinglante, aux marionnettes un peu cassées par l'inattendue d'un soir...
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Depuis un certain jeudi soir de l'Antiquité, avant la Pâque juive, il vaut mieux éviter de se retrouver treize à table, le plus jeune a quelque malchance de mourir rapidement (mais , si l'on se réfère à l' histoire sainte , ce sont deux personnages qui disparaissent Jésus et Judas Iscariote ! ).
Malgré tous les soins apportés à la préparation de sa réception, c'est un drame que va connaître, ce soir-là, l'hôtesse « Madame du ».
Un dîner organisé dans l'appartement cossu du couple du Vivier, Sophie et Thibault, dans la rue Las Cases, dans le chic 7ème, où sont conviés un important client, George Banon, propriétaire des plus grandes imprimeries du Canada, et d'autres habitués tous, élites de la société parisienne : ambassadeur, financiers, avocat, membre de l'Académie, française, bien entendu, affairistes et arrivistes … Un petit monde aux dents acérées, à la langue fourchue, respectant les codes de ce milieu.
Premier incident, Hubert d'A. se présente, alors que Sophie ne se souvient pas l'avoir mis dans sa liste d'invités.
Très vite, et discrètement, la somptueuse table doit être réaménagée car la maîtresse de maison est rigoureuse dans l'organisation, la présentation, et le placement des convives, suivant strictement les règles protocolaires et celles exigeantes du savoir-vivre et recevoir.
Mais voilà, Hubert d'A. s'est trompé d'étage, il est invité au deuxième, il s'esquive discrètement. Nouvel ordonnancement de la table.
Il est enfin temps de passer à table, et là, malheur, Christina le Châtelard refuse de s'asseoir, les convives sont au nombre de treize !
George Banon proposera que Sonia, la domestique affectée au service de table, prenne place parmi l'assemblée, à ses côtés, au grand dam de Joséphine.
Le repas peut commencer, le grand déballage aussi.
Sonia est agressée, moquée. Avec son physique, Sonia ne peut être qu'un prénom d'emprunt ? Oui, pseudo imposé par la maîtresse des lieux, le sien révèle une prononciation compliquée et surtout une connotation maghrébine : Oumelkheir. Elle finit, aussi, par dévoiler qu'elle achève un doctorat d'histoire de l'art à la Sorbonne.
Pierre Assouline décrit avec une ironie ciselée cette gentry parisienne, confite de snobisme et de supériorité vaine, avec laquelle tout repas partagé devient indigeste. On sent le vécu !
Une satire qui pourrait livrer un scénario intéressant et amusant.

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Mesdames, sortez votre carré Hermès, messieurs chaussez vos mocassins à glands : ce soir vous êtes invités à la table de Madamedu.
Grâce à ce roman,le temps d'un dîner, vous allez en être. de ce petit monde qui cultive un entre-soi soigné et discret. Ils ont bâti autour d'eux une frontière invisible qui les sépare du reste des simples mortels. Ça ne se voit pas. Ça se sent juste vaguement quand on les approche de trop près. Comme quand quelque chose vous démange mais que vous ne parvenez pas à définir exactement ce que c'est. Évidemment vous ne pouvez pas savoir, vous n'avez pas fait les mêmes écoles, ni fréquenté les mêmes familles, celles qui comptent. Eux ils savent d'instinct. Ils ont la certitude d'être à la place où ils sont parce que c'est normal, presque génétique. Alors ils restent parqués entre eux, à cultiver leurs certitudes, les parant d'un certain décorum pour ne pas sombrer dans l'ennui, ni un jour de lueur d'intelligence, percevoir que peut-être le monde ne tourne pas autour d'eux. le scénario de ce dîner est comme celui d'une pièce de théâtre. Il y a tout à coup un imprévu qui bouleverse la mécanique bien huilée, ce petit élément perturbateur qui va dévoiler la personnalité de chacun, confronté à un étranger à leur milieu. C'est assez grinçant, amusant, juste, même si parfois on est à la limite de la caricature. Mais l'auteur aurait été moins loin qu'on lui aurait reproché une certaine tiédeur.
Les personnages sont bien étudiés, et il n'est même pas question de les détester, ni de les envier. C'est juste comme ça et cela le sera toujours.
Alors, faut-il le lire ? Oui. Et c'est un plus si apportez un cadeau à la Maitresse de maison, mais uniquement acheté dans un magasin fournisseur de ces gens là, donc forcément hyper cher. Attention si essayez de refiler une boîte de chocolats qu'on vous a offerte 2 semaines plus tôt : pensez à vérifier qu'il n'y a pas un mot d'accompagnement qui reste dans la boîte de la part de celui qui vous l'a donnée. Si si je vous promet que j'en connais à qui c'est déjà arrivé. Pas à moi. Car je n'en suis pas.
Et pour ceux qui ont apprécié, je recommande aussi du même auteur : le Nageur. Magnifique.
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De nos jours, dans l'univers cossu de la "haute bourgeoisie" ...
"Madamedu" organise un dîner, tout un cérémonial pour celle qui ne veut rien laisser au hasard : plan de table, choix de la nappe, menu, tout est consigné dans un coffre afin de ne pas commettre d'impair ... Mais que se passe-t-il lorsque le "hasard" s'en mele et que suite au désistement d'un invité, l'on se retrouve 13 à table ? Absolument inimaginable pour l'une des convives, il faut d'urgence trouver une solution ... La seule possibilité : convier à cette table la bonne ("horreur"), d'origine étrangère de surcroit ("quelle infamie") ... Et là, très vite les masques tombent ... Une fois gratté le vernis de la bienséance, le racisme primaire refait surface, les lieux communs abondent et les paroles blessantes fusent de ces lèvres que la chirurgie esthétique (passage obligé dans ce milieu) s'évertue à protéger de l'outrage du temps ... L'invité d'honneur (riche industriel canadien) sera le seul à venir en aide à "Sonia" ... Mais en a-t-elle réellement besoin, elle qui en surprendra plus d'un par l'étendue de se connaissances et par son cheminement personnel ...
J'ai adoré ce livre, remarquablement écrit, grinçant à souhait et tellement actuel ! On notera également 2 clins d'yeux discrets à d'autres oeuvres de Pierre Assouline ...
A déguster sans tarder !
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Les invités nous emmène diner dans la grande bourgeoisie parisienne, la maitresse de maison à tout prévu pour faire de cette soirée un moment inoubilable, mais le grain de sable va se glisser lorsque l'un des invités se décommande et oblige "Madamedu" à inviter à sa table une bonne (étrangère de surcroit) pour éviter un diner à treize. La soirée va virer au cauchemar. On voit bien l'intérêt d'Assouline de railler ce monde de l'élite qu'il connait certainement, engoncer dans ces manières et ces certitudes, mais je me suis plutot ennuyé à suivre ce repas. Comme si l'auteur me laissait à la porte de la salle de réception me laissant de tant à autre l'autorisation d'y glisser un oeil.
Parfois drôle et cynique le roman d'Assouline m' a laissé au final un gout d'inachevé.
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J'ai eu beaucoup de mal à entrer dans ce livre qui présente des similitudes, comme l'ont souligné Deashelle et Alma, avec une pièce de théâtre. J'ai trouvé notamment le premier chapitre très (trop) long. J'ai trouvé également ce livre plein de mépris, envers tout et tous ! Dans ce huis-clos, les pires idées convenues sont énoncées en guise de discussion argumentée (sur les médias, le racisme, etc), chaque personnage tient et surtout s'agrippe à son rôle (l'hôtesse, le gentil riche, la bonne discrète et cultivée, la méchante désinhibée, etc…) d'une façon finalement sans surprise, et dès lors qu'un « sujet de conversation » est lancé, l'auteur en profite pour… changer de chapitre !
L'ambiance du livre m'a évoqué, dans une certaine mesure, « l'élégance du hérisson », avec cette idée du « petit personnel » plein de surprises, de la bourgeoisie si pleine de clichés, du gentil riche qui voit au-delà des apparences, de ce vernis de culture intellectuelle dont il faut se vanter pour avoir le droit d'exister. Mais contrairement à Murielle Barbery, Pierre Assouline écrit bien, de façon intéressante et incisive. Ses néologismes sont parlants, ses formulations percutantes et drôles, les dialogues sont enlevés et c'est ce qui, à mes yeux, sauve l'ouvrage.
En conclusion, je suis plutôt mitigée sur ce livre : je suis contente de l'avoir fini, mais également de rendre ce livre à son légitime propriétaire, ma belle-mère !
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