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Citations sur Les Indes fourbes (114)

- Sais-tu, mon bon Pablos, en quoi réside l'essence véritable de la noblesse, ce qui la distingue du commun ? Un cheval, une épée, l'art d'aller vite et de tuer bien.
C'est aussi l'art de payer les choses d'ici-bas avec de grands principes ! (P.129)
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« J’étais parti de trop bas pour renoncer à m’élever. » (p. 28)
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- Bienvenue en Nouvelle-Espagne, l'ami !
- Nôtre maître est planteur de canne. Il vient d'obtenir du vice-roi la jouissance d'une vallée encore vierge. Notre travail, c'est de la nettoyer. Joins-toi à nous ! Je te promets une honnête pitance et du vin à l'envi !

Un outil ! Avais-je traversé l'océan pour m'user les mains sur un manche ?
En mon for intérieur, je jurai de m'en servir le moins possible, fidèle en cela au deuxième commandement de mon père.
- Tu ne travailleras point.
Page 27
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Perdu dans mes rêves, je m'égarai.
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Cupidité des uns, orgueil des autres. Les plus éhontés mensonges peuvent être crus. Il suffit de les accorder au vice de sa dupe.
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Soit endurant, mon fils ! Garde toujours à l'esprit que nos mésaventures les plus cuisantes peuvent se muer, sous la patine des ans, en de savoureuses anecdotes !
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Ne pas crever. Tel était le commandement de mon père.
- Tu sais, fils, pour beaucoup c'est un simple souhait. Mais pour nous autres de la gueusaille, c'est un sacerdoce, un devoir dont chaque jour il faut se convaincre et auquel nous devons veiller !
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CHAPITRE III
Qui traite de ce que verra celui qui lira les mots et regardera les images.
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Sois endurant, mon fils, garde toujours à l’esprit que nos mésaventures les plus cuisantes peuvent se muer, sous la patine des ans, en de savoureuse anecdotes !
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Après tant d’errances,
j’ai fini par comprendre que l’homme qui ne change que de lieu, et non de mœurs
n’améliore jamais sa condition.
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