Comprendre Gertrude Stein n'est pas aisé, la traduire encore moins, la présenter bien moins encore. Ceux qui en France découvrirent Dostoïevski, par exemple, donnent la pénible impression de l'avoir régulièrement méconnu, mais on doit leur témoigner de l'indulgence. Il n'est pas facile de transmettre des idées inhabituelles : on commence par se référer à de plus courantes, ce qu'il est trop commode de blâmer lorsque les exégètes ont accumulé les gloses.
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