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Difficile de noter un classique, non pas qu'il soit forcément meilleur qu'un roman de l'année, ce n'est juste pas comparable...
Mais pourquoi d'ailleurs ? Peut être parce qu'un roman du XIXe siècle ne correspond plus tout à fait à nos attentes et à nos habitudes en matière de fiction et que le plaisir qu'on tirera de sa lecture ne viendra qu'au prix d'un certain effort d'adaptation.
Dans le cas de la Rabouilleuse, l'effort porte précisément sur la partie financière du récit : Comment se gérait et éventuellement se cédait une rente en 1820 ? Balzac accumule les détails, sans doute très exacts, sur les dettes d'une famille et les acrobaties financières accomplies pour les éponger. Cela donne de longues pages peu dramatiques qu'il faut trouver la force de lire (ou l'audace de sauter) avant d'arriver à Issoudun où le lecteur est récompensé. Car le roman y devient épique et la lutte entre les captateurs d'héritage acharnée : un grand moment de littérature sur l'avidité et la mesquinerie de province !
Deux pistes pour trouver une actualité à ce roman :
1. je viens de voir Killer of the flower moon au cinéma et je suis frappé par la ressemblance entre ces deux histoires de spoliation de fortune : Scorcese aurait il réalisé un film balzacien ?
2. je dois bientôt aller à Issoudun. Si j'en crois Maps, Balzac a respecté le plan de la ville. Je vous dirai dans un commentaire si l'âme des personnages hante toujours les rues de la ville...


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Excellentissime roman, qui tient en haleine de bout en bout, peut-être celui où se révèle le plus le talent de conteur du grand Balzac. Turpitudes humaines liées à l'appât du gain y côtoient générosité et désintéressement de la mère et de l'artiste, mais on ne peut s'empêcher d'être fasciné par les méchants de l'histoire, dont l'affrontement annoncé a la saveur d'un "Duel au soleil" ou, mieux, de "la Brute et le Truand" (pardon à Léone pour cette amputation). Un dernier mot : que le lecteur soit patient, la rabouilleuse - personne qui touille le ruisseau pour faire sortir les écrevisses de leur trou - n'apparaît qu'au milieu du bouquin.
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Mon premier contact avec La Rabouilleuse s'est produit à l'occasion d'un dîner au restaurant La Cognette, à Issoudun, car c'est dans cet établissement que se fomentent quelques-uns des complots qui animent cette histoire.
Comme dans le Père Goriot, il y est question d'amour non récompensé. L'amour maternel, d'abord, qu'éprouve Agathe Bridau pour son son fils Philippe, ancien colonel de l'armée napoléonienne, exilé aux Etats-Unis, et qui, à son retour, exploite la faiblesse de sa mère pour satisfaire sa passion du jeu. Puis, il y a l'amour filial de Joseph Bridau, le cadet, artiste-peintre, plein de sollicitude pour sa mère, dont il échoue à capter l'attention.
Comme toujours chez Balzac, il est beaucoup question d'argent dans ces pages, en particulier de l'héritage qui menace d'échapper à la mère aimante et courageuse pour être accaparé par une intrigante, Flore Brazier, la Rabouilleuse et son amant, Maxence Gilet, habiles dans leurs manoeuvres auprès de Jean-Jacques Rouget, le frère d'Agathe, qui vit à Issoudun, dont est originaire la famille. Pour tenter de sauver sa part, Agathe se rend dans sa ville natale en compagnie de son fils Joseph. Elle ne se doute pas des péripéties qui l'attendent.

Ce qui m'a surprise dans cette histoire touffue et pleine de rebondissements, c'est qu'aucun des personnages qui la composent ne semble trouver grâce aux yeux De Balzac. Il ne montre aucune compassion envers la pauvre mère, bafouée et trompée par le fils qu'elle adore. Il n'a pas d'avantage d'indulgence pour la Rabouilleuse, plus ou moins vendue à la sortie de l'enfance au père d'Agathe et de Jean-Jacques, et qui connaîtra un sort terrible. Je n'oublierai pas la figure de Philippe Bridau, principal héros du roman, dont la première apparition donne déjà des frissons.

Une intrigue complexe, des personnages multiples, qui au fil du récit, suscitent des sentiments variables, une imbrication passionnante des rapports humains dans ce petit groupe d'individus et des évènements de la grande Histoire post-napoléonienne, que les notes de René Guise aident à décrypter. de quoi me donner envie de m'attaquer aux autres oeuvres De Balzac qui sont dans ma PAL.
Lien : http://ruedesiam.blogspot.ch..
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Ce roman est intéressant à plusieurs titres. D'abord, il relate ce qu'on appellerait aujourd'hui une saga familiale. L'action commence vers 1792 en pleine Révolution, se poursuit sous l'Empire pour s'achever vers 1835. Ensuite, c'est un roman sur la question épineuse des successions. Comment certains s'emploient à déshériter une personne en toute légalité et comment faire pour détourner une succession. Et puis, c'est un roman qui s'intègre parfaitement dans la Comédie Humaine par les nombreuses interactions avec "le colonel Chabert", "le père Goriot" ou "Illusions Perdues".

Mais je commencerais bien par une anecdote personnelle sur Issoudun, sous-préfecture de l'Indre, où se déroule une partie du roman. J'avais lu et beaucoup apprécié ce roman vers l'adolescence. En particulier j'avais bien aimé la description de la ville d'Issoudun d'un point de vue historique et humain. Mais ne me souvenais plus de certains détails. Il y a peut-être une quinzaine d'années, j'avais rencontré des gens, qui étaient originaires d'Issoudun. Et je m'étais écrié : "ah, mais je connais Issoudun à cause du roman De Balzac" ! Et ma remarque avait fait un flop magistral qui m'avait un peu surpris. Et en relisant le roman, j'ai bien rigolé car je ne me souvenais plus, en fait, de la férocité De Balzac en décrivant les habitants (pas arriérés mais presque, pas avares mais pas loin) d'Issoudun …

Comme très souvent chez Balzac, on voit l'écrivain louvoyer entre son attachement à la royauté restaurée (avait-il bien le choix s'il voulait satisfaire quelques petites ambitions ou simplement réussir à être publié ?) et une admiration sinon un respect pour l'Empire et les personnages issus de cette période. En effet, ici, Balzac nous décrit diverses personnes parmi les anciennes gloires des campagnes de Napoléon qui ont refusé d'intégrer les armées royales et qui vivotent avec une demi-solde. Ceux-là complotent entre eux ou traficotent pour s'en sortir. C'est le cas de Philippe, le fils de la famille Bridau à Paris mais aussi de Max à Issoudun. Mais, d'autres personnages issus de cette période ne manquent pas d'intérêt comme le père de Philippe qui fut un fonctionnaire dévoué de l'administration mise en place par Napoléon.

Le coeur du roman, c'est le tableau familial centré sur la mère, Agathe Bridau née Rouget, d'origine issoldunoise, que le père Rouget avait déshéritée en l'expédiant à Paris. Agathe et ses deux fils Philippe et Joseph. Philippe est son préféré malgré son ingratitude, son cynisme et ses habitudes de soudard. Joseph est le personnage que Balzac bichonne. Il respecte sa mère et lui porte assistance. Il a du coeur. Surtout, c'est un travailleur forcené et cherche douloureusement à percer à travers son métier de peintre. Il y parvient peu à peu à la force du poignet grâce à des amis fidèles et à une reconnaissance de son talent : Balzac est en train de parler de lui-même…

Et la Rabouilleuse alors ? Eh bien, c'est le fil rouge du roman. Il s'agit d'une fillette récupérée par le grand-père Rouget dans les marais en train de "rabouiller" l'eau du marais pour faire sortir le poisson de son gîte. Avare, il la prend à son service pour une poignée d'écus. Il se trouve qu'elle devient belle en grandissant ; elle prendra peu à peu conscience de son ascendant, se rendant ainsi indispensable aux vieux grigous qui l'emploient. Elle devient surtout un enjeu dans le débat des successions qui agite la famille sous le regard intéressé et narquois de la bonne bourgeoisie d'Issoudun. de Rabouilleuse elle deviendra même comtesse, mais là, je ne veux pas en dire plus.

La Rabouilleuse est un excellent roman, bien balzacien, où ce n'est pas souvent les gens honnêtes qui remportent la mise. Il se lit d'autant plus agréablement que Balzac laisse éclater une belle ironie tout au long de l'histoire. D'ailleurs je terminerai bien par une des dernières phrases du roman qui témoignent d'un (léger mais certain) persifflage de l'ami Balzac.

"Les bons comtes ont les bons habits"
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Balzac i troduit ii le pire personnage (moralement parlant) de la omedie humaine qui n'hesitera pas à voler l'heritage mal aquis de la fameuse rabouilleuse: Ici tel est pris qui croyait prendre ! Un beau roman qui se litassez vite grace au talent de conteur de l'auteur !
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J'aime toujours revenir à Balzac. Il est, comme Zola, une de mes valeurs sûres en matière de . J'ai lu souvent comme Balzac était moqué pour ses descriptions inutiles de précision. C'est assez infondé. du moins, largement exagéré. Bien sûr, ça lui est arrivé, mais le réduire à ces quelques descriptions scrupuleuses est ne point le connaître, le mal juger, ne l'avoir qu'effleuré, n'avoir lu qu'un seul roman (le père Goriot probablement) ou uniquement des extraits. Non, Balzac n'est pas ce compteur de pouces d'une circonférence de cheville. Balzac est un maître, un artiste.

« La Rabouilleuse » raconte l'histoire d'une famille. Et plus particulièrement d'une mère, veuve, et de ses deux fils. L'aîné, Philippe, qui, selon elle, ressemble à son père, et Joseph, le second, qui est artiste et qu'elle aime moins, pour son tempérament calme et ses penchants artistiques.

Philippe, l'aîné suit les traces de son père (lequel s'est tué au travail sous les ordres de Napoléon), en s'engageant dans l'armée de l'empereur. Seulement, quand ce dernier est envoyé à Sainte-Hélène, Philippe refuse de servir le roi et se vautre dans l'alcool et le jeu. Bientôt, il fait des dettes et vole jusqu'à ruiner sa mère.

Celle-ci, dépouillée par son fils et auparavant déshéritée par son père, n'a plus d'autre choix que d'aller trouver son frère aîné, vieux garçon idiot, qu'elle n'a pas revu depuis des décennies, dans une petite ville de province, Issoudun, pour tenter de récupérer une part de l'héritage. Mais ce frère vit avec « la rabouilleuse », une beauté manipulatrice dont il est fou amoureux, et qui, elle, convoite l'héritage au profit de son amant, lui aussi ancien soldat de l'empereur.

Si la Rabouilleuse et son amant arrivent à faire fuir la mère et le fils cadet, ils trouveront plus fort qu'eux en la personne de Philippe, le fils aîné.

Ce roman montre d'abord l'amour aveugle d'une mère pour un fils qu'elle idéalise, parce qu'il ressemble en loin à son père. Philippe boit, vole, ment, joue, et elle lui trouve toujours de naïves excuses, et se contente de ses explications bêtes. Agathe est aveuglée et protège son fils jusqu'à l'absurde, se laissant dépouiller et lui donnant encore de quoi manger. Non par pitié, mais par un amour irraisonné.

C'est aussi l'histoire de deux frères que tout oppose. L'un soldat sans morale, préféré de la mère même lorsqu'il déchoit, de l'autre artiste travailleur et au tempérament doux, bien moins aimé mais qui soutiendra sa mère sans faille. Joseph est décevant quand il est question de sa mère. C'est un mou. Il est le gentil, trop gentil fils dévoué, qui perd de sa personnalité face à la figure maternelle. Ce fils moins aimé cherchera toujours à aider sa mère, à la chérir, à la protéger jusqu'à la mort, sans ne jamais exprimer la moindre révolte, ni ne jamais entreprendre de lui ouvrir les yeux sur son frère.

D'ailleurs, à travers Joseph, c'est également la vocation artistique qui est dépeinte. La volonté, jeune, de travailler durement et contre l'avis de sa mère, à son art pour y exceller. J'ai aimé le discours du professeur, quand Joseph, âgé de treize ans, veut être artiste et se rend à des leçons de peinture en cachette. Sa mère veut faire de lui un employé de l'administration, avec l'espoir qu'il devienne... chef de bureau! Elle va donc se plaindre et exiger que l'on n'accueille plus son fils aux leçons. Et la réponse du professeur est magnifique, emplie de mépris pour les imbéciles qui n'aspirent qu'à réussir dans un milieu qui n'est rien, dans la médiocrité d'une fonction ennuyeuse. Joseph est un personnage intéressant, qui ne vit que pour son art (et pour sa mère, comme par une obligation morale). Son regard sur les gens est moqueur, il dissimule mal un mépris pour ceux qui ne savent pas créer. Il fait l'effet aux autres d'une sorte d'étrangeté, et suscite la crainte et la méfiance à la manière des génies.

Quant à Philippe, l'aîné, immoral, sa conduite ne sera faite que de froids calculs et ne sera guidée que par son égoïsme, allant jusqu'à renier sa famille et laisser mourir sa mère seule et miséreuse. Néanmoins, il triomphe à un moment. Philippe, l'ancien militaire déchu devenu voyou deviendra conte par ruse. Cet homme empli de puissance et libéré de toute morale aura un destin digne des plus grands hommes. J'ai aimé cette phrase de lui, qui le résume parfaitement : « Mon fils souhaitera ma mort, je m'y attends bien, ou il ne sera pas mon fils ».

Si un tiers du roman se déroule à Paris, les personnages se retrouvent pour les deux autres tiers dans un village de province, Issoudin, que Balzac décrit finement: un village engourdi, renfermé sur lui-même, éloigné des préoccupations parisiennes. C'est à la fois pittoresque et très réaliste, ce contraste entre Paris et ce village où rien d'important ne se produit jamais, de sorte que les moindres cancans occupent les gens autant que des faits importants.

Enfin, ce roman est une peinture, en fond, d'une période historique très trouble. Napoléon est exilé, au grand dam de ses anciens soldats, et les Bourbons ont repris le pouvoir. On sait comme Balzac était fervent royaliste, tandis que son narrateur décrit le sort des soldats déchus de l'empereur. Ces soldats deviennent tous alcooliques, paresseux, voleurs, tricheurs, immoraux, et je ne peux m'empêcher de songer à une cruelle subjectivité de sa part, ou à une revanche avec la plume.

Flore, la rabouilleuse, est fine manipulatrice. Elle simule la bouderie, la colère, et redevient douce et caressante dès qu'elle a obtenu. Et Balzac précise qu'elle n'est pas plus épouvantable qu'une autre, qu'elle joue seulement le jeu de toutes les femmes, à tous les rangs sociaux, quand elles ont saisi le pouvoir. La duchesse, comme la bourgeoise, comme la paysanne usent de ce froid dédain caractéristique de la femme en colère, comme elle utilise la moquerie spirituelle et l'amère plaisanterie cassante, ou encore la plainte hypocrite, créant ainsi de fausses querelles, moyens légitimés par leurs fins. Voilà comment il voit la femme, et je ne peux nier. Car sa Rabouilleuse « est » la femme. Capricieuse, capable à la fois des plus grande cajoleries comme de toutes les turpitudes pour sauver sa peau ou s'enrichir, mais aussi l'amoureuse, qui a besoin d'un maître à admirer et à servir, et enfin la domptée, qui trouve plus fort qu'elle au jeu des manipulations et se soumet presque naturellement.

Le roman est dense, avec beaucoup de personnages et plusieurs intrigues en parallèle autour de cette affaire principale d'héritage familial.

On retrouve l'humour raffiné De Balzac. Des mots d'esprit excellents et subtils, très drôles, et un talent de psychologue et d'observateur de son contemporain. Je reconnais cependant que Balzac peut être impatientant quand il installe son contexte. Il prend du temps à situer historiquement l'intrigue, à raconter la saga familiale antérieure aux événements. La rabouilleuse elle-même fait son apparition seulement après un tiers du roman. N'importe, c'est par soucis de clarté et de précision, et c'est si bien écrit que ces longueurs se dégustent.

Je retiens également le récit d'un duel au sabre entre les deux anciens soldats qui se disputent l'héritage, extrêmement bien écrit, avec la minutie et le soin nécessaires à ces récits bien particuliers que sont les duels.

Un bémol, cependant, quant à la fin. Même si le dénouement compte beaucoup de morts, il ressemble à une sorte de « Happy end » en faveur du frère cadet, l'artiste sage et maudit, comme si la morale et l'innocence devaient triompher. D'ailleurs, les femmes, sur leur lit de mort, se repentissent de leurs fautes morales, craignant le jugement divin. Balzac laisse ainsi planer le doute quant à une justice divine, punissant la mère peu aimante, la femme perfide et l'homme immoral. C'est dommage.

Néanmoins, cela reste un bon roman. Chaque personnage a une profondeur et est sondé et décrit par un fin psychologue. L'intrigue est alimentée de luttes et d'affrontements vils et déloyaux entre des individus calculateurs et aux tempéraments égoïstes et intéressés.
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J'avais 15 ou 16 ans, et j'ai lu ça d'une traite, captivée.
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" La Rabouilleuse" est comme en écho du "Père Goriot".En effet, Agathe , tout comme le père Goriot ,est injustement mal aimée et méprisée par son fils Philippe, mais heureusement , son autre fils saura lui donner tout l'amour qu'elle mérite.

Ce roman , un grand roman, avec la densité de la vraie vie , nous fait découvrir un personnage, Philippe qui brille de la noirceur des êtres maléfiques en opposition avec des gens aux grandes qualités humaines .

le lecteur risque de se perdre lorsque Balzac nous explique les liens de parenté qui existent entre les personnages; ce grand roman séduira les balzaciens, mais il sera d'un accès un peu difficile pour ceux qui ouvriront leur premier Balzac justement à cause des généalogies de la parentèle ,des considérations notariales et aussi des trop longues descriptions; c'est d'ailleurs ce qui est reproché à Balzac . A mon sens , toutefois,ces digressions , donnent aux romans De Balzac justement l'épaisseur de la vie, de la vraie vie .

Aimez-vous Balzac ?
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Balzac écrit un polar et c' est très sympa!
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Une famille compliquée, un héritage à capter qui fait beaucoup d'envieux, au final une histoire complexe où se révèle une fois de plus la méchanceté et l'envie d'un côté, la naïveté catho de l'autre.
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