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4,2

sur 16475 notes
J'ai lu ce livre il y a une vingtaine d'années. Il m'avait beaucoup marqué, j'ai eu envie de le redécouvrir.

Le livre nous plonge dans le récit d'une civilisation disparue, telle l'Atlantide. Avec son avancée scientifique riche de créer tout à partie de rien ou plutôt à partir de l'énergie universelle. Bien que plus avancées technologiquement, les différentes factions de cette civilisation se déchirent, se font la guerre. En produisant des armes de destruction massive, elles vont entrainer la fin de la vie sur mars, sur la Lune et sur Terre pour un temps du moins. Seule une sphère avec les deux représentants de cette civilisation va traverser les âges pour réapparaître aujourd'hui.

Ce livre est également le récit d'un amour universel entre deux êtres dont Eléa fait le récit tragique.

Ce livre m'a à nouveau beaucoup touchée. C'est une histoire écrite en 1968 qui a une résonnance particulière encore aujourd'hui. Ce roman a très bien vieilli.
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Mais pourquoi ai-je mis si longtemps avant de lire ce livre magnifique ? Qu'est-ce qui fait qu'on passe parfois à côté de certains chefs d'oeuvre ? Bien sûr, on ne peut pas tout lire mais avec cet ouvrage, paru il y a presque 50 ans, là n'est pas l'explication en ce qui me concerne. Je le découvre seulement maintenant, en raison d'un a priori négatif (et jusque là tenace) vis-à-vis de la science-fiction et je me mettrai bien une claque pour avoir ainsi borné le champ possible de mes découvertes. Certes, ce n'est pas parce que j'ai adoré ce livre que j'aime toute la science-fiction mais je gage qu'elle renferme bien d'autres pépites.
J'aurais pu donc ne jamais lire ce livre merveilleux et je n'aurais pas découvert son inventivité, son imaginaire pas plus que son chant d'amour. J'ai été épatée par l'ingéniosité développée par l'auteur pour rendre cette expédition polaire crédible. Cela peut paraître inadapté d'employer le terme "crédible" mais je trouve que toutes les contraintes et leurs résolutions sont abordées avec intelligence, par exemple, la question de la traduction des langues, entre les scientifiques d'abord puis surtout pour comprendre le langage d'Elea. Et que dire de la description de la civilisation disparue ? J'ai lu que ce livre était à l'origine un scénario de film (qui n'a pas trouvé preneur !) et il me semble que cela se ressent à la lecture, à moins que ce côté visuel ne soit propre au genre de la science-fiction. La description de Gondawa donne la part belle à l'imaginaire bien entendu mais l'auteur n'oublie pas de glisser des messages. En effet, ce monde merveilleux qui a l'air parfait au départ puisqu'on peut créer tout à partir de rien, se fissure progressivement, laissant apparaître des gens que l'on désigne, des révoltes que l'on brime, des exclus qui se cachent...
Mais ce que je retiendrai surtout, c'est l'émotion que m'ont procurée les premières pages, ce chant d'amour pour une beauté endormie de 900000 ans, des mots qui m'ont presque intimidée tant je les ai trouvé beaux et je me réjouis de faire désormais partie de la communauté de ceux qui peuvent convoquer dans leur univers mental la magnifique histoire d'Elea et Païkan.
Lien : https://leschroniquesdepetit..
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Une pépite!

Ce livre est véritablement une très belle découverte! Voilà longtemps que je n'avais plus lu une histoire d'amour aussi poétique. Bien qu'un peu longuet au début, j'ai passé un merveilleux moment à lire ce roman.

Je ne connaissais pas la plume de Barjavel mais il a désormais sa place dans la liste de mes auteurs fétiches et ses autres oeuvres vont rejoindre ma bibliothèque afin que je puisse me régaler à nouveau de ses jolies métaphores, de son lyrisme et de son imagination.
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Un livre de science fiction de 1966 qui n'a pas trop mal vieilli.
Ca commence comme un Jules Verne en plus moderne, une exploration dans l'Antarctique. Mais aucune indication trop technique et on se prend bien au jeu. Puis la découverte d'un autre monde qui m'a fait un peu penser au meilleur des mondes.
L'histoire d'amour m'a laissée de marbre, je l'ai trouvée juste égoïste et immature.

Je suis pourtant ravie d'avoir découvert ce roman, que j'ai dévoré, mais qui ne m'a pas émue. Alors pourquoi est-il si facile à lire? Peut-être parce que l'auteur écrit bien, peut-être parce que tout s'accélère, peut-être parce qu'on est ravi de voir un autre monde imaginé, peut-être parce qu'il décrit la soif de curiosité humaine et sa bêtise à la fois?

En tout cas, l'auteur a réussi à me faire passer un bon moment et je l'en remercie.
Et puis ravie d'avoir lu un livre qui est souvent étudié en classe, et donc presque un classique.

(une bonne question à se poser, quand un livre devient-il un classique?)
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Bien qu'il soit - à en croire ma mère - dans ma bibliothèque depuis des années, La nuit des temps de René Barjavel ne m'avait jamais sauté aux yeux. Et c'est finalement grâce aux challenges de lecteurs que je l'ai trouvé coincé entre deux dystopies d'adolescents.
Peut-être suis-je encore un peu trop jeune pour comprendre le roman parfaitement, toutefois, je peux assurer que je l'ai apprécié. Il n'a eu de cesse de me surprendre. de part structure avant tout étonnante, mais également sa fin, La nuit des temps est définitivement à ranger dans les livres qui m'ont laissée bouche bée.
Je me suis surprise à apprécier le style résolument avant-gardiste de l'auteur (le livre a tout de même plus d'un demi-siècle !). Malgré les sujets, les tournures restent légères, très faciles à lire.
Enfin, j'ai dévoré les dimensions politiques exposées dans le roman. Ce qui pourrait paraître hors de contexte après la fin de la guerre froide ne l'est en fait pas complètement - les questions idéologiques, morales subsistent.
En bref, je qualifierai ce roman de délice pour le cerveau, qui aborde de large thèmes parfois tabous, parfois pas, et qui pousse, qu'on le veuille ou non, à réfléchir.
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Un beau roman. Il met longtemps à démarrer, mais lorsqu'il démarre…
Une douce critique de la société et de ses guerres insensées. Une apologie de la curiosité, de la ténacité et de la tolérance.

Je ne m'attendais pas du tout à ça. Je ne savais pas du tout à quoi m'attendre, seulement à de la « science-fiction ». Ce livre est bien plus qu'un simple roman de science-fiction ! Il fait réfléchir, en soulevant non seulement les questions, mais en chuchotant les réponses, à défaut des solutions.

Il y a de tout, dans l'humanité. Il y a des utopistes, des curieux, des traîtres, des égoïstes. On tourne en rond, on commet inlassablement les mêmes erreurs (ce que démontre l'histoire, qui se passe pendant la guerre froide, mais qui pourrait presque tout aussi bien s'appliquer maintenant, tant les tensions géopolitiques ont peu changé, elles sont juste un peu masquées…). Mais on peut peut-être la faire avancer, cette humanité.



Ce livre, c'est une lueur d'espoir. Une oeuvre incroyable.
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J'ai tellement apprécié la belle critique de la babeliotte Limoncella que je me suis empressée de me procurer ce roman. Je lui dis un grand merci. 10 039 lecteurs sur Babelio. Euh 10 040 maintenant. Je devais être la seule à ne pas l'avoir encore lu. Comment ai-je pu passer à côté de cette pépite ? A cause de Science fiction peut-être ? Et pourtant j'ai aimé Ravage. J'avais écrit, je cite : « être un peu gênée par le fait qu'il y a plus de femmes que d'hommes, donc polygamie (mais l'écrivain est un homme). » Eh bien cette fois je dis le contraire : René Barjavel, ce visionnaire (en autre de mai 68), aime la femme et la mystifie. La scène où le couple fait la dernière fois l'amour est d'une beauté, d'une poésie sublime. Roméo et Juliette en science-fiction. Intrigue et histoire d'amour de grande qualité dont il m'est difficile d'en faire un résumé pour ces mêmes raisons. Pao! Pao!

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J'avais lu ce livre il y a très longtemps et ne m'en souvenais absolument plus. Je viens de le relire et pour moi, ce fut une découverte. L'histoire est très originale quoi qu'il semblerait qu'il l'ait empruntée à un écrivain australien : Eple Cox - la sphère d'or. de toute manière n'ayant jamais eu l'occasion de lire le livre de Mr Cox, cette histoire qui débute sous la forme d'une expédition scientifique dans l'Antarctique depuis la base Paul Emile Victor , est pour moi très originale. Quand ils découvrent dans le puits, la sphère et puis l'oeuf où se trouvent allongés deux êtres humains cryogénisés, c'est le début d'une longue quête qui mènera à la révélation d'un monde fabuleux : le pays de Gondawa - une utopie dans le passé. Et là, je n'ai plus lâché le livre jusqu'au dénouement final qui fut une surprise. Il y a du suspense, de la bagarre et beaucoup d'amour. Une très belle histoire qui restera intemporelle et que nous pourrons lire et relire sans en épuiser le charme.
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Eléa.
Être préservé dans les glaces du Pôle Sud depuis des temps immémoriaux, nous Vous avons ramenée à la vie. Quel amer exploit. Car une si belle et pacifique personne ne devrait pas côtoyer des hommes tels que nous. Un monde où nos semblables en arme pensent savoir mieux que les autres comme défendre ce qui est précieux.Un monde toujours au bord de la guerre. Car votre Sphère de protection est faite d'or...
Pour Vous paradoxalement le Pôle Sud est un havre. Non pas car la science de Votre temps ancien Vous a procuré l'Élixir Universel – Panacée à l'ultime mal, la mort – Mais parce-que la communauté des hommes, brillants esprits du monde entier, qui Vous entourent n'est qu'une infime part de l'ordinaire humain. Pour ceux qui sont ici, qui ont appris à écouter les images mentales que votre technologie nous a transmis, Vous êtes le symbole de l'amour. Pour ceux qui sont là-bas, ceux qui nous commandent, ceux qui nous " protègent ", Vous êtes – ou plutôt Coban, le scientifique enfermé comme Vous dans l'Oeuf – le symbole d'une science miraculeuse qu'il faut maitriser, posséder.
Mais le terme " amour " ne sied même pas à ce que Vous nous avez offert. Nous avons mis du temps à entendre Votre langue, mais l'avons-nous seulement comprise ? En avons-nous retenu son essence ? Pauvrement, je ne peux qualifier Votre don que celui de " l'extraordinaire amour ". Celui que Vous portez à Païkan et celui qu'à équidistance absolue il Vous porte...
Peut-être avez-Vous atteint, plus qu'aucun d'entre nous le coeur de Simon. Mais ne fut-il pas lui aussi tout compte fait un monstre d'égoïsme en voulant garder pour lui tout seul Votre... affection. Pour nous trouvez quelques excuses, ne peut-on pas lui concéder qu'à la toute fin il vous a préservée en se montrant lâche ?...
Si je pouvais exprimer un souhait. J'émettrai le vain espoir qu le récit de Votre histoire, aussi imaginaire qu'il soit, parle au coeur du plus grand nombre. Comme dans sa belle conclusion...

Nous progressons dans nos vies. Et comme une distorsion temporelle que ne renierai pas un auteur de science-fiction, nous rouvrons parfois les ouvrages de notre jeunesse.
Je n'avais gardé de ce livre – lut il y a près de vingt ans – qu'un vague souvenir. Probablement parce-que pour moi, les mots importants n'étaient pas alors les même que ceux d'aujourd'hui. Il tiraient leur force de mon imaginaire de vaisseaux spatiaux et de rayon laser. En cet instant, tirant leur force de mon coeur, ils ne sont plus les mêmes. Et paradoxalement, ils créent un vide dans mon vocabulaire. Un vide que je comble par les artifices de la rhétorique. Étendant la définition d'un mot simple à son sens le plus absolu - " Aimer "...- Ou y accolant quelques pauvres superlatifs - " Amour.. ; fondamental / extraordinaire / transcendant ". Vaine tentative ou leçon accueillie au plus profond de soi ?
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Quand je choisis un livre, je commence par regarder la 1ere de couverture. Ici, un soleil rouge, de la glace grisâtre, l'ombre d'un oiseau au loin, tout ceci sur fond noir. Pas fameux me direz-vous !? Pourtant, ce type de couverture correspond souvent à un livre de science-fiction ou du genre fantastique (ce qui a été le cas !) et les livres de ce type m'attirent plus que les autres. Rajoutez à cela une petite histoire à l'eau de rose et une guerre apocalyptique et vous obtenez non seulement un best-seller mais également une place de choix sur ma bibliothèque. Mais je ne savais pas alors si "La nuit des temps" allait parlerer d'un robot yeti mangeur d'hommes ou d'un esquimau transformé en manchot par la fée des glaces. Cependant, cela s'annonçait être une bonne lecture.

Vous comprendrez donc qu'au premier abord, ce livre m'a tout de suite plu. Vous imaginerez donc bien que la suite m'a également plu ?! Et bien oui ! Mais nul robot yeti, nul esquimau, juste Simon et Eléa...
Durant tout son roman, Barjavel amène le lecteur à découvrir le pôle Sud par de nombreuses descriptions. « le soleil ne se couchait plus. Il tournait autour des hommes et des camions, sur le bord de leur monde rond comme pour les surveiller loin et partout. [...] Il découpait autour de la mission un immense disque blanc et bleu de froid et de solitude. » (p.13) Cela plante directement le décor. Nous savons où nous sommes et nous apprenons peu à peu à connaître les personnages : les savants, médecins et autres techniciens qui vont jalonner le récit et évoluer dans ce monde froid surveillé par un soleil rouge.
La trame principale du récit est pour moi la sorte de lettre ou journal qu'écrit le Docteur Simon. Je dis « sorte de lettre », car, finalement, nous ne savons pas trop de quoi il s'agit : ces passages où Simon s'exprime au présent et à la 1ère personne. Malgré ce petit mystère, je n'envisage pas le récit sans ces coupures en italique. Elles nous permettent de mieux comprendre les sentiments de Simon et de s'approprier ses réactions.
Ces sentiments sont nettement visibles par la détermination de Simon à déchiffrer le langage d'Eléa. « Elle va mourir, disait-il, elle va mourir parce que nous ne la comprenons pas. [...] Regardez-la, regardez-la bien, vous ne la verrez plus, elle va mourir. [...] Honte à nous. » (p.138) La colère et la déception qu'il ressent m'ont transpercé. Cet instant est d'ailleurs un moment clé pour la suite de l'aventure : comprendre Eléa. Sans cela, comment aurait-elle livré tous les secrets de son histoire passée avec Païkan et Coban ?
Ce passage clé m'amène à vous parler de l'histoire enchâssée dans le monde froid du roman : l'histoire d'Eléa. Cette femme d'une beauté rare a suscité bien des intérêts auprès de nos scientifiques. Que fait-elle là ? Qui est-elle ? D'où vient-elle ? A-t-elle vraiment existé il y a 900 000 ans ? Toutes ces questions vont avoir leurs réponses au cours du récit et surtout lors des « flash-back » qu'Eléa va partager avec le monde entier. On apprend alors tout ou presque de sa civilisation ancestrale et des coutumes de celle-ci en commençant par le « mariage » des enfants jusqu'à la mise en marche de la sphère en passant par la guerre opposant Enisoraï et Gondawa. Tout ceci m'a beaucoup intéressée. En effet, la narration grâce aux fameux cercles d'or d'Eléa m'a passionnée. J'ai d'ailleurs pensé que ces appareils étranges seraient très utiles de nos jours et même qu'il serait plutôt drôle de s'en servir ! (même si un abus pourrait être néfaste pour la face du monde... !)
le dernier point positif que j'exprimerais ici est le style de Barjavel. Un style datant de plusieurs décennies mais qui se prête totalement au monde d'aujourd'hui. Un langage simple et compréhensible. Une volonté d'intéresser le lecteur.

Evidemment, un livre ne serait pas un livre s'il n'avait pas quelques points négatifs !
Pourtant, ce qui m'a déplu dans ce livre peut se résumer en quatre petits mots : la trahison de Lukos. En effet, pourquoi ce revirement de situation ? Je trouve que cela a amené de nombreuses questions mais pas énormément de réponses... Lukos se suicidera même pour ne rien révéler ! Et puis ces deux hommes dans leur sous-marin miniature, était-ce utile d'en parler ? En bref : je n'aime pas beaucoup les questions restant sans réponse et le fait de ne pas savoir le pourquoi du comment de cette affaire c'est une de ces questions sans réponse qui me déplait.

A la fin d'une lecture, j'aime à tenter de trouver un rapprochement avec une autre oeuvre. Pourtant, ici, je ne saurais dire quel livre ou quel film se rapproche de l'univers créé par Barjavel tant cet univers est singulier. Je dirais plutôt que quelques films ou oeuvres littéraires se rapprochent d'un moment précis de cet univers...
Prenons l'histoire d'amour pour commencer : elle peut faire penser à « Roméo et Juliette », et leur amour passionné mais tortueux ; notamment au moment de l'empoisonnement d'Eléa, tuant ainsi Païkan sans le vouloir... Mais tout en s'approchant vaguement de l'amour de ces deux amants, cela reste un rapprochement très lointain.
Quant au reste du récit, j'ai longuement réfléchi, cherchant dans ma bibliothèque ou sur Internet. J'ai ainsi trouvé le livre « Magie des Neiges » de Graham Masterton qui raconte la prochaine aire glacière sur fond de malédiction en Alaska ou encore le film « Sphère » réalisé par Barry Levinson où la marine découvre une sphère parfaite à plus de 3000 mètres au dessous du niveau de la mer : des extraterrestres ? Pourtant, cela n'a en rapport que quelques petits passages de l'oeuvre de Barjavel.
C'est alors que j'ai pensé à « Stargate SG1 » la série télévisée créée par Jonathan Glassner et Brad Wright en 1997 à partir du film du même nom réalisé par Roland Emmerich en 1995. Cette série, ce monde imaginaire et fantastique réunit, à lui seul, plusieurs thèmes de « La nuit des temps ». Que l'on parle de cryogénisation, d'immortalité, d'un pôle glaciaire, de scientifiques venus d'ailleurs ou même de tension entre les pays du monde... tout ceci se retrouve dans un ou plusieurs épisodes, dans une ou plusieurs saisons de la série. le thème du froid et du pôle (ici Nord), a d'ailleurs été repris dans la série dérivée « Stargate Atlantis ».

Pour finir, je dirais que « le nuit des temps » est un très bon livre, un livre à lire au moins une fois dans sa vie, idem pour les autres livres de Barjavel (comme « L'enchanteur », « Une rose au paradis », etc...)
Lien : http://s.ecriture.over-blog...
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