Monsieur Robert donne deux sens au mot « simulacre ». Il parle d’abord d’image, de représentation figurée. Puis, d’apparence sensible qui se donne réalité. Et là, il renvoie à «fantôme », à « mensonge », à « ombre », « « imitation ».
Dans les sept contes réunis dans le présent volume, il y a de fait tout ce que Monsieur Robert propose. Et donc tout sera différent. Tel personnage, pour se faire comprendre, prendra la voix d’un autre; tel cabotin,... >Voir plus