Cette semaine, j'ai lu
Céline : René, un amour plus fort que la mort acheté chez France-Loisirs. Les mots que de nombreux compositeurs ont écrits pour elle ont su trouver leur place dans mon coeur après le divorce de mes parents. Je possède la discographie complète de l'artiste québécoise.
Il y a quelques années, je chantais même ses plus grands succès dans des galas caritatifs. Je l'ai vu sur scène en 2008 et je serai dans les tribunes du stade niçois AllianzRiviera le 20 juillet pour la revoir. C'est un moment que je partagerai avec mon papa car le chant c'est une histoire de famille.
C'est la première fois que je lis une autobiographie sur les Dion-Angélil. Je craignais de ne rien apprendre de plus que ce que je sais déjà sur eux mais l'écrivain a fait en sorte de donner la parole à René. Il voit une dernière fois s'afficher sur les murs de sa chambre à Las Vegas, les moments clé de sa carrière et de sa vie sentimentale. Ainsi, j'ai pu découvrir le fin stratège qui se cachait dernière cet homme bourru mais aimant et ainsi revivre chacune des étapes et des sacrifices nécessaire à leur triomphe.
Nous ne sommes pas en présence d'un ouvrage de grande littérature mais la chronologie des événements est respectée. Elle donne du sens et du rythme à ce texte rempli d'anecdotes, de citations, d'humour et d'amour. La fin de l'ouvrage sonne comme un nouveau départ pour cette cinquantenaire accomplie qui a prouvé que la passion était la plus grande source de motivation. Comme elle le reprend si bien : « The show must go on ».