c'est tellement plus facile de critiquer un auteur, un bouquin ...
que d'ouvrire les yeux.
l'être humain ne supporte pas la critique .
encore moin la réalité.
chaque ligne que beigbeder a su écrire dans se roman, est pure véritié.
ne sommes nous pas prédéstiné à une routine écoeurante?
en matière d'amour, il est meilleur professeur que bien d'autre.
La passion, est elle maître de l'amour, et par dessu tout est t'elle plus agréable, que le lot de souffrance que nous apporte l'amour ?
à méditer ..
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Je me suis ennuyée tout du long. Il y a peut être 20 pages, au milieu du livre qui se sont tourné avec plus d'entrain que les autres mais pas plus.
La construction de l'histoire, à la première personne, mélangée avec des notes de l'auteur n'ont pas su me convaincre. Peut être qu'un simple roman m'aurait d'avantage satisfaite.
Ici j'ai eu l'impression de rester en surface sur les sentiments d'un homme adulte qui pleure car son mariage se termine et que sa nouvelle copine ne veux pas de lui
.
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Le livre m'a été conseillé pendant ma vie estudiantine par une personne très concernée par la problématique très spécifique du roman.
A l'époque, et même aujourd'hui, j'avais une vision laborieuse et romantique de l'amour.
Mon coeur d'artichaut est un muscle opiniâtre.
Donc ce roman, je l'ai vécu comme un reportage sur des gens d'un autre monde, aux autres contraintes, aux autres moeurs. Pas déplaisant mais pas galvanisant.
Je n'ai jamais lu d'autres ouvrages de l'auteur depuis.
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Titre accrocheur on se pose la question surtout dans le monde dans lequel on vit en ce moment du couple consommable ça me parle parce que la situation me parle je pense que ce livre sera interprété différemment suivant sa situation personnel mais oui il y a L'attirance puis l'habitude les hormones les sentiments l'amour c'est un vaste sujet mais j'ai passé un bon moment avec ce roman je recommande
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Ce livre est la chronique d'un divorce, puis d'une nouvelle liaison , puis de la crainte que cet amour ne dure que trois ans.
Marc , le narrateur, jumeau de plume de Frédéric Beigbeder, vit dans l' excès, et , tel un enfant colérique, il n'a pas son pareil pour trépigner, pour saccager ses jouets , en l'occurrence les femmes qu'il aime ... à sa façon. Quitte, bien sûr, à le regretter amèrement.
"On quitte d'abord la maison de ses parents, et ensuite, parfois, on quitte la maison de son premier mariage, et c'est toujours la même peine qu'on ressent, celle de se sentir, une fois pour toutes, orphelin."
Défaitiste, paranoïaque, ombrageux, et au fond, profondément tourmenté, au point de se détruire lui-même, par l'alcool, la drogue, les tentatives de suicide, Marc n'arrive cependant pas à nous apitoyer.
Ce n'est pas cette chronique banale, d'un divorce non assumé, d'une liaison menacée d'extinction, qui me paraît l'aspect le plus intéressant du livre. Par contre, le style de Beigbeder fait merveille, par sa modernité, son côté incisif, son humour, et jusqu'à sa vulgarité. Un style plus oral qu'écrit, comme dans une longue confession ininterrompue.
Cette phrase de Jules Renard conviendrait bien à Beigbeder : “Écrire est une façon de parler sans être interrompu“. Car le problème chez lui, c'est le narcissisme, le fait qu'il n'arrive pas à composer sa partition amoureuse autrement qu'en solo.
En conclusion, ce n'est sûrement pas le meilleur livre de Beigbeder...
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