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Walker a pris la succession de son beau-père et mène avec brio une société plus que florissante.
Sa femme est formidable.
Il participe aux moments importants de la vie de ses trois enfants qu'il adore.
Affaires plus que lucratives, famille modèle.
La vie est belle.
Et pourtant ! Walker n'en peut plus.
Pris dans un tourbillon qui ne lui laisse pas une minute à lui, il ne rêve que de disparaître.
De la décision à l'action il n'y a qu'un pas qu'il franchit en organisant le crash de son avion.
Le corps n'étant pas retrouvé, il est déclaré disparu, puis mort.
Et c'est le début d'une drôle de situation.
Après des débuts que ne m'ont ps emballée, j'ai suivi avec passion les aventures de cet homme.
Antoine Bello semble décidément un bon auteur.
Beaucoup d'imagination, une belle écriture et des personnages originaux.
Il nous prend dans les filets de ses intrigues et ne nous lâche plus.
Un suspens qui va crescendo et nous fait craindre le pire pour la fin.
Oui, décidément, un bon roman.
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Les romans d'Antoine Bello sont admirablement structurés et l'écriture efficace.
Efficace est aussi ce roman dévoré plutôt que tranquillement lu , et le désosser serait vraiment dommage tant le suspense mérite d'être découvert page après page.
Un minimum tout de même : Walker est un homme jeune , il a repris les rênes de l'entreprise déjà florissante de son beau père, et va la mener toujours plus haut. Il aime profondément son épouse et ses trois enfants, mais c'est un homme pressé qui veut toujours plus, non pas d'argent ou de luxe , non, mais de temps. Il court après le temps et soudain cela devient vertigineux, il lui faut disparaître pour éviter l'avenir tout dessiné qui l'attend.
Pour cela il lui faut organiser sa disparition et intelligemment, ce qu'il fait.
Mais...un nommé Sheperd, vaguement mandaté par une compagnie d'assurances, se met à sa recherche, malgré la mort de Walker actée.
Et là s'ouvre une chasse à l'homme autant physique qu'intellectuelle. Deux hommes extrêmement intelligents s'affrontent, la lecture devient haletante .
Les personnages sont éminemment humains ,aucune caricature, mais surtout ,se mêlent dans ce roman, amour, honneur, courage, et fragilité de tout être humain.
Un excellent roman à lire de toute urgence.
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Encore un formidable roman d'Antoine Bello dont j'avais déjà beaucoup aimé Les falsificateurs et ses suites.
John Walker est un chef d'entreprise brillant et un père de famille aimant, mais un jour, il n'en peut plus et décide de disparaître. S'engage alors une traque incroyable avec l'enquêteur engagé par l'assurance puis par sa femme pour faire la lumière sur les circonstances de sa disparition.
Dans ce roman, l'auteur démontre une fois de plus son talent de conteur, et les ruses déployées par John Walker pour échapper à Nick Sheperd font penser à ce qui se passait dans les falsificateurs ou les producteurs. J'ai adoré cette seconde partie du livre.
Mais la première partie, où l'auteur décrit comment un homme qui a tout pour être heureux peut craquer et décider de disparaître, est excellente également et très touchante même si j'attendais moins Antoine Bello dans ce registre.
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Je m'aperçois qu'Antoine Bello est entré dans la famille des auteurs dont je me précipite sur la dernière livraison sans même me soucier du sujet abordé. de toute façon, on ne s'ennuie jamais avec lui. On joue, on réfléchit, on se régale et on se sent même plus intelligent à la fin. Et encore, je n'ai pas tout lu. Enquête sur la disparition d'Emilie Brunet a été mon premier contact avec l'auteur, j'ai adoré son parti-pris et sa façon de mener l'intrigue (quand je pense qu'on a encensé "Avant d'aller dormir"... un navet en comparaison !). Il y a eu ensuite Roman américain, irrésistible portrait de l'Amérique capitaliste et réflexion sur les moyens offerts par la littérature pour en rendre compte. Et bien sûr le jouissif Ada, brillante réflexion sur l'intelligence et la façon dont nous l'exerçons.

L'homme qui s'envola tient toutes ses promesses. Un peu moins ludique que Ada ou moins caustique que Roman américain, il offre néanmoins une belle densité dans le propos alors même que le rythme effréné de l'intrigue en fait un véritable page turner. A partir d'un thème plutôt connu - l'envie de disparaître et de changer de vie - Antoine Bello nous offre une variation tout en questionnement sur le bonheur. Car John Walker, l'homme qui décide de disparaître a toutes les apparences du bonheur. Dans son fief d'Albuquerque (Nouveau Mexique), chef d'entreprise en pleine réussite, figure de l'économie locale et générale, il forme depuis vingt ans avec sa femme Sarah un couple envié et admiré, parent de trois beaux enfants. Il a tout, Walker. Tout sauf ce qui lui est le plus précieux : le temps. Lorsqu'il met en scène sa disparation, la compagnie d'assurances dépêche un enquêteur afin de s'assurer de la réalité du décès d'un homme qui va leur coûter 30 millions de dollars (on les comprend). Shepherd est le meilleur dans son domaine et très vite, il devine que Walker est toujours vivant...

Dans le jeu du chat et de la souris qui nous est alors proposé s'affrontent deux cerveaux que l'on imagine très bien face à face devant un échiquier, au summum de leur art. Calcul, anticipation, feinte, observation... Shepherd est peut-être le meilleur dans son domaine, il a enfin rencontré un adversaire à sa taille, pour le plus grand bonheur du lecteur qui a la chance d'explorer le fonctionnement de chacun de leurs cerveaux. Et si la majeure partie de leurs réflexions concernent tactique et stratégie pour déjouer les plans de l'autre, ils n'oublient pas d'explorer des ressorts plus intimes. D'ailleurs, la partition se joue à trois voix, celle de Sarah se joignant à celles des deux hommes. Trois voix par lesquelles s'expriment les doutes, les conceptions du bonheur, les frustrations et les envies. Où l'on s'aperçoit des différences de conception au sein même d'un couple qui offre toutes les apparences de l'entente parfaite... Où l'on s'aperçoit aussi que la notion de réussite est éminemment subjective.

Le personnage de Walker, toujours en mouvement, pressé, râlant contre ceux qui le retardent est fascinant. Il avance, décide, tranche et avance encore. Il se présente comme un faiseur, quitte à faire lui-même ce que les autres tardent trop à entreprendre, toujours dans un état d'esprit positif... Il avance, vite, mais vers où exactement ?

Voilà. Sachez qu'en disant cela, je ne vous ai rien dévoilé de ce qui se joue au cours de cette course poursuite haletante, ni de ce que chaque protagoniste va apprendre sur lui-même ou les autres. Quant à savoir qui va gagner.... vous savez ce qu'il vous reste à faire.
Lien : http://www.motspourmots.fr/2..
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Vous gagnez trop d'argent ?
Le ciel trop bleu du Nouveau-Mexique vous tape sur les nerfs ?
Votre entreprise ne cesse de croître et vous croulez sous les louanges de vos clients et de vos employés ?
Votre sublime épouse a encore décidé d'acheter une nouvelle villa somptueuse en bord de mer, où vos trois merveilleux enfants pourront batifoler à leur guise ?

Pas de panique, pour briser cette spirale infernale, John Walker a la solution : simulez donc votre mort en crashant votre avion privé, tirez un trait sur cette vie trop parfaite et repartez à zéro, disparaissez, incognito et solitaire.
Prenez garde toutefois à ce qu'un détective sourdoué, mandaté par une compagnie d'assurance un peu tatillonne, ne se lance pas sur vos traces ! Méfiez-vous tout particulièrement de Nick Shepherd, le plus redoutable des limiers, qui a érigé la chasse à l'homme en véritable sacerdoce et qui maîtrise sur le bout des doigts toutes les techniques d'investigation. Cet homme-là ne lâche jamais sa proie.

Pour lui, le monde se divise en deux catégories : ceux qui fuient et ceux qui traquent, les chasseurs et les chassés.
Il en oublierait presque qu'il y a aussi les autres, les spectateurs impuissants, ceux qui souffrent en pleurant le cher disparu. Sarah, la femme de Walker, ainsi que leurs trois enfants, sont dévastés par ce tragique coup du sort, et l'auteur expose avec finesse toute une palette de réactions différentes face au drame : détresse et affliction, stoïcisme hébété, déni et mutisme...
Sarah commence par refuser la mort de son époux bien-aimé, puis elle se rend à l'évidence ... jusqu'à ce Shepherd sème le doute dans un son esprit et que bientôt les soupçons se muent en certitude : Walker est vivant. Pour faire son deuil, Sarah ne cherche plus un corps, elle cherche des explications.

De son côté, Walker comprend vite que son plan - dont on ne connaît pas vraiment la finalité, ce qui est regrettable - est compromis. Sa fuite en avant est néanmoins palpitante, et malgré l'égoïsme effarant dont il fait preuve en tournant le dos si subitement à sa famille, on est parfois tenté de prendre son parti dans ce grand jeu du chat et de la souris.

Antoine Bello égratigne au passage le monde de l'entreprise, qu'il semble bien connaître, et le diktat du "toujours plus vite". Il nous propose en outre quelques pistes de réflexions intéressantes sur les notions de "servitude" professionnelle et de liberté individuelle.
Son style alerte se prête parfaitement à cette traque rythmée et riche en rebondissements, qui parfois nous rappelle la course poursuite entre Hanks et DiCaprio dans "Arrête-moi si tu peux". Bien vite nous sommes pris dans cette cavale, dont malheureusement l'issue est un peu prévisible.
Peu importe, l'intérêt du roman réside bel et bien dans ce mano à mano plein de suspens, où les nouvelles technologies ont la part belle. Traceurs informatiques, cryptage des données, géolocalisation : on sent que l'auteur maîtrise parfaitement son sujet. Il nous offre un duel à distance très prenant, qui pourrait même aiguiser un peu notre paranoïa !

Si vous aviez prévu de tout plaquer pour disparaître prochainement en sauvegardant votre anonymat, il est encore temps de réviser votre plan d'action !
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Walker est comblé . Patron extraordinaire d'une société de transport de courrier express, marié à Sarah , fille du fondateur de la susdite société , père de trois enfants , riche à ne plus savoir que faire de son argent...Pourtant, Walker n'a pas le temps pour lui, ne voit plus l'intérêt de la routine. Il décide d'organiser sa fuite...

Très bon Antoine Bello, qui sait magnifiquement raconter les histoires. J'ai eu peur de retomber sur l'excellent "L'homme qui voulait vivre sa vie " de D.Kennedy, période où il faisait de bons livres originaux. Mais non, la trame et l'intrigue sont ici bien différentes, avec un beau suspens . le roman se déroule à travers trois personnages principaux qui prennent tour à tour "la parole ".
Suspens aussi autour des sentiments des personnages principaux. Il est toujours difficile de trouver une fin convaincante à ce style de livre et ici c'est réussi.

L'humour est présent aussi, même si ce n'est pas le thème principal , loin s'en faut. Il y a aussi du vécu.Ah , les interminables matinée à regarder le petit se faire dégommer par un gros au judo. Deux minutes de combat inégal pour quatre heures de présence !
Ah, ces coaching d'équipe en bois où le petit s'évertue à respecter les consignes du papa! Ce n'est que du bonheur avec le recul, mais Walker , lui, n'en pouvait plus.
Les romans de Bello étant si différents les uns des autres qu'il est impossible de dire si celui ci constitue une bonne introduction à l'oeuvre du romancier. Toujours est-il que c'est un bon roman très addictif.On est loin de l'originalité de l'éloge de la pièce manquante ou des falsificateurs mais on tient un roman abouti.
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L'homme qui s'envola est un roman qui serait totalement passé inaperçu chez moi si un ami ne me l'avait pas mis entre les mains en me disant, « tiens, lis-le ».
Il est resté quelques temps dans ma PAL mais comme je voulais le rendre, et le lire évidemment avant, je l'ai récemment sorti et j'ai bien fait.

John Walker est ce que l'on appelle communément un homme qui a réussi. Il est à la tête d'une entreprise florissante qui brasse des millions, a épousé une femme délicieuse à tous points de vue, a trois magnifiques enfants qu'il aime et qui le lui rendent bien. Et pourtant… Et bien il n'est pas - plus heureux - car il lui manque l'essentiel: du temps. Esclave des temps modernes, acculé par ses très nombreuses activités professionnelles et ses devoirs envers sa famille, il n'a plus le temps de vivre. Pour glander, aller au ciné, aller à la pêche si l'envie lui en prenait. Il en a marre des obligations et veut vivre comme bon lui semble. Et lui vint alors l'idée d'organiser sa disparition, faire croire à tout le monde autour de lui qu'il est mort, car il ne faudrait pas non plus en prime qu'il cause de la peine inutilement aux siens en leur disant simplement qu'il n'en peut plus et qu'il préfère divorcer, voir ses enfant un week-end sur quatre et puis basta. Non, faire croire à tout le monde qu'il est mort s'avère être la plus simple des solutions. Sauf qu'un génie de la traque, un chasseur de primes des disparitions étranges et bizarroïdes, croit dur comme fer qu'il est toujours vivant et va partir à sa recherche.

Je n'ai pas boudé mon plaisir avec ce roman, très enlevé et au style alerte, qui ne subit aucun temps mort ou rupture de rythme. On est tour à tour du côté de Walker, puis de sa femme ou du chasseur de prime, chacun ayant une bonne raison de disparaître pour le premier, de le croire mort pour la deuxième ou de vouloir le retrouver pour le troisième. On rit (jaune), on s'amuse, on compatit, on s'esclaffe, on hausse les yeux au ciel pour finalement passer un excellent moment de lecture en compagnie de ce drôle de trio.

La seule chose que je regrette légèrement est la fin qui manque un peu de mordant pour être totalement raccord avec le reste du bouquin.



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Walker, brillant homme d'affaires, époux et père modèle à l'emploi du temps millimétré aspire à autre chose. Aussi, malgré tout l'amour qu'il porte à sa femme et à ses enfants, malgré sa fulgurante réussite professionnelle, il décide de changer de vie et organise sa disparition. Mais c'était sans compter sur les talents de Shepherd, le chasseur de primes commandité par l'assurance au vu des sommes en jeu.
Les obsèques ont lieu sans le corps introuvable mais le détective n'en est pas à son coup d'essai et, persuadé que Walker est encore en vie, il va tout faire pour le retrouver.
On assiste alors à un chassé-croisé passionnant à travers tous les Etats-Unis. le récit est construit à partir du journal des trois protagonistes : Walker, sa femme Sarah et enfin Shepherd.
Mais c'est surtout entre le fugitif et son poursuivant que l'on assiste à une lutte sans merci où chacun, comme dans un jeu d'échecs essaie de se mettre dans la tête de l'autre pour anticiper son prochain coup.
Un récit à suspense qui vous tient en haleine.
C'est ma première lecture de cet auteur que je salue au passage pour ce texte puisque j'ai pu lire quelque part qu'il était membre de la communauté Babelio.
Lu dans le cadre du challenge multi-défis 2019 pour l'item 40 : un roman choral.
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Pépite ! C'est la première fois que je lis un livre d'Antoine Bello et je l'ai adoré. Dès la première page, j'ai senti que le thème de la disparition volontaire allait me plaire et que j'allais me laisser emporter par l'histoire. Chaque personnage a sa raison d'être par sa profondeur psychologique et ses réactions face à un phénomène intense et méconnu. Un grand roman.
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Bon, je relève la tête un peu ahurie, la nuque me fait mal : je viens d'engloutir en quelques heures le dernier livre d'Antoine Bello et j'ai vraiment beaucoup, beaucoup aimé ! Je crois que je vais devenir une inconditionnelle de cet auteur : après Ada qui m'avait enthousiasmée, j'ai de nouveau ressenti ce même bonheur de lecture en découvrant L'homme qui s'envola.
Ce qui me séduit chez cet auteur, c'est le fait qu'il aborde des sujets complètement essentiels, existentiels voire philosophiques qui touchent l'homme moderne comme la liberté, le bonheur et en même temps, il a la capacité d'embarquer son lecteur dans une intrigue extraordinaire et un suspense très soutenu : résultat, ça marche, ça court, on est complètement suspendu à son récit. Quel conteur que ce Bello !
A cela, on peut même ajouter une dose d'humour qui ne gâche rien, bien au contraire.
Ainsi, tout y est : la réflexion, l'action et l'humour, l'ensemble écrit dans une langue fluide, précise, efficace, très agréable à lire. J' « adhère » complètement comme disent les jeunes !
L'homme qui s'envola se nomme John Walker et c'est bien simple : il a tout réussi.
Chef d'une assez grosse entreprise de transport qu'il ne cesse de faire prospérer, père de famille et époux comblé, il ne lui manque rien. de l'argent ? Il en a à revendre ! On peut dire de cet homme qu'il a tout pour être heureux : en effet, rien ne lui manque vraiment sauf... le temps, du temps pour lui, je veux dire, du temps pour lui TOUT SEUL !
Ah, je vous imagine prendre un air rêveur… Je dis ça parce que je crois vraiment que nous sommes tous des Walker en puissance et que l'on a tous rêvé un jour de … Stop, je n'irai pas plus loin et surtout, si vous aimez un peu le suspense, je vous déconseille de lire la quatrième de couv' qui, à mon sens, en raconte beaucoup trop !
Donc, disais-je, notre Walker aime beaucoup sa femme, ses enfants, son boulot mais il sent comme un poids, un poids de plus en plus lourd peser sur ses épaules et il a comme l'impression que, le temps passant, rien ne va s'arranger : les responsabilités vont se multiplier, les tâches à accomplir aussi. Il a le sentiment d'être pris au piège, dépossédé de son existence, comme si son avenir s'écrivait dorénavant sans lui. «La nuit, Walker contemplait le plafond en se disant qu'il était booké jusqu'en 2040. » Pas très engageant comme perspective, vous en conviendrez !
Alors, pour échapper à ses visions cauchemardesques, il se prend parfois à rêver… « Il habiterait seul, ne fréquenterait personne, s'encombrerait d'un minimum de possessions et organiserait son temps à sa guise. » En pensée, facile, mais de là à passer à l'action, c'est une autre affaire... Et pourtant...
Allez, je ne vous en dis pas plus sinon que c'est génial, que vous allez adorer et attendre comme moi le prochain Bello avec impatience !
Lien : http://lireaulit.blogspot.fr/
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