« J’éprouve un sentiment d’étonnement incrédule Cette caravane bien réelle qui marche à côté de moi n’existe “ en vrai ” que parce qu’un jour je l’ai rêvée Les pas s’égrènent les jambes se balancent les encolures oscillent Cette idée se déplace sous mes yeux incarnée par des chevaux et des chameaux de chair et d’os […] Il suffit donc de vouloir pour pouvoir ? La réalité n’est-elle autre chose que le corps d’une pensée ? »