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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Cathy BORIE fait partie de ces écrivains à la plume psychologique, qui me touchent parce qu'ils parlent à l'âme.
Ce roman commence par un viol, ma douleur s'enroule autour des pages et la suite m'envoie au tapis plus d'une fois, me laissant percluse de maux divers et variés.

L'auteure ne pouvait pas deviner à quel point Ana me toucherait par son mode de vie marginal et sa quête d'authenticité.

L'analyse des états d'âme des divers protagonistes est fine et fouillée, leurs sentiments parfois exacerbés ne laissent jamais indifférents et la vie coule dans leurs veines qui roulent.
Un roman très touchant.
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Une lecture réussie m'amène toujours au bord de la tristesse quand il faut refermer la dernière page d'un livre. Me voilà un peu orpheline en refermant l'histoire d'Ana dont j'ai savouré chaque page.

Cathy Borie nous offre ici un très beau roman sur l'histoire d'une fillette née sous une mauvaise étoile.
La première partie est consacrée à Clothilde, sa grossesse non désirée suite à un rapport non consenti jusqu'à la naissance sous X de cet enfant. La seconde partie s'attarde sur Ana de ses premiers balbutiements à sa majorité.

Cette histoire m'a énormément touchée, surtout cette seconde partie où l'on devine toute la difficulté d'un enfant à grandir sans identité. Ana refusera tous les bras qui voudront l'accueillir comme si elle n'attendait que sa propre mère. Les scènes sont très immersives sans jamais sombrer dans le patho ou le sordide. Je me suis attachée à cette jeune fille sauvage et bohème qui aime les livres et écrire des poèmes, qui s'accroche à son chien Sam comme un naufragé s'accroche à sa bouée.

Ce roman est à nouveau très réussi, ne fut-ce que pour cette aptitude littéraire de l'auteure à dessiner devant nos yeux des paysages, des personnages attachants, des sensations palpables.

Une histoire qui m'a remplie et gonflée le coeur, une histoire belle tout simplement qui marie l'ombre et la lumière avec précision et talent. Un très très beau moment de lecture.
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Tout commence par une banale rencontre dans une bibliothèque universitaire. le jeu de la séduction, le désir partagé, deux corps qui se trouvent. Clotilde qui dit non. Sans écouter ses protestations, Louis continue de se frayer un passage dans son corps qui est redevenu étroit. Incapable de nommer ce qu'elle vient de subir, Clotilde est comme un animal pris dans un collet. Louis sur le quai, Clotilde le repousse violemment, il perd l'équilibre au moment où le métro arrive dans la station. Être enceinte en prison c'est une chance, on vous soigne mieux que les autres détenus. La seule solution pour ne pas garder le bébé quand il est trop tard pour une IVG, accoucher sous X. Elle lui donne le prénom d'Ana c'est le seul héritage qu'elle lui transmettra.

Ce roman est un véritable coup de coeur, Cathie Borie nous offre un récit violent, mais sans jamais sombrer dans le sordide. Avec sa plume délicate et tout en finesse, elle nous brosse le portrait puissant de deux jeunes femmes qui sont à la dérive. Dans ce livre, tout est écrit avec justesse, sans aucune fausse note, la culpabilité après le viol, l'univers carcéral, les foyers, les familles d'accueil, la galère d'une jeune fille dans la rue. La couverture est très douce et elle correspond bien au récit. J'ai bien aimé l'originalité des titres de chapitres, ce sont les noms de romans célèbres, et ils évoquent parfaitement le contenu qui va suivre. La dernière partie est très émouvante et la fin laisse libre cours à l'imagination du lecteur.

Je remercie Cathy Borie, les éditions de l'Échelle du temps et Babelio de m'avoir permis cette belle rencontre

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Ana, c'est l'histoire d'un consentement trahi. Un viol qui ne sera jamais nommé parce qu'il survient contre toute attente dans un contexte de don et de désir. Une agression qui renvoie sans cesse la victime à une responsabilité qui n'est pas la sienne mais qu'elle s'approprie et qui la consume. Parce qu'avant de vivre le séisme de l'agression, Clotilde s'est étendue de son plein gré sur un lit d'hôtel, avec l'espoir d'une véritable communion des corps. A cette violence inouïe, s'ajoute celle d'une grossesse, qui grave l'indicible épreuve dans la chair de Clotilde puis celle d'un accident, un acte pulsionnel de défense lorsqu'elle recroise un jour son agresseur dans le métro. L'accident est qualifié d'homicide, parce qu'elle ne parvient pas à expliquer les faits : comment la police pourrait-elle comprendre que le regard de cet homme, son insistance physique, l'autorité de sa voix, la main portée sur elle ont été vécus comme une itération de ce qu'elle a déjà subi et qu'elle ne pourra jamais nommer ? Une nouvelle agression dont elle s'est instinctivement défendue en donnant la mort...
Ana, c'est l'histoire d'un amour entravé, l'histoire d'une mère et d'une fille séparées par le mur de l'accouchement sous X, le besoin de l'autre inscrit en creux de manière animale. L'histoire d'une agression mais également un exemple de résilience. Ana, c'est le chaos de la bestialité, le besoin de l'autre qui ne dit pas son nom, l'errance, la survie, la solidarité, la quête identitaire.

Un roman très puissant porté par une plume magnétique. L'épilogue est magnifique.
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L'histoire d'Ana commence bien avant sa naissance. Elle commence par l'histoire de sa mère (Clothilde) et de la mère de sa mère. L'histoire d'Ana c'est aussi l'histoire du poids de la condition féminine, une histoire de transmission.

A travers l'histoire d'AnaCathy Borie aborde des questions de société terriblement lourdes et complexes : consentement, viol, naissance sous x, emprisonnement, réinsertion, aide sociale à l'enfance… de quoi sombrer dans un texte qui donne le cafard et vous fait déprimer pendant des semaines.

Pourtant il n'en est rien, au lieu de nous enfoncer dans la noirceur l'auteur, avec beaucoup de talent, joue les spéléologues de l'âme et immerge le lecteur dans un roman psychologique fort. Parler de l'histoire serait prendre le risque de trop en dire, la quatrième de couverture est amplement suffisante. Mais ce dont je peux parler, c'est de la force de ce récit qui réside dans la construction soignée des personnages : crédibles, attachants, humains. le lecteur suit leur évolution avec un regard bienveillant et croise les doigts pour que tout aille mieux.
Pour Clothilde qui lutte désespéramment , tombe, se relève, se reconstruit, tombe encore, se relève, se reconstruit … un peu moins bien, tombe, laisse filer, … donne le change pour conserver une petite place dans la société, pour épargner les proches qui lui restent. Puis finalement attend que la vie passe.
Que tout aille mieux aussi pour Ana. Tout en détermination et en fragilité. Insaisissable, brisée depuis toujours, en quête d'un moyen de se construire, en quête de vie, en quête de tout. L'esprit vif, affûté, accompagnée de sa solitude et de sa différence elle lutte pour trouver une issue.

Puis tout au long du récit, il y a les éclats de lumière qui filtrent au travers de l'horizon désespéramment sombre. Il y a la rage de vivre d'Ana, en écho à l'acharnement de Clothilde à étouffer sa vie. Une vie rythmée et routinière que tout oppose à celle chaotique et instable d'Ana. A

Au coeur de tout ça il y a la souffrance, l'espoir, les secrets, l'indicible, la violence, l'amitié, la résilience, l'amour, et surtout le talent de Cathy Borie pour nous conter une histoire déchirante qui chavire le coeur.
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Ana : voilà un roman que j'ai lu, relu, dont j'ai déjà parlé, et dont je reparlerai à chaque fois que j'en aurai l'occasion (et pour commencer... je republie une chronique ici ;)). Car comme tout ce qu'écrit Cathy Borie, récente lauréate du Prix des auteurs inconnus, c'est pour moi plus qu'un coup de coeur : c'est une nouvelle occasion de retrouver une plume avec laquelle je me sens en affinité profonde, qui décrit notre intériorité et les relations avec les autres d'une manière qui pourrait être la mienne – si j'avais cette plume. Cette autrice me parle toujours de moi.

Pourtant, l'histoire d'Ana est particulière, violente et marginale, tout comme celle des autres personnages, à commencer par Clotilde. Quand un livre s'ouvre sur un viol, on sait que rien de ce qui s'y passera ne sera anodin. Mais là, on le sait aussi parce que ce viol est particulier : c'est celui que perpètre un homme qui aurait pu, qui aurait dû plaire à l'héroïne, dans une relation qui ne tourne pas comme elle l'aurait dû.

Cathy Borie est la reine des situations ambivalentes, ambiguës, des sentiments subtils, la reine du vocabulaire qui épouse de son empreinte légère tout un réseau complexe d'émotions difficiles à décrypter. Elle nous aide à comprendre ce qui arrive à ses héroïnes, et ce faisant, elle nous aide aussi à devenir attentives aux mouvements profonds et invisibles qui nous agitent.

Je crois aussi que je n'ai jamais terminé de roman de Cathy Borie sans être agitée de larmes qui viennent de loin, parce que toute la construction de ses histoires nous amène au point exact où elle ouvre sur un monde de possibles et nous incite à continuer : ainsi, j'ai lu Ana pour la première fois il y a longtemps déjà, mais je me souviens encore exactement de la beauté de la scène finale.

Peut-être est-ce même la meilleure preuve que je peux donner du fait qu'il faut le lire : je sais bien qu'il a été retravaillé depuis sa première version, qu'il a été épuré, que celles et ceux qui en parlent soulignent qu'il a gagné en force. Mais pour moi, peu importe, car l'émotion qu'il a suscitée en moi dans sa forme initiale est intacte. Dans un monde où les rentrées littéraires sont comme des vagues dont chacune chasse l'autre à peine elle s'est écrasée, cela me paraît assez rare pour être souligné et pour faire de Cathy Borie une autrice de plus en plus incontournable.
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Une très belle lecture.
J'avais été séduite par "Dans la chair des anges" et le suis tout autant par "l'histoire d'Ana" ; Cathy Borie a une plume en or.
Clotilde, étudiante en psychologie, rencontre à la bibliothèque universitaire Louis et ce dernier ne lui est pas indifférent. Lors d'un rendez-vous, il la viole.
C'est un peu confus, viol, rapport consenti ??? Peu de temps après Clotilde se rend compte qu'elle est enceinte. Elle rencontre par hasard Louis sur un quai et c'est à ce moment que tout bascule. Que s'est-il passé ? je ne le dirai pas ça serait spolier mais Clotilde se retrouve en prison pour trois ans. Elle accouche sous X d'une petite Ana.
La deuxième partie du livre est l'histoire d'Ana depuis son plus jeune âge de foyers en familles d'accueil. Un bébé très attachant, mignonne et très calme. Mais une fois encore tout va changer. Une fois encore, je n'irai pas plus loin.
Que d'émotions se dégagent de ce court roman. Que de questions viennent à l'esprit du lecteur !
Cathy Borie retient tout au long de son récit l'attention du lecteur, elle analyse avec des mots justes et bien choisis les aléas des deux vies qui nous sont contées.
Une fois encore, elle croise et entrecroise les faits, c'est un roman émouvant mais plein d'espoir. Une très belle écriture qui m'a encore une fois conquise. Merci Marceline Bodier de me l'avoir conseillé.
Il s'agit d'un roman surtout psychologique. N'hésitez pas lisez-le !

Un fait m'interpelle, Cathy Borie auto-édite son roman, je ne comprends pas que les éditeurs restent imperméables à son talent.
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Je tiens à remercier Cathy Borie pour l'envoi de son dernier roman, en avant-première, juste quelques jours avant sa sortie, pour lecture et avis.
L'Histoire d'Ana nous raconte deux parcours humains où le hasard, la malchance et le destin, au sens tragique du terme, entrent en jeu pour bouleverser la vie de deux jeunes femmes. Il s'agit aussi d'atavisme et de transmissions, quand les conséquences des traumatismes s'accrochent telles des casseroles indélébiles.

J'ai retrouvé la magnifique écriture de Cathy Borie, la longueur de certaines de ses phrases, leur rythme et leur musicalité et, paradoxalement, la brièveté terriblement efficace de quelques passages.
Immédiatement, une très forte intertextualité m'a sauté aux yeux ; tous les titres de chapitres renvoient à d'immenses univers référentiels… Même si je ne cite que ceux qui étaient parlants pour moi, vous en aurez une belle idée : Stupeur et tremblement, le Bruit et la fureur, Voyage au bout de la nuit, L'Écume des jours, Illusions perdues, le Diable au corps, Orgueil et préjugés, Au-revoir là-haut, Les Rêveurs, La Promesse de l'aube, Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part… En même temps, les livres que lisent les deux héroïnes, les « lectures anarchiques » d'Ana, de Tolstoï à Tolkien, sont particulièrement révélatrices.
Et puis, il y a l'écriture dans l'écriture, quand l'une des personnages ne peut s'exprimer qu'au travers des poèmes qu'elle écrit à la craie sur les trottoirs de la ville…

L'intrigue est profondément tragique et mêle habilement des thèmes dont l'universalité est illustrée par deux individualités fortes, cabossées, exemplaires : violences faites aux femmes, vie carcérale, précarité des femmes qui vivent dans la rue, recherche des origines, hypersensibilité…
Clotilde n'a pas rencontré le bon partenaire ; elle a été tellement mal aimée qu'elle a pris la fuite ; elle a tué cet homme, le père de son enfant ; elle a fait de la prison et a accouché sous X ; elle a voulu mourir et, depuis, elle « surnage »…
Ana est née sous X ; elle a connu les foyers de l'Aide Sociale à l'Enfance, les familles d'accueil ; sans comprendre le manque et le vide abyssal qu'elle porte en elle, « au fond de ses cellules les plus secrètes », elle a en quelque sorte « cadenassé » sa vie ; elle ne s'accepte pas ni comme bébé, ni comme fillette, ni comme adolescente, encore moins comme jeune femme…

Un roman intense dont je ne dirai pas plus…
Découvrez-le !


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#lesglosesdelapiratedespal
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Voilà encore une auteure qui en est à son 13ème roman et dont je n'avais jamais entendu parler; c'est grâce aux Babelionautes dont je lis les chroniques régulièrement que j'ai été attirée vers ce roman et ce fut un coup de coeur.
Dans une première partie, Clotilde, jeune étudiante discrète et réservée de 20 ans, se laisse séduire par un jeune homme qui la viole. Elle découvre qu'elle est enceinte. Lorsqu'elle le rencontre fortuitement dans le métro et qu'il essaye de la retenir, il chute sur les rails et meurt. Condamnée à 3 ans de prison, elle accouche sous X en prison d'une petite fille qu'elle prénomme Ana. La reconstruction sera longue et difficile; elle ne pourra jamais combler le vide laissé par Ana.
La deuxième partie est consacrée à Ana, la rebelle, qui, à 17 ans, fugue d'une famille d'accueil et part à Paris. Elle vit dans la rue et ne survit que grâce aux livres qu'elle chaparde, à l'écriture de courts poèmes et à l'amour de Sam, le chiot recueilli dans une poubelle. Elle garde la tête haute, ne sombre ni dans l'alcool, ni dans la drogue jusqu'à ce que son chien meure, écrasé par une voiture. C'est alors la descente aux enfers avec l'envie d'en finir.
Le destin de la mère et de la fille est-il séparé à jamais? Ana peut-elle retrouver l'envie de vivre?
Les thèmes abordés sont nombreux et d'actualité : le non-consentement, le viol, l'accouchement sous X, l'ASE (aide sociale à l'enfance) présentée positivement, la vie dans la rue; ce dernier thème est particulièrement bien décrit, sans voyeurismes, sans pathos, sans manichéisme et il fait mouche.
Ce roman m'a profondément émue, par le magnifique portrait de ces deux femmes attachantes, confrontées à la violence, à la solitude; l'injustice qui s'abat sur Clotilde donne envie de hurler d'autant qu'au lieu de se sentir victime, Clotilde se sent coupable: coupable d'avoir suivi son violeur dans un hôtel, coupable d'avoir suscité son désir, coupable d'avoir abandonné sa fille. Pourquoi faut-il que la plupart des femmes violées ressente ce sentiment qui les amènent à ne pas porter plainte, à se terrer, à devenir invisible?
Ce roman est un hommage à la littérature, aux livres. C'est ce qui relie les deux femmes à la vie, leur laisse espérer un avenir. Ils aideront Clotilde à survivre à la prison, à reprendre ses études. Ils seront des moments de paix et de lumière pour Ana. L'auteure pousse cet hommage jusqu'à donner à ses chapitres des noms d'oeuvres très connues ("Stupeurs et tremblements", "L'écume des jours", "Bonjour Tristesse"....).
Je referme ce roman, émue et bouleversée; j'ai apprécié de le finir sur une note d'émotion et ne pas avoir à subir des pages de remerciements, une mode importée des États-Unis et qui m'agace, la plupart de temps.

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Ana… une couverture superbe, un format de livre peu courant, très agréable à la prise en main, et surtout, une histoire qu'il serait dommage de ne pas découvrir !

Le récit débute avec l'histoire de Clotilde. Ou comment le destin d'une jeune femme tout ce qu'il y a de plus « normale » (étudiante studieuse, insérée dans la société, d'une famille aimante) peut basculer du jour au lendemain.

L'histoire d'Ana nous hurle l'importance de savoir d'où l'on vient.

Les événements contés sont durs, terribles même, mais jamais le récit n'est sordide, jamais il ne sombrera dans le glauque. Au contraire, l'espoir, le courage, l'envie de vivre, la lumière, émanent en permanence de nos héroïnes.

J'ai dévoré ce livre en deux jours, comme une urgence de connaître la suite, comme un besoin de ne pas abandonner Ana. J'ai eu l'impression d'être présente à ses côtés, de la connaître intimement, de traverser tout cela avec elle. Nos héroïnes sont si fortes, si attachantes, si courageuses à travers ces épreuves... J'ai même versé des larmes à leurs côtés, chose qui m'arrive rarement au cours d'une lecture.

Ce livre est aussi un bel hommage au travail des associations qui apportent une aide salvatrice aux personnes de la rue.

Merci Cathy Borie pour ce livre magnifique ! Je remercie également Babelio et les Editions L'Echelle du temps pour leur confiance.

N.B. Il s'agit d'une co-édition avec TohuBohu éditions, mais seules ces dernières apparaissent sur la fiche Babelio du livre...
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