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2,67

sur 92 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Je n'ai pas pu aller au bout de ce livre.
J'ai eu la chance de pouvoir lire les épreuves au mois de mai dernier et je me faisais une joie de découvrir la plume d'Adrien Bosc, n'ayant pas lu son précédent roman.
L'histoire avait tout pour me plaire.
L'histoire vraie du cargo CapitainePaul-Lemerle qui en 1941 a accueilli à son bord 300 personnes, des réfugiés européens fuyant la France sous domination allemande. Parmi ces passagers quelques belles figures de l'intelligentsia européenne: André Breton, Claude Lévi-Strauss, Wilfredo Lam, Germaine Krull, Victor Serge, Alfred Kantorowicz.....
Mon problème avec ce livre ne vient donc pas du sujet traité mais clairement du style.
Un mélange de style journalistique avec accumulation de faits et de phrases que je qualifierais de "pompeuses". Résultat une lecture hachée qui a nuit clairement à mon plaisir.
Ce livre trouvera sans doute son public mais en ce qui me concerne, je l'ai juste trouvé prétentieux.
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L ‘ histoire du voyage ou de la fuite vers les Amériques en 1941 des plus brillants intellectuels de l' époque. Tout ce monde embarque à bord du navire CapitainePaul-Lemerle . Je suis resté à quai en lisant ce livre ou plutôt ce récit sans âme qui n'est qu' une succession de biographies de gens célèbres. Ces bouts de vie alignés ne font pas de la littérature .Erudit certes mais sans passion et, par moments, presque imbuvable
Impossible d'aller jusqu' au bout .Adrien Bosc connaît bien son sujet mais échoue à lu donner une trame romanesque
Une vraie déception
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Certains ont dit de la rentrée littéraire 2018 qu'elle était faible, et malheureusement ce n'est pas Capitaine qui va les faire mentir. Pour ma part ce livre est à l'image de Constellation, et j'ai du mal à comprendre ceux qui ont aimé le premier et détesté celui-là. Certes Capitaine pousse l'indigeste plus loin, mais finalement le concept est similaire.

Bosc travaille beaucoup ses sujets, mais soyons honnêtes: c'est un érudit, pas un écrivain. Il prend 50 biographies, 50 encyclopédies, 50 livres d'histoire, et il pioche tout ce qu'il y a dedans. Ensuite il assemble dans une langue pesante et docte à l'extrême les éléments piochés en prenant minutieusement soin de n'en oublier aucun (et surtout pas les plus ennuyeux).

Le résultat n'a rien de romanesque, il dégouline de savoir bourratif et il manque tout ce qui fait le sel de la vie. L'ouvrage désincarne ses personnages, ou plutôt ne les incarne qu'à travers des sources scientifiques. Où sont les hommes, les femmes derrière les idées, les concepts, les théories?

Bosc aurait pu réussir son pari en écrivant à partir de lettres intimes, de journaux, de mémoires. Il y aurait pioché des caractères, des anecdotes, des bons mots, et peut-être emprunté une écriture légère, vive, tout du moins, vivante.

Mais Bosc est un érudit qui veut faire érudit. Evidemment, un homme intellectuel est incapable de faire un bon mot, il débite plutôt le texte de son prochain colloque autour de lui (c'est un peu ça Capitaine par moment).

Puis la troisième personne ne convient pas du tout. Ca renforce encore Bosc dans l'exposition didactique de son savoir.

Honnêtement, je n'ai rien ressenti dans ce texte et surtout pas le cri des mouettes, les embruns et les coeurs fendus (ou heureux, pourquoi pas) des exilés. Pas d'émotion, pas de sensoriel, voilà un bon bouquin d'érudit qui se donne vraisemblablement des airs romanesques pour mieux se vendre. La seule chose de sensible ici, c'est le poids de l'ennui, au moins aussi lourd que l'ancre du navire, face à cette surcharge de savoir mal étalé.
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A chaque rentrée littéraire, il y a des ouvrages qui retiennent notre attention. Capitaine fut de ceux-là. Il faut dire que le premier roman de son auteur, Adrien Bosc, m'avait beaucoup plu. Et comme dans Constellation, il me semblait qu'avec Capitaine, Bosc allait à nouveau nous entraîner à la découverte de personnages à travers un fait historique. Hélas, il arrive parfois que la magie qui avait opéré sur un premier roman ne fonctionne pas à nouveau. Et ce fut le cas ici.

S'il ne s'était pas agit d'un ouvrage lu dans le cadre d'un partenariat, je ne sais même pas si je vous en aurai parlé. Mais par honnêteté par rapport à mon partenaire, j'ai quand même eu envie de vous en dire quelques mots, même si je l'avoue : j'ai abandonné en cours de route, après quelques jours à tenter de me laisser embarquer sur ce paquebot sans succès.

Page après page, j'avais la sensation de lire des fiches encyclopédiques me relatant l'historique et la biographie des gens que l'auteur mettait en scène. Je n'arrivais pas à m'attacher à ces êtres humains pour certains très connus, j'avais la sensation d'une écrite ampoulée et précieuse, dénuée d'émotion... Au final, pas d'accroche avec ce bouquin, mais n'hésitez pas à tenter pour vous faire votre propre opinion !
Lien : http://croqlivres.canalblog...
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Je n'ai pas pu aller au bout. Ce qui est très rare. Et pourtant l'histoire m'intéressait vraiment.
Mais le style est indigeste. Il y a trop de choses, trop de monde, trop de tout... A croire que l'auteur voulait absolument prouver qu'il savait beaucoup de choses. Mais j'aurai voulu juste connaître l'histoire...
Dommage.
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