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3,39

sur 199 notes
C'est du Françoise Bourdin tout craché.
Le cadre, une très belle demeure en Sologne.
Les personnages,
le père, Gabriel, égocentrique pluoieurs fois gagnant de courses automobiles F1
rabaissant sans cesse ses trois enfants.
La mère, Albane, mère au foyer, bonne mère mais délaissée par son mari, prend un amant très jeune. Secret lourd à porter. Elle déteste les courses par peur d'un accident.
Les enfants, adultes,
Dan, marié avec Mallaury, et Valentine, amie de Boris son co-pilote, tous trois sont passionnés d'automobiles et de courses, mais qui abandonnent tous les deux la compétition.
Nicolas,et son chien Aramis, le "mouton noir" de son père parce qu'il a fait médecine et ne s'intéresse pas aux courses.
Luc et Antoine Vaillant, deux frères célibataires, dont l'un Luc est l'amant d'Albane et l'autre Antoine, passionné de chasse qui déteste royalement toute la famille qui d'après lui est la cause des malheurs de son frère et qui commet un acte grave sur la personne de Valentine (il visait le chien de Nicolas)
Et enfin, Justine, avocate, qui dans un premier temps dénigre Nicolas puis en tombe amoureuse.
Le tout finit dans un Happy end à la Françoise Bourdin.
C'est léger, distrayant, mais pas sublime !

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Un patriarche à la personnalité écrasante dont l'épouse se console avec un jeune amant, des enfants privés de la bienveillance paternelle pour s'épanouir dans leurs vies sentimentales et professionnelles, la famille Larcher connait tous les tourments d'une famille dysfonctionnelle à la mode solognote.

Avec ce second livre de Françoise Bourdin reçu dans le cadre de la Masse critique de Babelio, je découvre cette auteure et par la même occasion le succès éditorial de l'ensemble de ses romans. Une réussite pour une littérature à l'eau de rose - qui a semble-t-il de nombreux adeptes - probablement due à la qualité de l'écriture de l'auteure à défaut de son originalité.

Merci à Babelio et aux Editions Belfond pour cette lecture sentimentale.
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Au coeur de la Sologne, un patriarche, Gabriel larcher , ancienne gloire de la formule 1qui vieillit mal,égoïste et orgueilleux , tyrannise ses trois enfants et son épouse "presque parfaite" Albane.
Il rapporte tout à lui et ne fait pas confiance à Dan, son fils aîné qui s'occupe d'un circuit de voitures ,sa fille Valentine
embrasse aussi la course automobile .Nicolas, l'autre fils est médecin de campagne, passionné par son métier et la nature environnante, il passe ses loisirs à entreprendre de grandes balades dans la forêt avec son chien........
Gabriel les empêche de s'épanouir mais ils vont chercher chacun à leur manière comment s'émanciper .
Un secret de famille fera voler en éclats l'harmonie de la fratrie.
Liaisons tenues secrètes, ruptures, trajectoires contrariées, amour fraternel et filial, amour de la nature, place du pére dans la famille .

Bref,comment commenter un ouvrage aussi simple et facile à lire, sans prise de tête et prévisible , sentimental ?
Un univers romanesque à souhait , un roman vite lu, vite oublié, j'ai bien aimé la première de couverture , puéril de ma part, sans doute ?
















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Un roman sentimental dans le milieu du sport automobile, et de la chasse, tout ce que je déteste ! Le bilan carbone de ce bouquin pétaradant et puant le gasoil s'annonce plutôt mal à la veille de la COP21 ! de plus je suis du côté du gibier contre les fusils...ce livre cumule les handicaps, mais c'est très personnel ces arguments .

On goûte à tout dans cette opération masse critique, pour laquelle j'apprécie la confiance de Babelio et des éditions Belfond!

Dans ce milieu de notables en Sologne, où il est assez classique de caser des bluettes bucoliques, il est question d'amour, de rupture, de liaisons tenues secrètes, de la confiance perdue, bref, ça batifole et ça se déchire à tous les étages de cette famille dominée par un patriarche aigri, et autocentré. Les ingrédients habituels, en somme, et ça manque de saveur.

Une trame narrative un peu semblable à la Promesse de l'océan, sans surprise. Je comprends que c'est une littérature rassurante, pas compliquée, distrayante, mais je ne suis définitivement pas conquise. J'arrête lâ les expériences désagréables, il est inutile de se faire mal !



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LE PATRIACHE

Gabriel, ancien champion de F1, est très respecté par sa famille mais oh combien détestable et imbu de lui-même ; néanmoins ses trois enfants (Dan, Nicolas et Valentine) et son épouse (Albane) ont réussi au fil du temps à s'en accommoder et enfin vivre pour eux-mêmes.
Ce roman est réaliste et se lit agréablement en un après-midi.
A découvrir.
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J'ai lu ce livre dans la sélection masse critique,je remercie Babelio et Belfond.
Un livre facile et agréable de lecture qui cependant ne m'a pas satisfaite, idéal pour combler un après midi .
Les personnages ont des personnalités assez atypiques surtout le père un passionné de F1 et sports automobiles.
Ce PÈRE est égoïste et n'a pas daigné s'occuper de ses enfants ...
L'image du père est plutôt absent, il en est de même pour celle du mari . Son épouse se consolera avec un jeune homme.
Les 3 enfants nés de cette union n'ont pas une vie synonyme de bonheur.
Le seul point positif, avoir fait connaissance avec ce sport de F1


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Voici le deuxième exemplaire des livres de Françoise Bourdin proposé par Babelio, livre qui vient de sortir.
On a un peu l'impression que quand on a fait un commentaire sur un livre de Françoise Bourdin, on aura du mal a être original sur le commentaire d'un autre de ses ouvrages. En effet, à part le résumé de l'histoire, le reste ( Structure, style, écriture…) reste tout à fait égal à ce qu'il est dans tous ses bouquins.

On est cette fois dans le milieu de la course automobile.
Gabriel LARCHER règne en maître sur sa famille. Ancien champion automobile il est partagé entre le souhait de voir ses enfants sur ses traces et la peur que leurs victoires prennent plus d'ampleur que les siennes. Il ne peut envisager d'être simple spectateur et exerce sur toute la famille une emprise parfois malsaine, sauf sur sa femme qui à l'insu de tous a un amant ; cela reste son secret. Elle ne détruira pas la famille, l'amour pour ses enfants est plus fort que son propre bonheur.
Il faudra beaucoup de temps pour que Gabriel LARCHER accepte qu'il est temps de laisser la main à son fils ainé et que sa fille et son autre fils doivent mener la vie qu'ils ont choisie.
J'ai eu plus de mal à lire ce dernier roman que le précédent. (Lassitude, déjà ?) Peut-être ne faut-il pas les enchaîner ainsi.
L'ambiance est lourde. Et peut-être que j'ai moins accroché à cette histoire dans le milieu automobile, beaucoup moins terroir que les autres histoires de famille que semble aimer l'auteur…

Ces romans sont pour beaucoup des romans «plaisir», des ouvrages de délassement et en ce sens, ils semblent parfaitement jouer leur rôle. D'ailleurs le succès rencontré par cet auteur prouve que ses livres répondent à une attente réelle.
Une expérience intéressante mais qui ne changera mes orientations littéraires futures….
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En fermant ces pages j’ai envie de dire : mais bousculez le ce père, remettez le à sa vrai place, celle d‘un retraité acariâtre, égoïste, méprisant tous ceux qui n’ont pas connu une carrière de champion comme lui, y compris ses propres enfants et en plus pas du tout sympathique. Il est centré sur sa vie au risque de priver ses enfants de leur jeunesse, de leurs ambitions, de leurs sentiments.
Albane, sa femme, a toujours vécu dans son ombre, à l’image de ces mères au foyer qui savaient s’effacer pour laisser leur mari vivre leur carrière en pleine lumière. Sans pour autant que ce dernier ne leur en soit reconnaissant d’ailleurs, comme si cette vie-là était normale, évidente. Enfin, si Albane a supporté toutes ces années difficiles dans l’ombre de son mari, à s’occuper de ses enfants, à avoir peur pour eux quand ils ont suivi les traces de leur père champion automobile, c’est parce qu’elle avait une vie parallèle avec Luc, un homme qui voyait en elle sa vrai personnalité et qui l’aimait pour ce qu’elle est. Nicolas découvre l’infidélité de sa mère. Il n’y a rien de plus terrible pour des enfants, même adultes, qui ne voient en leur mère qu’une mère, et jamais une femme.
D’aventures et banalités, l’intrigue se poursuit sur fond de famille apparemment harmonieuse mais qui se cherche. Nicolas n’est toujours pas marié et chacun s’empresse de lui présenter des « copines », ici c’est Justine, une amie de sa belle-sœur ; Dan fait tourner habilement le circuit créé avec son père, mais n’en est qu’un simple employé ; Valentine, la petite sœur, court les rallyes avec Boris en copilote, en qui elle ne voit qu’un très bon copain. Le jour où Valentine est blessée dans un accident particulièrement étrange dans ces forêts de Sologne plus propices à la chasse qu’aux longues promenades en famille, la vie tranquille d’Albane vole en éclat. Sa culpabilité, un peu tardive ? Un peu inutile ? Un peu forcée ? Va être telle qu’elle remet en cause son existence, quand chacun de ses enfants va enfin trouver son équilibre amoureux et professionnel.
Alors, comment dire, je pense que ce roman de Françoise Bourdin est toujours aussi bien écrit, mais un peu trop conventionnel dans l’intrigue. Peut-être aurait-il fallu le lire à la plage ou un jour de cafard, pour se donner le moral, mais certainement pas les uns à la suite des autres.

Lien : https://domiclire.wordpress...
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Tout d'abord, merci à Babelio et aux éditions Belfond pour l'envoi de ce livre dans le cadre de l'opération "Masse critique".
Ce roman réunit la plupart des ingrédients chers à Françoise Bourdin : la famille avec ses relations difficiles, ses secrets, un cadre régional (la Sologne), voire du terroir qui donne envie... L'amour est aussi présent.
Bien qu'il se laisse lire et qu'il décrit des évènements que connaissent sans doute plus de familles qu'on ne le pense, j'ai préféré La Promesse de l'océan, sans doute du fait d'un suspens plus prononcé.
Je ne ferais pas de commentaires, laissant aux fans de Françoise Bourdin ce privilège, à ceci près, j'ai préféré « La Promesse de l'Océan » où il y un suspens dirais-je à peine plus prononcé.
Néanmoins, j'ai tout de même passé un moment agréable, avec Au nom du Père et le recommande aux fans inconditionnels de Françoise Bourdin.
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Un dimanche froid d'octobre, j'ai ouvert Au nom du père (et du fils, et du... je plaisante). Bien installée, au chaud, les conditions semblaient réunies pour attaquer ce livre reçu dans le cadre de l'opération Masse Critique de Babelio. D'autant plus qu'à ma grande surprise, j'avais plutôt passé un agréable moment avec ma première lecture de dame Bourdin ; La promesse de l'océan.

Ayant en horreur les quatrièmes de couverture, je n'étais pas avertie du thème principal du roman... mais je m'en suis rendue compte bien vite et disons-le franchement : la F1, la F3 ou le karting, même combat pour moi ; même désintérêt franc. Cependant, je pouvais compter sur le lieu de l'intrigue pour me consoler : la Sologne. Je ne connais pas très bien cette région, mais en revanche j'ai de la famille tout près, vers Blois et la "mentalité" des gens du pays est assez similaire. Bref, en étant indulgente et bien disposée, je me sentais prête à apprécier cette lecture facile. Et bien... ce ne fut pas aussi simple que je l'aurais voulu.

Tout d'abord, j'ai trouvé ça très long, trop long. Je n'ai pas retrouvé cette justesse dans la psychologie des personnages. Je les ai tous trouvé un peu caricaturaux ; Gabriel, antipathique au possible ; Albane, dont le "double-jeu" avec sa famille et son amant ne m'a pas convaincue, quant à Nicolas, je n'ai pu m'empêcher d'avoir envie de lui filer quelques claques pour le réveiller de ses déceptions amoureuses. Seule Valentine a trouvé grâce à mes yeux et encore...quelle immaturité à son âge, tant sur sa future vie professionnelle que sur ses sentiments ! A mon sens, quand on se met à juger des êtres de papier, c'est signe que l'écrivain n'a pas rempli le job. Qu'il n'a pas su les rendre crédibles, donner au lecteur l'envie de les aimer, ou a minima de les comprendre.
Je me suis forcée à finir, réveillée par l'épisode "Luc" qui intervient à point nommé : il était temps qu'il se passe quelque chose !

Au nom du père est loin d'être le meilleur de roman de Françoise Bourdin, me semble t-il. En tout cas, ce n'est pas avec ce dernier que je conseillerais t'entamer la découverte de cette auteure. A moins d'être adepte de gibier, d'amourettes, de bagnoles et de Sologne : passez votre chemin. Sans être franchement mauvais, ce roman-là n'est pas très bon non plus.
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