AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,3

sur 11416 notes
Pourquoi donc ai-je aimé Jane Eyre ? Je me le demande encore. Et pourquoi l'ai-je aimé autant ?
Je me suis laissé aller à le relire, longtemps après la première fois. Il me semble que cette première fois devait remonter à l'adolescence ou peut-être un peu après, je crois.
J'aime la littérature anglaise classique, je m'aperçois qu'il s'agit souvent de plumes féminines : George Eliot, Jane Austen, les soeurs Brontë, plus tard Virginia Woolf. Et lorsqu'il s'agit d'une plume masculine comme celle de Thomas Hardy, pour autant l'oeuvre offre de très beaux personnages féminins.
L'histoire pourrait paraître, non pas banale, mais digne d'un roman à l'eau de rose. Or il n'en est rien.
J'ai été emporté par le récit que nous raconte la narratrice, Jane Eyre, orpheline qui dès les premières pages se définit comme une fille non jolie. À force de l'entendre le dire, j'ai traversé le miroir des pages pour m'assurer moi-même que c'était bien, non pas un mensonge, mais la trace d'un sentiment humble, une manière de détachement, une sensibilité aussi.
Car Jane Eyre est une personne à la fois sensible mais déterminée dans ses engagements. Elle est la souffre-douleur de sa famille d'adoption. Elle s'enfuira. J'ai aimé sa beauté.
Jetée parmi les vents, sur les sentiers de la vie emplis de ronces, pauvre elle l'est aussi, son coeur ardent semble cependant triompher de tout, de chaque obstacle qui jalonne son chemin. Humble, emplie de compassion, résiliente, elle n'en demeure pas moins fière et respectueuse de sa condition de femme, le faisant savoir à chaque étape qui marque le récit. Posant des actes.
Oui Jane Eyre est une femme. C'est un personnage qui affirme sa condition de femme en exigeant des personnages masculins qu'elle côtoie et qui cherchent parfois à lui dicter le cours des choses, le respect due à sa personne. Edward Fairfax Rochester, St. John Eyre Rivers le découvrent à leur dépend et en seront parfois pour leur frais. Pourtant, le coeur de Jane Eyre est aimant, capable d'émotions, capable de trembler, de chavirer, de souffrir, de se perdre aussi, mais c'est elle qui décide. Décider, c'est bien la possibilité d'un choix, le choix d'une femme, posé dans un récit publié par une femme écrivaine en 1847. Respect.
Pourquoi ai-je aimé Jane Eyre ? Sans doute déjà pour cela...
Elle aime parfois ramener les événements de sa vie à la religion, son destin lui semble lié à des choses qui parfois invitent l'invisible, à ce qui ne peut être ni expliqué ni compris.
Pourquoi ai-je aimé Jane Eyre ? Sans doute pas pour cela.
Le personnage de Jane Eyre évolue dans une abnégation totale de sa personne.
Pourquoi ai-je aimé Jane Eyre ? Sans doute pour cela aussi.
Et puis vient l'écriture, une écriture très belle et très juste qui vient s'enrouler dans le récit, prendre la main des personnages, les déployer, entrer dans leurs failles, les bousculer jusqu'aux confins de la passion, jusqu'au bord de la folie. J'ai trouvé magnifique la manière dont l'autrice, au travers de la narratrice, évoque les méandres des sentiments amoureux.
La force de l'histoire est sans doute là et puis ailleurs aussi, dans une forme de magie qui crée une brèche dans ce réel sombre, gothique, à quelques encablures d'un ciel chargé de nuages qu'on sent si proche du paysage qu'on pourrait presque le toucher. Cette manière de l'autrice de savoir bousculer notre monde désenchanté a éveillé en moi des volées d'oiseaux.
Jane Eyre, est-ce Charlotte Brontë ? Je voudrais le croire. J'ai senti la parole, la voix de l'autrice venir à moi, traversant les landes, les mers, le ciel, les ronces, les mots tout simplement.
Pourquoi ai-je tant aimé Jane Eyre ? Sans doute enfin pour cela, pour cette rencontre intime avec l'autrice. En tournant les pages du livre, je sentais à certains instants, une présence qui effleurait mes doigts et je ne saurais vraiment dire à quoi cette sensation parfois cérébrale, mais parfois aussi un peu sensuelle, était due.
Commenter  J’apprécie          8428
Pas vraiment une critique (y a t'il encore besoin ?), plutôt une petite histoire personnelle que j'ai envie de partager, qui pourrait s'intituler "Jane Eyre ou le dilemme artistique".
Une expo qui approche. J'ai envie de faire quelques retirages de mes vieilles linogravures, cette fois sur des pages d'un vieux livre. Tout est prêt et je sais exactement où, dans mon bazar organisé de l'atelier, se trouve un vieil almanach jauni, récupéré il y a quelques années dans le grenier de ma grand-mère tchèque. C'est exactement ce qu'il me faut, pages en double colonne, jolie couleur ivoire, un peu abîmé sur les bords. Je me demande s'il faut arracher les pages ou plutôt couper la reliure, quand je me rends compte que ceci n'est pas un almanach.
J'ai devant moi une édition 1907 de "Orpheline de Lowood ou Johanna (sic!) Eyre", par (tenez-vous bien) Currer Bell !
Combien de fois je l'ai déjà lu ! Combien d'adaptations de cinéma j'ai vu ! Malgré tout, les coudes dans le plateau à encrer, je jette un oeil sur le début. Et je me fais encore prendre par cette histoire mi-romantique, mi-gothique. Les pages ont une couleur et l'odeur des murs de Lowood, le style est désuet au possible. Je vais jusqu'au bout.
Et les gravures ? Faut-il détruire ce beau livre centenaire ? Pourtant, l'effet pourrait être super ! Vous auriez fait quoi, à ma place ?

Commenter  J’apprécie          6816
Sans doute que je ne suis pas capable d'être vraiment objective sur le roman de Charlotte Brontë. A chaque relecture, je m'indigne, je me pâme, je m'émeus aux mêmes endroits. Tout est là. Les paysages sublimes, la passion et le désir, la dénonciation sociale. Toute la partie sur la pension de Lowood fait forcément penser à Dickens -Oliver Twist- et le calvaire de la petite Helen s'inspire du destin de la propre soeur de Charlotte, Maria. On voit comment le tempérament de notre héroïne est brimé, bâillonné par l'institution. Certains, à tort, ont tendance à ne voir en Jane Eyre qu'une romance passionnée dans la lande mais c'est ignorer toute ce qui a pu faire scandale à l'époque. Madame Brontë ne se contente pas de dénonciation sociale, elle met en scène une héroïne passionnée, sujette au désir à une époque où une gouvernante ne devait montrer aucune humanité. Tous les personnages sont en marge de ce que les moeurs de l'époque exigent : Jane et ses désirs, Rochester, Adèle l'enfant illégitime. Tous ont une nature en opposition à leurs devoirs.

Non seulement le roman nous offre des pistes nombreuses de réflexion mais il transcende les genres de son époque. Nous pouvons retrouver le Romantisme avec les merveilles de la lande et les affres émotionnels de Jane et les passages sur Thornfield -avec le mystère, et l'ambiance de la vieille demeure- nous font immanquablement penser aux romans gothiques de Radcliffe.

Malgré cet ancrage dans une époque, Jane Eyre est avant tout un roman qui transcende le temps. Jane est universelle. Son bouillonnement intérieur « Je ne connais pas de milieu ; à aucun moment de ma vie, dans mes façons d'agir envers des caractères durs et sûrs, opposés au mien, je n'ai connu de milieu entre la soumission absolue et la révolte résolue. » Jane a soif de liberté et les humiliations ne la brime qu'extérieurement. Son apparence physique, sans beauté, donne aussi au personnage quelque chose d'unique. C'est d'ailleurs un défi que Charlotte avait décidé de relever. Les soeurs de l'auteur pensaient qu'une héroïne ne pouvait être que belle pour être intéressante. Charlotte leur aurait alors dit qu'elles se trompaient et qu'elle allait le leur prouver. Et quelle preuve !

Que pourrai-je encore te dire ami lecteur pour te persuader de lire Jane Eyre ? Peut-être qu'à chacune de mes lectures, je découvre quelque chose, que je comprends une nouvelle dimension. Ce roman semble comme grandir avec nous, changer en même temps que notre propre regard. Et n'est-ce pas le propre des grands livres ?
Lien : http://altervorace.canalblog..
Commenter  J’apprécie          670
Jane Eyre , c'est le roman d'apprentissage où l'on suit la petite Jane, que sa tante place à 10 ans dans une institution pour jeunes orphelines, pour s'en débarrasser, la jugeant sournoise et insolente. On la retrouve à la sortie de l'institution où elle a vécu huit ans, acquérant une formation de gouvernante et choisissant délibérément de la quitter. Jane Eyre fait montre d'une envie de découverte qu'elle sent vitale et nécessaire pour avancer et se connaître.
Arrivée à Thornfield, elle y restera comme gouvernante de la petite Adèle pupille d'Edward Rochester, taciturne en privé, brillant en société, convoité par la belle Blanche Ingram, intelligente et superficielle. Suite à la relation amoureuse avec Rochester impossible, Jane choisit de partir, renouant par hasard avec des membres de sa famille, avant de revenir à Thornfield et y retrouver Rochester affaibli et blessé dans sa chair.

Jane Eyre n'est pas qu'un roman d'apprentissage c'est aussi un roman féministe, le roman d'une affirmation individuelle, où les épreuves sont analysées et prétexte à forger le caractère, où la solitude même douloureuse peut devenir une force.
D'apparence fragile mais forte, raisonnée et passionnée, Jane Eyre parvient à transformer chaque épreuve, surtout les plus douloureuses en réflexions introspectives sur lesquelles elle s'appuie pour mieux rebondir, faisant ainsi preuve d'une résilience naturelle - elle se remet toujours en cause, elle se déstabilise pour avancer, refusant les choix par défaut, toujours droite. Elle a un intelligence et une acuité d'analyse des sentiments et des comportements humains d'une grande finesse.
Et c'est tout l'art de Charlotte Brontë qui, avec fluidité dans la narration, et un style simple nous offre avec Jane Eyre, une analyse psychologique fine et nous offre un des plus beaux portraits de femme, une femme qui s'est libérée des obstacles et se réalise pleinement.
Commenter  J’apprécie          661
COUP DE COEUR,!!!!
Qu'il m' a été difficile de tourner la dernière page de ce roman! qu'il m'est difficile d'aligner deux mots pour vous parler de lui!
Publié en octobre 1847,le roman de Currer Bell fit grand bruit. Quand on apprit que l'auteur en était une jeune fille de 31 ans ce fut l'incrédulité! car bien sûr à cette époque pour envisager d'être publié il ne fallait pas porter jupons ...
Je vous épargnerai le résumé de ce roman foisonnant, sachez seulement qu'arrivée à l'âge adulte Jane Eyre devient l'institutrice de la petite Adèle Varens pupille de Mr Rochester. Après de longues années passées à Lowood ,l' institution caritative où l'avait placée sa tante Mrs Reed,la voilà donc installée à Thornfield. Thornfield sans son maître le redoutable Mr Edward Rochester ne serait pas Thornfield.... comment pourra t'elle résister au charme de ce séducteur,?certes il est loin d'être beau, elle n'est pas bien jolie , mais qu'importe .
Charlotte Bronte nous peint une jeune femme tout à la fois passionnée , aimante, capable de tout pour ceux qu'elle aime qui garde cependant la tête sur les épaules.
La richesse de ce roman ne s'arrête pas à l'histoire de Jane , c'est aussi le regard d'une femme du 19ème sur le monde dans lequel elle vit, sur la pauvreté et sur les conditions de vie des plus modestes, sur la position de la femme dans cette société machiste. Charlotte Bronte se fait porte parole d'une femme indépendante, capable d'agir de réfléchir par elle'même. Bien sûr elle se fait aussi l'écho de cet insularisme typiquement britannique qui exècre le petit français et se réjouit de sa défaite à Waterloo, il ne fait vraiment pas bon être français sous la plume de Charlotte Bronté ....la petite Adèle Varens en sait quelque chose...
Jane Eyre ce sont aussi les personnages du roman surtout Edward Rochester bien sûr St John Rivers ce pasteur presque l'anti-thèse de Rochester et Jane ! Trois figures , trois façons de voir la vie, le monde , une femme deux hommes .
Je savais qu'écrire un commentaire sur ce magnifique roman serait difficile je ne me trompais pas! je n'aurai qu'un mot si vous ne l'avez pas encore lu laissez tomber les préjugés les étiquettes classique de la littérature, 19ème, foncez vous ne serez pas déçus!


Commenter  J’apprécie          665
Jane Eyre est l'amoureuse passionnée et raisonnée à la fois, sacrifiant aux diktats de l'époque où l'honneur doit rester sauf, où les règles imposées par l'Eglise et la morale sont toutes-puissantes.
Jane Eyre est la femme qui se veut libre, après avoir été une enfant brimée.
Jane Eyre est la femme intelligente mais modeste, peu encline à se faire remarquer.
Jane Eyre est courtoise mais n'a pas sa langue en poche.
Jane Eyre est pétrie de contradictions, et j'aime ça.

J'aime l'Angleterre, ses saisons affirmées, sa campagne colorée par la bruyère, ses manoirs austères, ses cottages charmants.
J'aime le 19e siècle et les classiques. J'aime le romantisme.

Vous l'aurez compris, j'adhère en tout point à cette histoire écrite par la célèbre Charlotte Brontë, où l'amour, la morale, la religion, la folie et le féminisme se font la part belle, avec en toile de fond les conditions de vie du 19e siècle, particulièrement pour les enfants orphelins.

Un roman gothique, plein de noirceur mais d'espoir, où se creuse, au fil des conversations, la relation entre l'homme et la femme.
Un roman d'amour.
Un roman moderne, envers et contre tout.
Commenter  J’apprécie          6512
Petite orpheline sans fortune, sans ami et sans grande joliesse et pourtant si totalement enchanteresse. Ainsi se dresse Jane Eyre, figure incontournable de la littérature anglaise de ces deux derniers siècles.

Avec cette biographie romanesque à fortes connotations autobiographiques, Charlotte Brontë signe une oeuvre novatrice et qui s'offrir même le luxe d'un léger parfum de scandale. Son héroïne détonne dans le panel habituel. Sa douceur et son humilité n'en cachent pas moins une âme solidement trempée, consciente d'elle-même et de sa dignité. A l'image de sa créatrice, la créature se fait le chantre d'un féminisme, certes à ses prémices, mais qui se refuse à accepter sans mot dire la domination masculine. Petit être si menu, enfant fée presque surnaturelle aux yeux d'Edward Rochester, mais si grand par la force qu'elle oppose aux épreuves diverses qui bouleversent sa vie dès ses plus tendres années (à bien y réfléchir, "tendres" n'est décidément pas l'adjectif adéquat pour qualifier son enfance).

Il est bien sûr beaucoup question d'amour dans ce récit. Une grande soif d'affection parcourt les lignes du texte et nombreuses seront les embûches pour parvenir à la désaltération. Edward Fairfax Rochester représente un personnage ténébreux - sans les excès du Heathcliff d'Emily cependant. Ténébreux, dépeint d'entrée comme laid de visage, autoritaire, se montrant aisément sec et cassant, peu tolérant envers la petitesse ou les enfants, ... la liste pourrait se décliner à l'infini ou presque. Mais quel homme! Tellement plus attirant que les lisses gravures de mode masculine présentes au château en même temps que la merveilleuse et sculpturale Blanche Ingram. Celle-ci non plus n'est pas ratée dans son portrait! Charlotte Brontë se venge de la trop grande beauté extérieure en faisant de ses personnages au physique si attrayant des êtres vains ou pleins de morgue,  ou encore froids comme le marbre à l'image de St-John Rivers.

Miss Brontë, c'est avec un plaisir toujours renouvelé qu'on lit et relit le récit de votre héroïne. Continuez à nous enchanter comme elle le fit avec le fier Edward! Je crois que votre roman est l'un de ceux dont on peut multiplier les lectures sans jamais se lasser. Je vous dis donc à bientôt. Mon bonjour affectueux à vos soeurs que je visiterai à nouveau sous peu.
Commenter  J’apprécie          650
Jane Eyre.

Deux mots qui mettent mon âme en ébullition.
Deux mots qui font palpiter mon cœur.
Deux mots qui m'emportent dans une histoire captivante, passionnante.

Une héroïne inoubliable.
Elle se dit elle-même pas jolie. Mais tellement touchante par sa force de caractère, sa droiture, sa passion et son courage. Héroïne moderne, volontaire et insoumise.
Orpheline, elle est dans ses tendres années recueillie par un oncle qui décède malheureusement peu de temps après la laissant à la cruauté de sa veuve et de ses enfants.
Du haut de ses 10 ans, Jane se rebelle. Combien ai je trépigné devant tant de méchanceté et d'injustice et de mauvaise foi? Mais Jane est décidée à ne plus se laisser faire. Ce qui lui vaut d'être placée dans un orphelinat où les conditions de vie sont rudes. Mon cœur a saigné devant tant de maltraitance (le terrible épisode du typhus en particulier est d'une tristesse infinie) . Mais elle y découvre l'amitié. Elle prouve aussi qu'elle n'est pas une mauvaise personne. Devenue maîtresse dans ce même orphelinat, elle place une annonce pour devenir préceptrice. Elle est engagée pour éduquer Adèle Varens une petite française dans le manoir de Thornfield dont le maître Edward Rochester fera bientôt chavirer le coeur de Jane Eyre et le mien.
Du suspense, des rebondissements incroyables, du romantisme à l'état pur. J'étais sur un petit nuage puis sur les montagnes russes. jan Eyre. Un concentré d'émotions.
Quant à la plume de l'auteur? Je me suis coulée avec délices dans chacune de ses phrases.
Alors oui, vous l'avez compris, Jane est le roman que je compte bien relire une vingtaine de fois. Un énorme coup de cœur.

Commenter  J’apprécie          633
Classique de la littérature anglaise, Jane Eyre m'a emporté.
La lecture de ce classique est facile et on ne peut lâcher cette histoire avant de savoir ce qu'il va se passer.
J'avoue cependant avoir parfois ressenti un sentiment étrange, un certain malaise face à Jane. Difficile à expliquer par ailleurs.
Jane est jeune, instruite, croyante, pas spécialement jolie mais bonne et gentille, humaine.
Pourtant, par moment, elle m'a exaspérée. J'avais l'impression qu'elle se laissait manipuler sciemment, presque avec joie. Cela m'a dérangé.
J'ai cependant pris beaucoup de plaisir à lire ce livre, et la fin m'a plu !! (et oui, j'aime les histoires qui finissent bien !!)
Commenter  J’apprécie          620
Un livre surprenant et tellement passionnant.Des les premieres pages,on rencontre Jane,une jeune fille malheureuse,battue,exclue;qui se demande pourquoi personne ne l'aime et ne prend soin d'elle.
L'histoire se revele et se deploie quand Jane arrive au manoir Thornfield et la,l'auteur nous fait part d'une belle exploitation des sentiments.
C'est un livre bien ecrit,un univers un peu sombre qui m'a beaucoup plu;une tres belle histopire d'amour
Commenter  J’apprécie          611




Lecteurs (43564) Voir plus



Quiz Voir plus

Quizz Jane Eyre

Qui est l'auteur de Jane Eyre ?

Jane Austen
Charlotte Brontë
Emily Brontë
Anne Brontë

11 questions
1799 lecteurs ont répondu
Thème : Jane Eyre de Charlotte BrontëCréer un quiz sur ce livre

{* *}