Elle est grande et, comme aurait dit mon paternel avec une lueur de concupiscence dans les yeux, d’agréable tournure. Sa poitrine est un magnifique monument glorieusement dédié à sa féminité, et sa taille incurvée en sablier offre un délicieux intermède entre l’orgueilleux balcon de ses seins et des hanches rebondies à vous couper le souffle.
Un deuxième verre m’aide à ruminer un peu plus. Voilà trente-six heures que j’enquête,et je ne suis pas en possession d’un seul fait, d’un seul indice valable, susceptible de m’aider à découvrir l’assassin. La situation ne semble pas du tout en voie de s’améliorer. Le troisième verre a pour résultat de me rappeler quelque chose que quelqu’un m’a dit une fois, quelque part « Si vous avez besoin de quelque chose qui n’existe pas, et que vous en ayez vachement besoin, alors, faut l’inventer ! »
La plupart des gens tiennent à s’accrocher à la vie le plus longtemps possible ; de ce fait, ils ne s’exposent pas tant qu’ils peuvent l’éviter. Mais il y en a d’autres
qui estiment que la vie, quoi qu’on fasse, n’est qu’un jeu de hasard ; alors si 0n ne prend pas quelques risques de temps temps, elle peut devenir mortellement ennuyeuse…
La plupart des gens tiennent à s’accrocher à la vie le plus longtemps possible ; de ce fait, ils ne s’exposent pas tant qu’ils peuvent l’éviter. Mais il y en a d’autres qui estiment que la vie, quoi qu’on fasse, n’est qu’un jeu de hasard ; alors si 0n ne prend pas quelques risques de temps temps, elle peut devenir mortellement ennuyeuse…
Il arrive peut-être parfois que la soubrette se fasse… sabrer, mais ce n’est pas mon cas.Je ne suis strictement ici qu’une femme de chambre et s’il trouve queje ne reçois pas les gens d’une façon assez mondaine, il n’en sait pas moins que sa maison deviendrait vite un vrai foutoir si je n’étais pas là pour m’en occuper.