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Lecture très étonnante et déstabilisante dans les pas du détective Jack Taylor, qui entre deux cuites magistrales, doit tant bien que mal tenter de résoudre une affaire de suicides suspects.

« le lendemain, j'étais à l'agonie. Ce n'était pas une banale gueule de bois, c'était une gueule de bois championne du monde. Celle qui hurle : TUEZ-MOI ! »

Jack Taylor est un alcoolique niveau XXL. Ses excès ont eu raison de sa carrière au sein de la Garda Síochána, la police nationale de l'Irlande. A présent détective, il n'a pourtant pas freiné sur la boisson. Thermos de café agrémenté de brandy, flasque de Jameson, grogs au whisky, l'alcool coule à flots tout au long du roman. Pas facile dans ces conditions d'être à 100% concentré sur l'enquête.

Le style du roman rend parfaitement compte du piteux état de Jack Taylor qui sort souvent de ses gueules de bois en n'ayant que quelques souvenirs épars des derniers évènements. Les phrases sont courtes, voire laconiques et traduisent les quelques flashs et réminiscences qui reviennent à Jack. C'est assez surprenant au départ mais finalement j'ai trouvé que cela correspondait parfaitement au personnage et à l'histoire.
L'auteur intercale entre certains chapitres des extraits de romans noirs, des citations, des paroles de chanson ou de courts poèmes. Cela apporte du rythme à la lecture et beaucoup d'originalité au récit avec quelques touches d'humour bienvenues.

« Tiré des : Quatre accords toltèques de Don Miguel Ruiz
"Numéro 2 : Ne vous sentez jamais visé. Ce que font les autres n'est jamais à cause de vous. Cela reflète simplement les manifestations de leur propre vie et la formation qu'ils ont reçue enfant."
"… tu peux toujours rêver." Jack Taylor »

Le défaut principal du livre réside dans l'histoire elle-même, pas toujours très claire et qui peine à captiver. A l'instar de Jack, je ne suis pas certaine d'avoir compris tous les évènements de l'enquête et pourtant, promis, j'étais à jeun !

Le personnage principal arrive malgré ses addictions à être attachant et intéressant. Ayant aimé le style original et percutant du livre, je pense lire le tome suivant, Toxic Blues, en espérant que l'enquête sera plus passionnante à suivre.
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Le roman de monsieur Buen porte très bien son nom, nous sommes plongé dans la vie d'un alcoolique, Jack Taylor. Ce dernier passe son temps au pub et prend cinq minutes entre deux cuites pour résoudre quelques affaires. Cet ancien de la Garda Síochána -la police irlandaise- a tout du pauvre type. Il partage son temps entre la consommation de café généreusement coupés au brandy et la lecture de romans noirs.

Parlons d'abord ce qui m'a plu dans Delurium Tremens... L'ambiance du roman est tout à fait irrésistible, une atmosphère sombre qui rappelle celle des ouvrages que le héros affectionne tant. Jack Taylor est un personnage fascinant qui aime lire avec passion et boire tout autant. le style est percutant avec une écriture rythmée, des chapitres très courts et des répliques féroces. L'ancien flic cite Kafka, Bacon et manie l'humour noire avec brio. Là, si tu me connais un peu ami lecteur, tu dois penser que j'ai été conquise : tout ce que j'aime est réuni. Sauf que non, la déception a vite pointé le bout de son nez cruel. Si ce bouquin s'était contenté de nous parler d'un homme à la dérive, soit, les choses auraient pu être intéressantes mais Delirium Tremens nous est présenté comme la première ENQUETE de Jack Taylor. Mais quelle enquête ? L'intrique pourrait tenir sur l'étiquette d'une bouteille de Guinness. L'auteur ne va pas loin dans le domaine du policier. Pas de suspens, pas de mystère, pas de résolution de crime, ou si peu.

On se contente de partager le quotidien du héros entre son problème d'alcool et ses amis marginaux. le prétendu suicide, argument du roman, se cache trop bien au milieu des débris de bouteilles.

Je pense que le personnage de Jack prend toute la place et n'en laisse même pas pour son enquête. Je n'ai pas détesté ma lecture mais je suis restée sur ma faim. Une bonne atmosphère ne suffit pas à faire d'un bouquin un roman noir. Dommage.
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Un roman de Jack Taylor, on ne le lit pas, on ne le dévore pas : on le boit. Cul-sec ! Avec un peu d'eau à la rigueur, mais sans glaçons.

Jack Taylor, ancien de la Garda Síochána (Gardiens de la paix, en Irlande), a réussi à se faire licencier de cette institution (un véritable exploit) et depuis, il est devenu un espèce de détective privé imbibé d'alcool.

Ok, pour ce qui est de l'alcool, non, non, rien n'à changé ! Il se pochetronnait déjà sévère du temps qu'il était à la Garda.

Jack Taylor n'a rien d'un Sherlock Holmes – loin de là – et pourtant, je l'aime bien. Limite un anti-héros vu le nombre de pages où il est dans le cirage le plus total. Même une éponge est moins imbibée que lui, c'est dire.

Jack Taylor est un détective atypique, comme il n'en existe pas deux dans la littérature, un privé bordeline toujours en pleine révolte sur tout le monde (sa mère notamment) et en train de regretter son père qui lui offrit sa première carte de bibliothèque. Sa seule constante dans son alcoolémie furent les livres.

Sa vie est une véritable soulographie, il se détruit à petit feu – et ça fait mal de voir qu'un alcoolo ne retient jamais les leçons du passé – et malgré tout, j'adore suivre ses enquêtes.

Jack Taylor résoudre une enquête ?? Oui, il y arrivera, avec un peu de chance et avec l'aide d'autres personnes (mais pas avec celle de la dive bouteille).

Ici, c'est une mère qui ne croit pas au suicide de sa fille de seize ans (retrouvée noyée) qui l'engage, alors qu'il est assis à sa table de pub préféré. Alors, notre Jack va réouvrir l'enquête et on dirait que ça ne plait pas à tout le monde…

Durant ses « enquêtes », Jack nous raconte ses souvenirs, son enfance, son Irlande, sa ville de Galway, son pub préféré, celui tenu par le vieux grincheux de Sean.

On peut critiquer Jack et son alcoolisme galopant, mais contrairement à ses compatriotes sobres lui au moins a de l'empathie et de la sympathie pour les clochards de tout poil qui vivent en marge de la société, exclus qu'ils sont.

Par contre, des amis, il n'en a pas beaucoup et certains ont même tendance à le tirer vers le bas…

L'écriture de Bruen, c'est de la poésie cynique, noire, vacharde. Et j'en redemande. Lire Bruen, c'est lire de l'Irlande et la respirer à plein poumons.

Je ne sais s'il trempe sa plume dans de l'alcool à 90° ou dans un encrier rempli d'amertume, mais il nous brosse un portrait de son pays peu flatteur, mais l'ambiance est là.

À sa manière de planter des mots comme ça, l'un en dessous de l'autre, ça me fait penser à celle de Michael Mention, comme si Mention s'en était inspirée.

Un roman noir qui se boit plus vite qu'une Guiness… C'est drôle, incisif, bourré de répliques acerbes, des citations comme s'il en pleuvait, des références aux grands noms du Roman Noir, de la chanson, le tout mitonné aux petits oignons dans des chapitres et des phrases courtes qui donnent du rythme au roman.

(4,5/5)

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The Guards
Traduction : Jean Esch

Il m'a fallu pas mal de temps pour m'habituer aux chapitres très brefs, aux citations en exergue et, plus encore, au style de l'auteur : un style qui semble sautiller à la limite du coq à l'âne et qui privilégie les phrases courtes. Mais la férocité des répliques m'a fascinée dès la première que j'ai lue et m'a, je suppose, maintenue sur le chemin de la lecture.

"Delirium Tremens", premier opus de la série des enquêtes de Jack Taylor, est en effet avant tout ce que je nommerai un polar d'ambiance. L'intrigue policière constitue ici un fil rouge bien ténu dont, parfois, on a l'impression de perdre carrément la trace, ce qui ne peut que frustrer un lecteur déjà rendu perplexe par le style. Néanmoins je ne saurais trop recommander au néophyte de s'accrocher car, au fur et à mesure qu'on avance, non seulement le fil rouge devient plus évident en prenant carrément une direction à laquelle on ne s'attendait pas, mais le caractère du héros se précise à son avantage tandis que ceux qui gravitent autour de lui, eux aussi, prennent corps et relief.

Au départ, une mère dont la fille s'est officiellement suicidée s'en vient demander l'aide de Jack Taylor. Pour elle, la jeune fille a été assassinée. Mais pour rouvrir l'enquête, il faut bien entendu rassembler des preuves suffisantes pour convaincre la police. Entre deux répliques acérées et quatre gorgées de whisky, Taylor accepte la mission, plus par pitié que par réel enthousiasme.

Cette mission va l'entraîner aux quatre coins de Galway - l'action se situe dans la ville natale de l'auteur, pourquoi se compliquer la vie ? - et lui faire croiser toute une foule de gens dont certains n'ont pas vraiment de rapport avec son enquête. du coup, pièce par pièce, voire par fragment de pièce, on commence à en apprendre pas mal sur Taylor lui-même - en particulier sur son amour des livres qui lui vient droit de son père et de son enfance. Comme toile de fond, une République d'Irlande où la frénésie affairiste des années quatre-vingt-dix ne parvient pas à dissimuler les laissés-pour-compte de la société. Toujours là, éternellement là, est-on tenté d'écrire, l'église catholique, idole à la fois adorée et vouée aux gémonies.

Autre constante du roman : l'obstination purement celtique avec laquelle notre privé irlandais essaie de tenir l'alcool à distance.

Au beau milieu de tout ça, mine de rien, Bruen nous assène quelques réflexions pas piquées des hannetons sur le sens de l'existence, une existence qu'il voit résolument vouée à la violence et à l'iniquité. C'est sans doute pour cela qu'il a créé Jack Taylor, pour rétablir un peu, de temps à autre, l'équilibre de la balance. Certains apprécieront, les pros de l'angélisme et de la bien-pensance crieront au scandale - vous verrez qu'un jour, si on les laisse faire, ils essaieront d'interdire le roman noir !

En tous cas, personnellement, j'ai beaucoup aimé. D'autant que Bruen a bien réfléchi à son sujet et qu'il ne fait pas l'impasse sur la possibilité du "justicier" se réduisant en fait à un assassin sadique comme les autres.

Bref, vous l'aurez compris, je lirai d'autres Ken Bruen, c'est certain. Et vous devriez faire comme moi. ;o)
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Sombre comme la Guiness, fort comme un shoot de Jameson ; un vrai polar, au cordeau,
assez violent
très alcoolisé
ô combien humain
avec l'humour du désespoir, rempli de pensées type brèves de (nombreux) comptoirs.
La traîtrise et les coups bas, avec pour les pires la présence d'un flaçon d'un Gin, breuvage anglais, s'empilent.
Un roman exudant d'un amour sans concessions pour un terroir difficile et acceuillant, pour ses pubs traditionnels, d'une tendresse rude pour ses personnages pathétiques et attachants, "bigger than life".
L'enquête policière est quasi anecdotique, simple, laisse la part belle à la distilation des protagonistes et la vie des pubs.
Un début prometteur d'une longue série avec le plus littéraire des détectives privés irlandais alcooliques.
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Si vous aimez les losers, vous allez être servis.
Doucement mais pas sûrement, car en zigzagant, Jack Taylor s'approche de la cinquantaine. Ses meilleurs potes se nomment Brandy, Bushmills, Jameson, Guinness, etc.
Son boulot, ancien flic et pseudo privé. Son bureau, une table au fond du Grogan's, un vieux pub de la ville de Galway.

Dans ce premier volet de la série, l'enquête n'est qu'un prétexte pour faire connaissance avec cet hurluberlu imbibé. On parcourt de long en large, et de pub en pub, sa bonne ville de Galway. On compatit sans retenue à toutes les galères dans lesquelles il se trouve embringuer. Et c'est pas ça qui manquent ...

Entre les black out éthyliques, les pauses d'abstinence plus ou moins volontaires, les bastons et les divagations, on est épuisés mais contents. Car le rythme percutant du roman et le ton rock and roll du récit nous baladent dans un univers où se croise du beau monde. Les chapîtres sont émaillés de références littéraires, musicales et cinématographiques. Un homme qui cite Elvis Costello, Tom Waits, Kafka, Francis Bacon, Wenders et Herzog, est peut-être désespéré mais certainement pas un mauvais bougre !


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Quasi 400 pages lues en 2 jours. Ecriture dynamique, inhabituelle, inattendue mais agréable.
Tout comme l'histoire, avec ce "détective"(?!) qui se bat - ou pas - contre l'alcool.
Des personnages attachants qu'ils soient gentils ou méchants, ou paumés.
On aimerait aider Jack Taylor mais il est le seul à pouvoir (vouloir?) décider...
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« Il n'y a pas de détectives privés en Irlande. Les habitants ne le supporteraient pas. le concept frôle de trop près l'image haïe du « mouchard ».

Cependant, il y a Jack Taylor, ex-flic devenu privé, alcoolique, drogué, complètement à la dérive professionnellement et sentimentalement qui mène officieusement des enquêtes dans la ville de Galway, loin de l'Irlande idéale de carte postale.

Une excellente série de romans noirs, parfois drôle, souvent grinçante et amère, sans concession mais non sans humanité.

De plus, au fil des pages et des aventures de Jack, Ken Bruen rend hommage aux auteurs qu'il aime si bien que le lecteur quitte cet anti-héros, avec quelques nouvelles idées de lectures.
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Un polar coup de coeur !

On peut être désarmé à la lecture de cet ovni. La forme déjà : des chapitres courts, des citations, des énumérations / listes, … le style ensuite, corrosif, percutant, cynique souvent, critique parfois. Et l'histoire, celle de Jack, qui a réussi à se faire virer de la Garda Siochana, ce qui est quasiment impossible. Un Irlandais pur souche, qui picole, qui parle le plus souvent sans y mettre de forme et qui a une drôle de façon d'enquêter, sans intervenir dans les affaires des autres, sans réelle investigation. de ce mélange, il ressort un très bon polar, un portrait de privé, noir jusqu'à la scène finale. Une lecture plus qu'agréable, une excellente découverte, je ne voulais tellement pas quitter cette lecture particulière que j'ai fait durer le plaisir alors que ça se lit vite !

Comme je le dis un peu plus haut, on a ici un véritable portrait, l'enquête policière n'est qu'un prétexte pour découvrir Jack, sa façon d'être, sa vision du monde, son entourage, ses problèmes, ses petites joies,… Et quel personnage ! J'ai vraiment beaucoup aimé Jack Taylor, il a un véritable problème avec l'alcool certes, mais c'est également un homme de bon sens quand il est à jeun. Il a une capacité d'écoute et un sens du tact assez particuliers. Et puis, il a une histoire. On découvre une grosse partie de son enfance, ses parents, puis la raison de son entrée dans la police irlandaise, pourquoi il s'est mis à boire et a continué. On apprend aussi à apprécier ses défauts parce qu'on entre-aperçoit de belles qualités. En plus, il aime lire et à un amour tout particulier pour la lecture et les livres. Mais il peut aussi se voiler la face, se mettre des oeillères et jouer au con. Il est cynique et parfois drôle, il est coriace mais fragile. Vraiment Jack est touchant. C'est un authentique.

Le récit est essentiellement à la première personne, c'est encore une façon de plus de se rapprocher, de s'attacher à Jack. Parfois, il nous perd un peu dans son cerveau embrumé par les vapeurs d'alcool. Et d'autres moments où on aurait bien envie de descendre quelles pintes de Guinness avec lui !

C'est un gros lecteur et il aime le cinéma et la musique. Régulièrement dans le livre, on retrouve des extraits de films, des références livresques et cinématographiques, des extraits, des poèmes, des références musicales aussi. Ces intermèdes rythment le récit et donnent envie de découvrir plein de choses différentes (bon à la fin, je me suis rendu compte que je ne connaissais pas grand chose…). Encore de bonnes raisons pour s'attacher à lui !

Ce sont les relations entre Jack et les personnages qui font l'histoire, découvrir ses amis et leurs particularités, le livre est rempli de dialogues truculents, bourrés de sarcasmes et d'humour. On oscille sur une palette d'émotions : tendresse, violence, oubli, dégout, rage, … Jack va ouvrir les yeux sur certains éléments de sa vie et ça va faire mal.

L'action se déroule à Galway, on en apprend beaucoup sur la ville, sur la manière de vivre d'une partie des Irlandais, l'opposition avec les anglais, les traditions, et surtout sur la façon d'être, de penser, de réagir d'un peuple à la fois fier et réservé. La société, les personnages, oscille entre optimisme et pessimisme. Ken Bruen nous jette à la figure une Irlande sombre et quelque peu corrompue, où la police ne fait pas vraiment bien son travail. Un point de vue différent de ce que j'ai pu déjà lire sur ce pays. Tout n'est pas tout rose… ou tout vert, comme partout il y a des zones d'ombres.

J'en profite pour vous conseiller un excellent film avec un policier irlandais : L'irlandais de John Michael McDonagh, avec beaucoup d'humour noir. ça n'est pas le même personnage, ni la même histoire (ici c'est le choc des cultures Irlande / USA) mais dans le style et le ton, on retrouve de Delirium Tremens, alors si vous avez aimé ce livre, vous aimerez peut-être ce film atypique, que j'ai vu il y a presque un an au cinéma.

Une première aventure de Jack Taylor qui pose d'une façon brillante le personnage, moi je l'ai adoré, peut être que d'autres ne le supporteront pas, mais moi, c'est le genre d'anti héros que j'adore ! Je pense que je craquerais bientôt sur le second Toxic blues. Essentiellement pour replonger dans un humour pinçant et grinçant, un personnage atypique. Pour connaitre l'avenir de Jack, retrouver la verte Erin, ses traditions et ses côtés sombres.
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Jack Taylor, ancien flic viré de la police, est devenu "privé". Alcoolique au dernier degré, il passe plus de temps à se cuiter qu'à enquêter. N'empêche, on lui confie une mission : prouver qu'une jeune "suicidée" a en réalité été assassinée. Ça sent le déjà lu, comme scénario, mais ce n'est pas un problème parce que dans ce livre, l'intrigue n'est pas l'élément majeur.
Des chapitres courts, des phrases courtes, des répliques percutantes (et souvent drôles) : le style est particulier et m'a plu. Les personnages sont intéressants et bien rendus, mais attention : c'est du noir noir, leurs histoires se terminent vite au fond du trou.
Bref, lecture agréable, mais il m'a manqué le côté intrigue.
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