Judith Butler et Frédéric Worms s’interrogent sur la “vivabilité” de la vie dans un livre.
Lire la critique sur le site : LesInrocks
Je crains que le terme de "résilience" serve à nier et à refouler la réalité du traumatisme, et à attribuer trop rapidement une puissance de résurrection là où elle n'est clairement plus possible.
Il est des expériences qui ne sont pas seulement invivables comme la mort, mais pires que la mort et peut-être l'invivable est-il pire que la mort puisqu'il est la mort de celui qui vit sa vie tandis que sa vie peut continuer sans lui ou avec lui qui la vit comme invivable, c'est-à-dire comme sa mort dans la vie.
Judith Butler, philosophe et professeure, nous parle de son ouvrage « La force de la non-violence » publié aux @Éditions FAYARD
L'ouvrage était parmi les cinq finalistes du Prix 2022 des Rencontres Philosophiques de Monaco.
#philomonaco