Un alpha (plus de deux mètres de muscles, pas un gros bavard mais expert en finances) qui s'efface devant son jumeau, alpha également, pour diriger avec lui la meute de Blue Mountain, dont ils ont pris le contrôle en zigouillant l'alpha abusif en place et ses trois bêtas.
Un oméga (bien entendu fin et mignon, à la langue bien pendue) qui a passé sa vie à fuir et qui revient sur les terres de sa naissance pour enterrer sa mère.
Quand Mitch trouve Simon, il sait qu'il a enfin trouvé son compagnon. Il va juste falloir que
Simon L accepte, ce qui n'est pas gagné : exilé de sa meute quelques années plus tôt par son alpha, il a, on le comprend, du mal à faire confiance. Mais Mitch a la solution : il attrape Simon de force, le transporte chez lui pendant qu'il est évanoui, lui donne un bain (toujours pendant qu'il est évanoui), l'attache à la chaise pour qu'il ne s'enfuie pas et le nourrit à la cuillère, parce que bon, il faut bien le remplumer son petit oméga. Forcément, Simon a du mal, mais ça ne dure pas, il succombe assez vite à ce grand loup grognon et tout finit bien dans la meilleure des meutes.
Je n'ai pas du tout adhéré à cet espèce de huis-clos (tout le roman se passe quasiment dans la maison de Mitch) et malgré quelques idées intéressantes, qu'on voit malgré tout venir de loin, j'ai trouvé que tout était trop cliché et caricatural.
Allez, next...