Calendar Girl, tome 6 : Juin

Je remercie Léa et les Éditions le livre de poche pour leur box new romance qui me permet de découvrir chaque mois un tome des aventures de Mia.

Mia s'envole pour la ville de Washington où elle devra jouer la compagne de Warren Shipley, un homme âgé et riche. Elle fera la rencontre d'Aaron, le fils de Warren. Mia va découvrir le monde des affaires et va vite se rendre compte que certains hommes prennent les femmes pour des trophées.

Je n'ai pas éprouvé d'attachement vis-à-vis de Warren, de son employée Kathleen et encore moins pour son fils, Aaron. Cependant, ce tome est vraiment original et se distingue des autres. Mia va devoir affronter des événements difficiles.

J'ai beaucoup apprécié le fait qu'elle ne passe pas un mois idyllique auprès d'un homme beau, gentil, attentionné, bref « Parfait ». Dans ce tome, Mia est aux côtés d'un homme qui pourrait être son grand-père et heureusement ce dernier ne l'a pas engagé pour coucher avec elle.

Ce tome m'a permis également de prendre conscience à quel point les différents hommes que Mia a rencontrés sont très attachés à elle. En effet, elle peut clairement compter sur eux dans des moments difficiles.

Audrey Carlan réussit à merveille à diversifier chacun de ses tomes en apportant une touche d'originalité et de fraîcheur. Ce tome est plus sombre que les précédents, mais il m'a convaincu. J'ai hâte de suivre Mia durant le mois de juillet.
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HELLE

Un tome vraiment sans plus mais dont la fin m'a beaucoup ému et je ne sais pas pour ceux (Ouiiii ceux, on ne sait jamais, il y'a peut être des Hommes qui suivent la série 😜) mais j'ai de plus en plus de mal avec la personnalité de Mia.

Cette fille est un Vrai Yoyo, je pense que je vais sûrement me répéter jusqu'à la fin de la série (je la suivrai jusqu'à la fin car j'ai envie de savoir et malgré certaines choses qui me chiffonnent je passe un bon moment) mais quand tu aimes quelqu'un surtout qu'elle s'en aperçoit ENFIN bah tu ne sautes pas sur tous les mecs que tu trouves Canon ! Enfin merde quoi j'ai l'impression de voir une chatte en chaleur sur tous les Tomes et j'ai Vraiment de plus en plus de Mal à la supporter alors que j'adore cette fille.

Mia est humaine, a des valeurs que j'apprécie beaucoup et qui dont certaines sont aussi les miennes mais voila en ce moment c'est la dégringolade.

Entre sa jalousie mal placée pour Wes, sa vulgarité qui me fait beaucoup tiquer en ce moment (pourtant je ne suis pas prude, loin de la) et le fait qu'elle saute sur tout ce qui bouge lui fait perdre beaucoup de Points.

Malgré ses aspects négatifs, j'aime beaucoup Calendar Girl, Audrey Carlan manie très bien tous les aspects de la Vie de Mia même si par moment on se dit qu'on ne sait pas où elle veut en venir. Pour moi chaque Tome à son importance dans l'évolution de l'héroïne et celui ci encore plus que les autres.

Il y'a eu beaucoup d'émotions vers la fin de ce Tome, et j'ai Très Hâte de voir ce que Juillet va donner en Vue des derniers événements qui ceux sont déroulés.
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Pour rappel, ou pour ceux qui ne connaissent pas, cette série raconte en 12 livres d'une grosse centaines de pages l'histoire de Mia, contrainte de jouer les escort girls pendant un an (un homme différent chaque mois), pour rembourser l'énorme dette de son père et assurer le bonheur de sa petite soeur...
Dans cet opus de juin, Mia joue les faire valoir au bras d'un vieux milliardaire qui cherche à récolter des fonds, tout en se remémorant les missions précédentes et les hommes fantastiques qu'elle a eu la chance de rencontrer.

La conclusion... c'est que ce n'est pas mon genre de lecture. Les personnages ont beau avoir été dotés d'émotions et de quelques fragilités pour les rendre accessibles, ils sont quand même trop beaux, riches et presque parfaits pour que je les trouve crédibles. À croire que Mia a le chic pour tomber sur des hommes magnifiques, sensuels et pleins aux as (d'ailleurs, est-ce que ce type d'hommes a vraiment besoin d'une escort ?) qui tombent instantanément sous son charme. C'est vrai qu'elle est sympathique cette jeune femme : elle répand le bien autour d'elle. le temps d'une mission, elle aide ses clients à trouver l'amour ou bien à reconnaître qu'ils doivent mieux traiter celle qu'ils aiment.

Bref, c'est rapide à lire, lisse, pleins de bons sentiments (et de moments spicy). Mais il m'a manqué du relief, du mystère et des enjeux plus captivants pour que je m'attache et m'intéresse à l'histoire.
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En quelques mots :
Un roman à l'antipode du féminisme, même Mia essaye de louvoyer dans ce monde terne et monotone mais ce ne sera pas suffisant.

En beaucoup plus de mots :
Que vous dire sur ce roman, alors que je l'ai lu il y a à peine trois mois !! Et bien pas grand chose car même en relisant le synopsis, je ne me souvient de rien. Est-ce que cela vous est déjà arrivé d'avoir aucun souvenir d'un roman, c'est la page blanche cérébrale. Mon cerveau est parti se reposer, ou justement la lecture de ce roman a mis totalement en pause ce dernier ?

Je sais que je l'ai lu après avoir terminé un roman qui m'a pris un temps infini pour le terminer et dont je n'ai pas aimé le contenu, et que j'avais besoin d'une lecture plutôt futile pour me détendre et me remettre en selle. Et j'avoue que c'est sans doute le seul intérêt de cette saga. Une lecture d'une après-midi au ciel couvert, où la température négative ne nous donne pas envie de mettre le nez dehors. Mais jusqu'à présent, même si je ne me rappelle pas en détail de toutes mes lectures, je suis tout de même surprise de ne garder ici aucun souvenir.

Ah si peut être, je crois que je me rappelle d'une scène dont Mia va se souvenir longtemps entre une bimbo girl et un vieux argenté dans les toilettes d'un grand restaurant lors d'un repas de charité. Je fouille encore mon esprit et ça me revient un peu , par bribes. Puis-je considérer mon cerveau comme une pompe, lorsque je l'actionne, il remonte à la surface certaines images que je me suis faites ?

C'est bien ça, un groupe de vieux riches qui exhibent leur proie du jour, du mois ou de l'année à chaque repas d'affaire, dont le QI frôle le niveau de la mer. Ici la femme n'est qu'une enveloppe charnelle que l'on façonne façon journal du Hard, juste pour le bon plaisir de ses messieurs. Et on parle encore d'égalité sociale entre Hommes et Femmes. Et on nous demande pourquoi encore la journée du 8 mars ? Sans pour en faire pour autant l'avocat du diable Audrey Carlan navigue dans cet univers qui n'est pas celle de notre milliardaire du mois, mais qui n'a pas le choix que de faire autrement. Peur des préjugés, peur de l'écartement sociale et surtout professionnel, doit-on encore suivre les codes que la société élitiste impose et faire comme tout le monde ? C'est plutôt déprimant au final, puisque même Mia va être sur le point de se faire violer par un petit trou du cul qui croit que tout lui est dû. L'éducation, l'inculcation des valeurs de la famille et du respect de la femme sont-elles tellement oubliés chez les huiles, que tout doit passer par l'apparence et l'exhibition ?

A défaut d'être une critique que ce roman, je ne peux que critiquer les affres de l'époque dans la quelle nous nous situons. Certains crieront que c'était pareil avant. Je ne suis pas tout à fait d'accord. Les hommes allaient au bordel, se trouvaient de belles femmes et s'adonner à leur plaisir sexuel abrités derrières de jolies façades et de belles portes bien lourdes et le silence était d'or. Quand cette société a-t-elle décidé d'ouvrir portes et fenêtres, quitter, femmes et enfants, pour jeter à la face de chacun "je suis le plus beau", "je suis le plus fort", "je suis le plus intelligent" et surtout "je suis avec la femme la plus belle que je saute comme je veux quand je veux". La femme quand à elle, avait-elle le choix à l'époque, l'a-t-elle toujours? Elle ne sont plus considérées devant le monde comme des femmes de petite vertu, mais tout le monde le pense quand même derrière leur dos. Et quand dans ce contexte une vrai histoire d'amour se crée, il est impossible de ne pas se dire, c'est un fake. C'est l'arroseur arrosé, se faire piégé à son propre jeu car on n'a pas respecté ses propres règles.

Et Mia dans tout ça, elle va donc aider ce pauvre milliardaire a assumé son amour caché avec sa dame de maison, que c'est romantique ? Et bien non. Ici le plaisir est seulement unilatéral, imposé et dominateur. Des couples de façade qui donnent envie de vomir et surtout les conséquences que cela entraîne dans la nouvelle génération qui prenne exemple sur leurs vieux et qui souhaite encore faire plus fort, plus haut, plus loin.

#balancetonporc, n'est pas loin mais ici c'est juste autorisé et même recommandé.

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Encore un tome dans lequel Mia m'a horripilée. Son côté entremetteuse devient lourd, depuis plusieurs tomes on n'y échappe pas. Une fois, ok, ça peut être sympa, mais à chaque tome, c'est bon, le côté bon samaritain qui ne s'occupe pas de ses affaires, style faites ce que je dis mais pas ce que je fais, m'énerve. de nouveau les questionnement incessants à propos de Wes, m'agacent encore et toujours. À part cela, l'histoire de ce tome est plutôt sympa. Les héros sont moins charismatiques mais attachants,Warren et Kathleen sont les gentils. le rôle du méchant est donné au fils de Warren. Et les sauveurs sont les anciens "clients" de Mia, Mason et Taï, qui donnent un brin d'amour et de compassion aux aventures de notre escort. Un tome moyen, sans grande émotion.
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Eh bien c'est un tome de plus qui s'ajoute aux livres que j'ai lu. Comme chaque tome de cette saga, c'est surtout la fin qui est intéressante, cela nous donne envie de lire la suite.

Je ne suis pas tellement d'accord avec les choix de Mia mais c'est tout de même des décisions fortes de sa part!

Je suis donc pile à la moitié de cette saga, il me tarde tout de même de la continuer :)

Dans ce sixième tome, Mia s'envole pour Washington et fait la connaissance d'un riche homme d'affaires, Warren. Sa mission l'intéresse peu (les semaines à venir vont être aussi peu amusantes que la section « histoire » d'une bibliothèque, dit-elle, comme pour me faire lever les yeux au ciel – M.Grey ne serait pas content de moi).

Lors de son arrivée, elle rencontre le fils de Warren, Aaron, irrésistible sénateur. Et là, ça va tout de suite mieux.

J'ai eu peur. Très très peur. Après le désastre du tome 5, j'étais inquiète, mais je voulais quand même tenter de continuer la série. Ça a été moins pire. Les clichés, la vulgarité n'ont pas disparu, hein (voir la citation ci-haut). Mais les choses se sont avérées plus intéressantes.

Déjà, pas de sexe toutes les trois pages. Ça aide beaucoup. En commençant la lecture, on s'imagine certaines choses, des choses qui nous feraient lever les yeux au ciel, encore une fois (oups, désolée, Grey), mais qui n'arrivent pas. Heureusement.

Audrey Carlan a su apporter un peu plus de profondeur à son récit. D'abord, parce que Mia revient sur les mois passés et ce qu'elle en a retenu ; ce que chacun de ses clients lui a apporté. Il y a donc beaucoup de nostalgie et de symboles dans ce tome, même si ça revient sans cesse au fil des pages, ce qui n'est pas utile. Un peu répétitif, mais chouette.

Outre cela, il y a la fin. Une fin difficile. Sur laquelle je suis cependant un peu mitigée. C'est assez compliqué à expliquer sans rien dévoiler. Disons qu'Audrey Carlan aborde un sujet très fort, ce qui est très très bien, vraiment. Sauf que la résolution m'a un peu déçue. Je pense qu'elle aurait pu être plus forte, moins fataliste, ce qui aurait eu un impact plus positif sur ses lecteurs.

À côté de ça, j'ai bien aimé les personnages de Warren et Kathleen. Je ne veux pas trop vous en dire, au cas où vous souhaiteriez lire la saga. Mia, quant à elle, n'est pas vraiment remontée dans mon estime…

Je ne sais pas encore si je continuerai la saga. Si ce tome était un peu meilleur que le précédent, il ne me donne pas particulièrement envie de poursuivre…
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Le client de ce mois ne couchera pas avec Mia, mais son fils… Au premier abord, quoique séduisant, Aaron m'énerve. Je le trouve trop arrogant. Et au final, j'ai eu raison de ne pas l'aimer…

Ce tome me plaît plus car Mia fait un petit bilan des derniers mois et mûri malgré elle…

En-dehors d'Aaron, j'ai au du mal aussi avec Kathleen car elle a l'air d'avoir un certain âge mais est très (trop ?) naïve.
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Le tome qui mentionne enfin le coté sombre du travail de l'héroïne, même si certains diront qu'elle a été sauvé in-extremis, « l'agression » est belle et bien là. Je n'arrive pas à savoir si son choix envers l'agresseur est ce qu'il fallait faire, les deux possibilités se discutant.

Un tome qui marque la moitié de l'aventure de Mia. Une occasion de faire le point sur ce qu'elle a vécu, sur les personnes qu'elle a rencontrés et ce qu'ils lui ont apporté.


Un mois bien différent des autres car, en le commençant, on est très loin de pouvoir s'imaginer ce qu'elle y vivra. Plus sombre que les autres, on verra que le choix qu'elle a fait en choisissant ce métier n'apporte pas que du bonheur. Qu'il peut y avoir un revers à la médaille et que tous les hommes, même s'ils sont beaux, ne sont pas bons et peuvent nourrir de bien sombres desseins.


Fidèle à elle-même, elle viendra mettre son grain de sel dans la vie de son client pour lui ouvrir les yeux sur le bonheur. Une vraie psychologue de l'amour notre Mia.

Comme toujours lorsque cela se produit, j'ai adoré que d'anciens clients viennent refaire une apparition. Que l'on voit comment leur vie à évoluer après le passage de la Belle. Ils sont pour elle de véritables amis.


Même si tout n'y est pas rose, j'ai passé un très bon moment et je vais très vite me plonger dans la suite.
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