Ne me remerciez pas !

Prix du quai des orfèvres 2024.
Pfff du foutage de gueule...
Passez votre chemin, ce livre n'est pas bon du tout !
Plus jamais je regarderai les prix du quai des orfèvres qui sont sensés nous apporter des pépites....
Et en plus difficile d'écrire 250 caractère quand ce n'est pas bon.

Un roman primé pour une histoire banale, le tout dans un polar à l'ancienne.

L'intrigue aurait pu être intéressante mais on ne s'attache pas aux personnages. L'auteur a oublié de développer...

Le sujet n'a pas été approfondi comme il le fallait et le récit est bâclé. Aussi, je n'y ai trouvé aucun suspense.
Enfin, pour les rebondissements, je m'attendais à mieux...

Peut-être suis-je trop habituée à lire des Polars 🤔

Et pourtant, le milieu universitaire dans les recherches climatiques étaient intéressants !!!

Jacques Gaubert, professeur de géologie à l'Institut Européen des Etudes Climatiques (I2EC), s'effondre en plain cours, victime d'un empoisonnement par ingestion d'une surdose d'acide domoïque. Franck Kestner et son adjoint Paul Varenne de la brigade criminelle de Paris sont chargés d'enquêter sur cette étrange affaire ; ce sera la dernière enquête qu'ils mèneront depuis le 36, quai des Orfèvres avant leur déménagement au 36, rue du Bastion. Leurs investigations les entraîneront dans le milieu très fermé de la recherche, au sein du laboratoire de Paléoclimatologie et Paléoenvironnement (LPP) de l'Institut et ils se trouveront très vite confrontés à d'autres meurtres. La partie ne sera pas facile pour les policiers qui vont se heurter à des faisceaux d'indices trompeurs et des mobiles qui s'effondrent les uns après les autres. Menés en bateau depuis le début, ils finiront par découvrir un assassin caméléon, qui agit au grand jour utilisant une ruse qui dépasse l'entendement.

De mon point de vue, Marital Caroff mérite amplement cette récompense littéraire. le scénario est bien construit et original, appuyé par une expertise indéniable dans le domaine de la géologie. L'intrigue est menée de main de maître et à l'ancienne, comme il aime le rappeler en se référant, à plusieurs reprises, au commissaire Maigret ; il s'agit là d'un joli clin d'oeil au mythique 36, quai des Orfèvres.
« Ne me remerciez pas » est l'histoire d'une affaire de meurtres bouclée, tambour battant, en seulement quinze jours ; si seulement toutes les enquêtes criminelles pouvaient être solutionnées en si peu de temps, ce serait merveilleux ! La chronologie des faits, au jour et à l'heure près, rythme la progression du récit. le romancier dévoile, avec la minutie d'un orfèvre et la régularité d'un horloger, le déroulement d'une intrigue, aux multiples rebondissements, emportant le lecteur dans une enquête réaliste, haletante et passionnante.
Ecrit dans un style littéraire, alliant la connaissance incontestable des méthodes policières et l'expertise d'un écrivain-enquêteur, façon Georges Simenon, ce roman policier est tout sauf noir. Une belle réussite qu'il faut lire absolument !

J'avais un bon souvenir de mon dernier livvre estampillé "prix quai des orfèvres" (les cicatrices de la nuit), qui était (de mémoire) plutôt sympatoche (sans être exceptionnel non plus hein). Et là, je tombe sur celui-ci, qui certes a une illustration de couverture passablement dégueulasse, mais dont l'intrigue, qui se déroule dans un laboratoire de géologie, a eu le mérite d'attirer mon attention. Je pêche par nostalgie, vu que j'ai traîné mes guêtres dans une fac de géologie quand j'étais étudiant ;ça c'est pour le côté non pertinent. Mais pour le côté pertinent du choix, on pourra dire : que le fait que l'auteur est apparemment un spécialiste de la volcanologie (si je me rappelle bien), m'a fait penser qu'il devait bien connaître l'ambiance et le fonctionnement d'un labo CNRS.
Et bien, je ne sais pas si je me trompais, mais en tout cas ses connaissances en la matière ne transparaissent pas dans son livre. Livre qui n'est pas folichon, il faut bien l'admettre.

Car au final, cette intrigue capillotractée aurait pu se passer n'importe où ailleurs, les diatomées sont importantes surtout dans le 4ème de couverture, après c'est limite un détail...
Les personnages principaux, ce sont les flics. Flics qui sont d'ailleurs une bonne grosse poignée (autant de flics que de suspects). Et qui ne sont vraiment pas des flèches.
Entre les boulets qui ne sont pas fichus de prononcer (/lire) d'une traite "paléoenvironnement", comme un exemplaire d'abruti congénital parfaitement conservé dans le formol de son institution, entre ceux qui interrogent les témoins pour bien "sentir" leurs réactions et être sûrs de leur innocence (n'ont-ils pas entendu parler de l'hypocrisie et du mensonge ??? D'ailleurs le dénouement leur donnera tort, puisqu'ils avaient pourtant interrogé le coupable en long en large et en travers depuis le début... ), et celui (/ceux) qui inventent des analyses longues comme une liste de course de 3km pour expliquer le déroulé des faits, en se basant uniquement sur une chronologie curieuse (car sujette à interprétation), et de toute façon trop compliquée (ou mal expliquée) pour le lecteur (/ou en tout cas pour moi : j'ai trouvé leurs explications fallacieuses au possibles, pour ne pas dire tirées par les cheveux).

Bref, ça fait déjà beaucoup. Ca plus le fait qu'aucun personnage n'est sympathique, ni mémorable, qu'au final le mobile est risible, l'exécution ridicule (ça fait "too much", si vous voyez ce que je veux dire), et l'enquête ni linéaire, ni claire, ni rien du tout...

Le fait que ça se passe dans un centre de recherche n'a aucune incidence sur l'histoire, ça se passerait dans les cuisines d'un restau que ça serait pareil, et c'est dommage. Les interactions humaines y sont curieuses, les dialogues manquent de réalisme.
Le meilleur passage du roman c'est son 4ème de couverture... ^^'

Bref, je suis extrêmement déçu par cette lecture, à la fois l'histoire, les personnages, le style d'écriture, rien ne m'a emballé (ça serait même plutôt l'inverse). Avec le gros bandeau rouge "prix quai des orfèvres" je pensais que ça donnerait une caution de crédibilité policière, ou que ça serait un gage de réalisme (dans le déroulé de l'histoire, de l'enquête, que sais-je), mais là non, ça sert juste à appâter le chaland qui cherche une nouvelle lecture dans sa librairie...

C'est plat. L'intrigue est trop classique, trop convenue. Les personnages mal dessinés, sans épaisseur. Sans parler du style de l'auteur, avec des enfilades de clichés.
Je me suis fait avoir par le bandeau "Prix du quai des orfèvres 2024". À ranger et a ne plus l'ouvrir.

Sort de l'ordinaire par le ton du rédacteur. Les doutes et les incertitudes de l'enquêteur sont perceptibles, ce qui m'a laissé croire que peut être, pour une fois, je ne connaîtrai pas le fin mot de l'histoire, autrement dit que l'ouvrage ne s'achèverait pas par l'identification et l'arrestation du coupable. Je fus presque déçu de constater que comme ses semblables, cet ouvrage s'achevait par une enquête résolue. Presque dommage, je prenai fait et cause pour l'enqueteur et souhaitai qu'un
autre que lui l'aide à trouver, par d'autres voies, inattendues, la solution de l'énigme. A quand un roman policier qui laisserait le lecteur sur sa faim, sur l'incertitude d'une confrontation qui n'aboutirait pas à une inculpation, sur le doute face à un personnage qui serait remis en liberté « faute de preuves » comme cela peut arriver parfois ? Ou encore sur une absence de poursuites, parce que l'humain traque a su brouiller les pistes et laisse les enquêteurs sur des pistes improbables, possibles néanmoins, mais sans élément suffisamment discriminant pour aboutir - comme dans la vie parfois. Ce que nous ignorons existe, mais sans nous. A vos plumes !

un début très prometteur une fin moins passionnante qu'espérée,.. on trouve dans ce roman de quoi s'instruire que ce soit au niveau de l'ambiance dans le monde de la recherche ou sur des coins de France où on se balade,, donc interessant,. C'est plutôt le dénuement qui parait abradabrantesque

Les deux premiers chapitres m'auront suffi.
Le style est lourd, les personnages caricaturaux, l'humour… euh, pas drôle. Dommage. Ça me coupe l'envie de m'intéresser à l'intrigue…
Livre primé ?! 🤭

Grand fan du prix du quai des orfevres depuis des années je dois dire que là.....bah déçu, très déçu.
Trop de personnages, sans profondeur, une intrigue qui se déroule de la même vitesse du début à la fin, mêmes les rebondissements ne vous font pas rebondir.
Le point positif, ce sont certains moments d'écriture qui sortent du lot, mais cela ne suffit pas à sauver le livre..

un polar des plus réalistes du point de vue des procédures.
du coté des intentions, un peu arachnéen, si vous voulez.
Il se lit sans une passion dévorante.
Mais ça fonctionne.
L'argument de la modification du climat annoncée en promo me semble un peu sous exploitée, voire opportuniste…