John Dickson Carr/5
3 notes
Résumé :
Janvier 1940,
L'Edwardic, chargé de munitions et d'explosifs, quitte New York à destination de l'Angleterre avec à bord neuf passagers dont deux femmes.
Avant le départ, deux bombes à retardement sont dé-couvertes dans la cale du navire.
Le lendemain, un meurtre particulièrement horrible est commis dans des circonstances étranges, et le criminel laisse des empreintes sanglantes sur le lieu de son for-fait.
Mais ces empreintes n'appartienn... >Voir plus
L'Edwardic, chargé de munitions et d'explosifs, quitte New York à destination de l'Angleterre avec à bord neuf passagers dont deux femmes.
Avant le départ, deux bombes à retardement sont dé-couvertes dans la cale du navire.
Le lendemain, un meurtre particulièrement horrible est commis dans des circonstances étranges, et le criminel laisse des empreintes sanglantes sur le lieu de son for-fait.
Mais ces empreintes n'appartienn... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (2)
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— L'Edwardic et ses neuf passagers entament leur traversée de l'Atlantique dans une atmosphère lourde. Deux bombes sont découvertes dans la cale, et la situation empire lorsqu'une femme est égorgée dans sa cabine. le meurtre semble l'oeuvre d'un fantôme : les empreintes digitales n'appartiennent à personne, un masque à gaz a été vu dans l'entrebâillement d'une porte, et les potentialités de l'apparition du spectre font monter l'angoisse. Un militaire français tué par balle et jeté violemment par-dessus bord épaissit le mystère. C'est sans compter sur Sir Henry, docteur ès crime en chambre close, qui résout l'insoluble problème. Impossible n'est pas anglais.
Un huis-clos sur un bateau. Amusant à lire à notre époque car les méthodes d'investigation et certains passages paraissent complètement dépassés maintenant. Les codes du huis-clos sont bien là et on sent que J.D. Carr en était friand (et non moins maître en la matière !). J'ai passé un bon moment durant les 150 pages de ce petit périple maritime.
Citations et extraits (1)
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"— Je l'ai taquiné à ce sujet, lors de notre dernière traversée. Je lui disais : "Supposez que vous vouliez empoisonner quelqu'un à bord d'un navire. Vous attendez que votre future victime commence à avoir le mal de mer, et alors vous lui administrez progressivement le poison. Le type va évidemment de plus en plus mal, mais le docteur se contente de sourire et de lui prescrire la diète. Le pauvre bougre sera mort avant que personne se soit rendu compte qu'il était véritablement malade." Et Kenworthy devenait blême en écoutant mon récit."
Video de John Dickson Carr (1)
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Chronique animée par Fabien Delorme, consacrée aux grands noms de la littérature policière, dans le cadre de l'émission La Vie des Livres (Radio Plus - Douvrin).
Pour sa sixième chronique, le 19 octobre 2016, Fabien aborde l??uvre de John Dickson Carr.
Fabien Delorme est aussi conteur. N'hésitez pas à vous rendre sur son site : http://www.fabiendelorme.fr/
La page Facebook de l'émission La Vie des Livres : https://www.facebook.com/laviedeslivres62/
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