Le protectorat de l'ombrelle, tome 2 : Sans forme

J'avais adoré Sans âme et c'est pourquoi je me suis précipitée sur la suite dès sa sortie. Contrairement à beaucoup d'autres livres, il n'est pas resté longtemps dans ma PAL.


Dans ce tome, Connall est un peu moins présent et vu que je trouvais au début que ses échanges avec Alexia perdaient de leur piquant, ça ne m'a pas gênée. Heureusement, il reste Ivy (et ses immondes chapeaux) et Félicité, la soeur d'Alexia. A ces deux jeunes femmes s'ajoute la présence de Mme Lefoux, inventrice mystérieuse.


Durant la moitié du roman, j'ai été assez sceptique car je ne retrouvais pas l'Alexia du tome précédent : elle était moins fouineuse, moins active malgré le danger qui guette. L'arrivée en Ecosse change un peu les choses et j'ai retrouvé tout ce que j'avais aimé dans Sans âme : une Alexia mordante qui cherche à comprendre ce qui se passe. Et à partir de là, ce fut un vrai délice car quand elle se lâche, autant en tant que femme qu'enquêtrice, elle fait des étincelles.


En revanche, si on rencontre de nouveaux personnages intéressants, j'ai regretté l'absence de ceux qui avaient été très marquants dans le premier tome (et je parle surtout d'un certain vampire ;-) ). J'ai deviné beaucoup de choses avant Alexia et me suis plus inquiétée des évènements qu'elle, ce qui m'a surprise. Mais elle reprend finalement les choses en main.


L'histoire est intéressante, même si elle stagne parfois un peu, et les personnages présents ont de sacrées personnalités, ce qui provoque des scènes vraiment amusantes. C'est donc toujours un bonheur de suivre Alexia et son petit monde, et on passe un très bon moment. L'univers de la série s'étoffe : on en apprend plus sur le passé de Connall, sur le père d'Alexia. Et les surnaturels sont mis en danger d'une façon très spéciale. L'auteure a de l'imagination et on sent qu'elle n'a pas encore tout dit, qu'elle a des surprises en réserve. J'ai hâte de découvrir tout ça.


Là où l'auteure m'impressionne vraiment, c'est avec toutes les machines et les mécanismes qu'elle décrit : malgré la complexité, c'est clair et j'ai pu sans problème imaginer tous ces appareils. Rien que l'ombrelle d'Alexia est une merveille et j'espère qu'elle aura de nouveau l'occasion de s'en servir. La lecture est toujours aussi agréable, même si j'ai eu l'impression que des mots sonnaient faux (comme « squatter ») et que des phrases étaient mal construites. Mais c'est, heureusement, assez rare.


Ce n'est pas un coup de coeur mais j'ai quand même beaucoup aimé. Je ne vous parle pas de la fin (sauf pour vous dire qu'elle est horrible ^^) mais il vaut mieux avoir le tome suivant sous la main.

Bon, je viens de le finir et que dire....je rage a cause de ce final...J'ai tellement les nerfs, qu'il va falloir que je me calme en lisant quelque chose de très léger avant de reprendre le T3.

J'ai mis quelques pages avant de pouvoir bien rentrer dans l'histoire cette fois-ci, j'étais un peu perdue au milieu de toutes ces inventions.
Une énigme à résoudre, (les surnaturels deviennent humains ds les limites d'une certaine zone), tentative de meurtre à éviter et à résoudre, le tout parsemé d'humour et d'amour.
On retrouve avec plaisir Alexia et son cher et « tendre » époux, ainsi que toutes ses cachotteries, qui nous amèneront faire un périple en dirigeable vers l'écosse.
Nous ferons un voyage fort plaisant, avec Félicité et sa langue de vipère, Ivy et ses expressions quelques peu originales ( « Je vous saurais gré de ne pas répandre des ragoûts et des accalmies comme cela. » comprenons évidemment ragots et calomnies...), Tunstell et son amour aveuglant pour Mlle Ivy, et pour finir nous ferons connaissance avec Me Lefoux, une française légèrement avant-gardiste.

Dans la suite presque immédiate du tome 2 au niveau de l'histoire, je vous conseil de le lire en ayant le T3, sinon vous allez rester sur votre faim.

Cette fois-ci, Alexia part en Ecosse à bord d'un dirigeable pour rencontrer des loups-garous en kilt. Il va sans dire que nous sommes très heureux de retrouver ces personnages aux caractères plus forts les uns que les autres. On est tout « joie » d'assister à leurs échanges peu piqués des vers. Il est conseillé de ne pas attendre trop d'actions pour ce tome car l'intrigue est lente au démarrage pour se conclure très rapidement. On continue de flotter dans un univers steampunk délicieux.
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Un moment de lecture que j'ai beaucoup, beaucoup apprécié, mais j'ai été un peu déçue par rapport au premier tome. Même si le style d'écriture est resté semblable, il n'y avait plus le plaisir de la découverte, et surtout, maintenant qu'Alexia Tarabotti et Lord Maccon sont mariés, on a perdu toute la tension sexuelle entre eux, ce qui faisait quand même une grosse partie du charme de Sans âme. Alexia révèle tout le fort caractère qu'elle semblait déjà posséder dans le premier volume, mais en délaissant un peu cette façon si britannique d'être choquée par tout manquement aux convenances ; c'est très dommage, car on perd là aussi un peu de l'humour des débuts. L'auteure s'est vraiment recentrée sur l'intrigue politique et les complots ; c'est donc une bonne série malgré tout, qui suit son cours. A noter que j'ai été très surprise par la fin du roman, ce qui me fait oublier ma petite déception et me redonne très envie de lire le tome 3 !
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Ca y est il est fini.
Après avoir lu le manga, j'appréhendais un peu la lecture de ce volume. Je me demandais, si je ne devais pas sauter au volume 3. Oui je sais c'est un sacrilège.
Mais, j'ai pris mon courage à deux mains et j'ai été agréablement surprise. Ce livre est encore plus complet que le manga et plus détaillé.
Bon en résumé, il y a une épidémie humanisatne à Londres et Alexia en tant que mujah doit enquêter de Londres au Highlands. Divers thèmes sont abordés, la science, les traditions, l'homosexualité (de manière sous-entendu), la politique, les convenances sociales, le passé de Lord Maccon...
La fin est un cliffhanger et un déchirement. J'ai eu envie de pleurer et de tempêter.
Mais ne pouvant pas rester sur cette fin, je viens de commencer le volume 3. Je peux vous dire qu'il y a des coups de pieds aux fesses qui se perdent.

Encore une aventure hilarante !

Il faut le dire, si je lis le Protectorat de l'ombrelle, c'est avant tout pour la plume acidulée à souhait de l'auteure, pour les dialogues hilarants et surtout pour les situations cocasses où tombe Alexia. Et cela mérite allègrement une série de sketches ! Lire le Protectorat de l'ombrelle, c'est bon pour la santé et le deuxième tome reste dans l'exacte lignée du premier, la découverte en moins, certes. Mais c'est comme retrouver une vieille copine. Ainsi, Alexia Tarabotti est devenue Lady Maccon et non comptant d'être devenue le Mudjia de la reine (je ne sais pas comment cela s'écrit, brrr) elle doit composer avec les histoires de son époux... Et surtout de sa meute.

Comme vous pouvez le deviner, Alexia est tout sauf délicate. D"une mission diplomatique, elle aboutit à une mission de sauvetage, à une enquête et finalement se retrouve à y emmener sa soeur et sa meilleure amie qui a un goût plus que douteux sur ses chapeaux. Vous vous dites que ce genre de situations n'arrivent qu'à vous. Je peux vous dire que si vous me côtoyez, vous aurez des situations analogues. Autant, pour chez moi, je trouve cela encore drôle. Mais quand c'est chez cette héroïne, je trouve cela hilarant (oui, je répète mes mots).


Au delà du regard humoristique, une femme bien seule.

Alexia, même avec ses convictions, même avec ses étiquettes, est une femme en avance sur son temps. En effet, elle assume son physique, son caractère, sa différence et son amour. En lisant les réactions des autres, je me dis qu'elle est souvent bien seule. En effet, sa soeur pense qu'elle s'est mariée par intérêt, sa meilleure amie aussi (tant qu'à faire). Son mari ne la croît pas et ne pense pas qu'elle est capable. Les inconnus pensent aussi qu'elle n'est pas digne de confiance. Aussi, au delà du risible, car elle a un humour bien trempé, je me dis qu'Alexia est comme toutes les femmes drôles : elle se sent seule. Et elle est seule.

C'est aussi ce qui fait sa force. Ce côté "je rentre dans le lard parce que c'est mon unique moyen de me défendre". Autant ce côté ne m'étais pas autant apparu au premier tome, autant cet état s'installe de plus en plus au travers du deuxième tome. Et avec la révélation de la fin, je pense que nous aurons un troisième tome sinon très drôle mais très riche en révélations et en questionnements. Cela dit, si vous m'offrez une saga avec beaucoup de forts personnages, de l'humour et des secrets, vous ne faites que me contenter ;)
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J'étais très impatiente de la sortie de ce second tome car j'avais passé un excellent moment avec Alexia et Lord Maccon dans un décor d'Angleterre victorienne revisitée à la sauce Steampunk. Nous avons fait une lecture commune avec Jessy Violette qui avait tout autant hâte.

Je ressors ravie de cette lecture et également frustrée avec cette fin. Je veux le tome 3 en poche !

Nous retrouvons Alexia et Lord Maccon (Conall) dans leur nouvelle vie : c'est un très bon moment de les voir s'adapter l'un à l'autre, d'apprendre à cohabiter et interagir ensemble.
Lord Maccon fait un cadeau assez particulier à Alexia, ce qui permet à cette dernière de rencontrer une jeune femme assez atypique. Même si Alexia est déjà pas mal dans son genre !
Conall disparaît et part rejoindre son ancienne meute en Ecosse. Alexia lui file le train et embarque dans son périple sa meilleure amie, le préposé de Conall et sa nouvelle amie atypique. Je ne rentre pas dans les détails, je vous laisserai rencontrer tous ces personnages car ils en valent vraiment le détour.

Ce tome permet de mieux connaître Maccon, son passé, son ancienne vie. C'était très agréable et divertissant. Une intrigue est mise en fond dans ce nouveau chapitre de leur histoire. le suspense et l'action sont égaux au premier opus, c'est-à-dire que l'intrigue n'est pas l'axe principal et se retrouve en second plan. L'action n'est pas la touche première. Cela ne m'a pas empêchée d'aimer encore cette lecture.

Cela tient surtout aux personnages loufoques, aux interactions entre eux et à la découverte du couple principal. L'auteur finit ce tome sur une fin qui nous ronge. J'aurai bien aimé botter l'arrière train de Conall. J'ai hâte de voir comment les choses vont évoluer pour Alexia et ses amis. J'espère qu'elle va en faire baver à Maccon. (Grrrr)

Une lecture encore une fois très sympathique ! Vite le tome 3 !
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Il m'aura fallu un an pour lire la suite de cette série. Et je ne sais pas pourquoi car j'ai littéralement dévoré ce tome 2. Quel régal de retrouver Alexia Tarabotti devenue l'épouse de Lord Maccon.

Le mariage ne l'a absolument pas changé, elle est toujours égale à elle-même. Elle est mariée depuis peu quand des événements étranges se déroulent à Londres. Tout les êtres surnaturels deviennent mortels et les fantômes sont exorcisés. Maladie, nouvelle arme? Personne ne sait ce qui se passe mais les soupçons se portent sur Alexia. Après tout, les événements sont identiques à la capacité de la jeune femme, sauf qu'ils sont à plus grande échelle. Elle est bien décidée à découvrir l'origine de tout ça.

En même temps, elle doit gérer un mari qui part brusquement pour l'Ecosse, une Ivy Hisselpenny engagée avec un homme mais qui s'intéresse à un autre, sa soeur Felicity qui s'installe chez elle et une nouvelle connaissance dont elle ne ne sais pas si elle peut lui faire confiance...



Encore une fois, ce tome est bourré d'humour. Je n'ai pas arrêté de rire tellement les répartie d'Alexia sont à mourir de rire.

L'enquête passe un peu au second plan, mais ça ne me gène absolument pas. Je suis sous le charme des personnages, que ce soit du couple Alexia - Conall ou des personnages secondaires. Ce sont eux qui font l'histoire, ainsi que le monde fascinant inventé par l'auteur. Cela me donne envie de découvrir plus de romans Steampunk.



Il me tarde déjà de lire la suite car l'auteur nous laisse littéralement en plan à la fin du livre. Elle fait une révélation improbable et l'un des personnages a une réaction inattendue. Je n'ai eu qu'une envie, c'est me jeter sur le tome 3.



Ce tome 2 confirme mon amour pour cette série! Je vous la recommande chaudement!

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Plus, je me plonge dans cette saga, plus je l'aime. Si j'avais déjà eu un beau coup de coeur pour Sans âme, ce deuxième tome m'a encore fait passer un excellent moment de lecture. Un beau coup de coeur, qui confirme mon opinion sur cette saga, qui vaut largement le détour.

Dans ce deuxième opus de la saga, nous retrouvons notre héroïne, Alexia Tarobotti, devenue Lady Woolsey, femme de Maccon Woolsey, chef de la plus grande meute de loups-garous de Grande-Bretagne. La jeune femme a tout pour être heureuse. Bien qu'elle s'en défende, elle est folle amoureuse de son mari et siège au conseil de la reine Victoria en tant que Mujah. Mais un jour, une étrange malédiction s'abat sur Londres, une malédiction qui fait disparaître les fantômes et fait redevenir les vampires et loups-garous humains. Lady Woolsey décide aussitôt de mener l'enquête.

Les romans de Gail Carriger ne brillent pas par leur intrigue ultra complexe ou développée. Néanmoins, je dois avouer que je me suis très facilement laissée prendre au jeu et même si certains aspects du récit sont relativement prévisibles, je me suis régalée avec cette histoire loufoque, rythmée et terriblement drôle. Dès la première page, je me suis retrouvée totalement immergée dans cet univers si particulier et je n'ai pas pû lâcher le roman avant de l'avoir terminé. J'ai également apprécié le petit fil rouge que l'on retrouve dans ce tome avec toujours les histoires de complots et de rivalités qui vont se poursuivre dans les prochains tomes. A mon avis, le récit de ce deuxième tome est beaucoup plus intéressant et captivant que le premier, où l'on posait vraiment les bases de l'histoire au détriment du récit à proprement parlé.

Et puis bon, parlons de cette fin ! Mais mon Dieu, quelle fin ! Franchement cela faisait un moment que je n'étais pas restée aussi scotché par un final. Non pas que la révélation fut une surprise, non pas du tout, mais la réaction d'un des personnages, que je ne citerais pas pour ne pas spoiler, m'a laissé pantoise ! Non mais dis donc ! Pour qui il se prend ! Rahhhh rage et frustration, je vais devoir me jeter rapidement sur le 3ème tome (heureusement qu'il siège bien gentiment dans ma PAL hein !).

Mais les deux excellents points que j'ai noté concernant le récit dans ce roman fut, d'une part, l'univers Steampunk, encore une fois magnifiquement mis en scène (les chapitres se passant dans le dirigeable sont absolument mémorables, et j'ai adoré découvrir la nouvelle arme d'Alexia, très fashion !) et d'autre part, une délocalisation de l'action, puisque nos personnages s'envolent pour l'Ecosse, pays dont je suis tombée amoureuse il y a déjà quelques années et que j'ai adoré retrouver dans ce deuxième tome. Ce changement de décor tombait vraiment à pic et offre véritablement aux lecteurs une petite bouffée de nouveauté, de fraîcheur et de dépaysement qui est fort bienvenu.

Mais la part belle de ce coup de coeur revient aux personnages, qui, à nouveau, m'ont absolument ravie. Que dire de plus si ce n'est que si je devais choisir certains personnages fictifs pour les inviter à un dîner Alexia en ferait irrémédiablement partie. Elle est drôle, cinglante, intelligente, ironique, bref, je me retrouve beaucoup dans son personnage (notez au passage que je me lance des fleurs, hihihi) et j'aimerais beaucoup l'avoir comme meilleure amie. Et que dire des autres personnages, si ce n'est qu'ils sont tous aussi attachants les uns que les autres (bon sauf la soeur d'Alexia mais c'est bien le seul que j'ai trouvé exécrable dans le roman) et finalement, c'est véritablement de cette palette de caractère hauts en couleur que cette saga tire tout son charme.

Je ne sais pas si vous vous souvenez, mais j'avais beaucoup aimé la plume de l'auteure dans le tome un, mais avait eu quelques difficultés de lecture, trouvant le style assez riche et un peu ampoulé. Or quelle ne fut pas ma surprise quand j'ai commencé ce roman en VO de découvrir une plume certes travaillée mais également légère et facile à lire. Gail Carriger écrit avec finesse et ironie, et je vous assure que c'est fou rire garanti à chaque chapitre. Très honnêtement, je ne me souviens pas avoir jamais autant ri en lisant un livre qu'en lisant Changeless. En tout cas, cette lecture en langue originale fut une révélation et je me réjouis d'avoir commandé toute la saga en anglais.

Changeless fut une lecture jubilatoire qui m'a fait passer un excellent moment de lecture. le récit est drôle et beaucoup plus travaillé que celui de Sans âme, les personnages sont toujours aussi attachants et j'ai eu un énorme coup de coeur pour la plume de Gail Carriger. Changeless, c'est mon remède à la déprime !
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(...) Gail Carriger signe un excellent second volume, d'un rythme toujours effréné, où les différents éléments de son univers sont toujours très bien dosés : du steampunk et du fantastique, une solide et réelle intrigue, les carcans bien ou mal supportés de la bonne société victorienne et une sensualité décomplexée, mais dont les conséquences inattendues retomberont lourdement sur les épaules de l'héroïne en fin de volume.
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