Il n'était peut-être pas question, en moins de deux cents pages, de présenter une synthèse d'un domaine aussi vaste et qui ne cesse d'ailleurs de se remettre en question. On y trouvera plutôt une série d'aperçus, de dimensions et, il faut bien le dire, d'intérêt variables sur diverses pratiques et quelques grandes aires géographiques concernées par les études postcoloniales.
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