Bruxelles, moitié du troisième millénaire. La violence est plus que jamais présente, la notion d'art est obsolète, mais l'amour existe encore. Il est un mélange d'appétit sexuel, d'engagements et de capitalisme.
Moi, Gaël Haubert, je pensais que l'amour était, comme nos vies, ce que l'on décidait d'en faire. Or, vider une beauté de son sang afin de remplacer celui-ci par du plastique me sembla être une idée barbare, un souhait égoïste dépourv...
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