Au fond, je crois que c'est cela que j'aime chez Murat, ce quotidien de travail – écrire, mais ne pas tout dire, apparaître, se cacher, et puis recommencer – cet ordinaire derrière lequel il n'y aurait rien de si incroyable à découvrir, ou alors un tout petit peu, un détail ici et là à chérir et à partager.