Le tome 5 s'achevait tragiquement avec la mort des Boréades, Calaïs et Zétès. Les argonautes poursuivent leur route mais Poséidon les fait échouer dans un endroit plein de morts vivants. L'un d'eux d'ailleurs attaque Raksos et le mord. Atalante, Orphée, Niklé, Méléagre et Pyros décident de descendre aux Enfers pour trouver un remède pour sauver Raksos.
Toujours de très belles planches et de l'humour.
Comme le tome 4, ce tome laisse un beau suspense et donne très envie de lire la suite.
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Après la mort des Boréades Calaïs et Zétès, les argonautes ont repris leur chemin. Poséïdon les fait cependant s'échouer sur une berge infestée de morts-vivants. Ils se font attaquer et Raksos se fait mordre. Il commence donc à se transformer en zombie. Atalante se dévoue avec Orphée, Niklé, Méléagre et Pyros pour descendre aux Enfers et trouver un remède pour le sauver.
Ce 6ème tome est sympathique. le graphisme est simple et j'ai l'impression que par rapport aux premiers tomes, la couleur est plus uniforme. de cela découle une lecture plus agréable pour moi ! Dans les premiers tomes, j'avais l'impression d'une Atalante ressemblant à une Drag queen.
Côté scénario, j'avaispour les tomes précédents un attachement particulier à cause de la reprise du contexte mythologique. Ici, mon attachement est toujours présent et c'est un vrai plaisir de lire les aventures d'Atalante et d'autres figures mythologiques toute aussi connues, si ce n'est plus.
Cependant même si l'apparition de zombies me paraît être en accord avec les tendances du moment, je l'a trouve un étrange... Je ne m'attendais pas à les trouver là.
J'attends cependant le tome suivant avec impatience ...surtout que la fin du tome est plutôt surprenante !
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Nouvelle étape pour les argonautes et la belle Atalante. L'argos ayant subit quelques avaries, voilà nos héros coincés sur une plage de sable fin sous un ciel d'azur en compagnie de nouveaux amis. Des zombies échappés du royaume d'Hadès. Evidemment il en fallait bien un, un argonaute se fait mordre et se transforme en zombie écumant de rage et d'envie de goutter la peau de ses compatriotes. Ni une ni deux Atalante se propose pour descendre dans les enfers pour chercher un remède.
L'histoire est un enchainement de facilité sans suspence, à l'humour éteint et à l'action plate. Pas de rebondissement, pas de surprise.
Le dessin pêche en plus par sa trop grande simplicité, son manque flagrant de détail et sa colorisation de synthèse sans âme.
Je suis dure... Un peu... Mais ça s'explique surement par la déception que m'apporte cette série au fur et à mesure des tomes dont la qualité regresse progressivement.
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Ce passage par les enfers était un des incontournables puisque l'épisode surgit dans de nombreuses mythologies. le dessins nous donne de cet infra-monde une image assez saisissante. le découpage se veut dynamique avec de grandes scènes sur une ou deux pages complètes sur lesquelles viennent se perdre deux ou trois vignettes. Les grandes scène sont assez réussies, mais l'histoire est moins dense que dans les albums précédents et on se demande si les auteurs ne cherchent pas à diluer par souci commercial. Dommage ! L'intervention d'un nouveau dessinateur en collaboration avec l'ancien n'a pas entraîner de modifications majeures, c'est tant mieux
Au final, la plus grande légèreté du scénario et le manque de densité du récit font que ce n'est pas mon album préféré.
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-Par tous les Dieux... Mais tout est laid ici!
-C'est pour ça que ça s'appelle les enfers.