La passe-miroir, tome 4 : La tempête des échos

Quelle déception que ce dernier tome... tout ce qu'il me reste, c'est un sentiment amer et un vide dans le coeur.

Beaucoup de choses m'ont dérangées dans ce volume, les explications alambiquées, les personnages secondaires qui ne sont pas du tout attachants, d'autres personnages que j'ai adoré dans les deux premiers tomes et qu'on ne voit quasiment pas sauf à la toute fin du livre, beaucoup de longueurs et de facilités, l'intrigue en général... le pire reste quand même les dernières pages, la fin de cette saga est la plus frustrante du monde!

Si j'ai mis deux étoiles à mon évaluation, c'est uniquement parce que les passages entre Thorn et Ophélie sont magnifiquement touchants, même si il y en a eu trop peu à mon goût...

Je referme ce livre avec un sentiment d'inachevé et une énorme frustration, j'aurai aimé une intrigue et surtout une fin différente. Je regrette presque de ne pas avoir lu uniquement les deux premiers tomes tellement les 3 et 4 m'ont rebutés

Je clos la saga avec la lecture de ce dernier tome. Alors comme pour les autres tomes, le livre se lit très bien mais je l'ai trouvé inégal. Toujours cette lenteur sur certains passages... et puis on se perd dans le flot d'informations et de questions existentielles que se pose Ophélie. Ce qui rend parfois la lecture confuse et brouillon et qui complique sacrément l'intrigue. j'aurais aimé que certains personnages aient un rôle plus important dans le dénouement.
La fin m'a déçue, un sentiment d'inachevé, dommage pour le dernier tome d'une saga...
Je suis tout de même ravie d'avoir découvert l'univers foisonnant de Christelle Dabos mais cela ne sera pas un coup de coeur.

Fin des aventures d'Ophélie.
Un tome dense, très dense, riche en révélations et en rebondissements, qui pêche parfois dans la fluidité de l'intrigue, un poil brouillonne par moments.

C'est toujours aussi imaginatif, et original. C'est plus sombre aussi.
Les personnages sont toujours aussi attachants, j'ai beaucoup aimé suivre l'évolution d'Ophélie, de sa naïveté depuis Les fiancés de l'hiver à la force et à la détermination qu'elle dégage à la fin de la tempête des échos. J'aurais juste aimé connaître davantage le personnage de Victoire, très mystérieux.

Alors oui, le dénouement peut surprendre, mais c'est tout à l'honneur de Christelle Dabos qui a suivi son idée et a baladé son lecteur jusqu'au bout. J'ai même l'impression qu'elle n'a pas réussi à fermer complètement la porte et qu'une suite pourrait voir le jour, un jour...

J'ai parfois pensé à la trilogie de P. Pullman dans certaines scènes, comme des petits clins d'oeil à une oeuvre que la romancière admire.

Une saga dont j'ai énormément pris plaisir à découvrir.

Dernier tome de cette magnifique saga. Je dois avouer que j'avais des sentiments plutôt ambivalents à l'idée de commencer ce tome : je ne voulais pas quitter cet univers, ni Ophélie et Thorn et en même temps je languissais de connaître le fin de mot de l'histoire : le pourquoi de la destruction des arches et l'identité de l'Autre.
En terme de rebondissements, on peut dire que ce tome en regorge, un peu trop parfois, pendant quelques chapitres, j'ai eu l'impression de tourner en rond, l'auteure s'amusant à dévoiler des indices tout en continuant à brouiller les pistes. Et il faut être very attentif pendant la lecture car ce dernier opus est dense en révélations.
La fin est moins pire que ce à quoi je m'attendais (étant donné les avis que j'avais lus) même si l'auteure est bien loin d'être tendre avec certains personnages ; je ne suis pas pour les happy ending à chaque fois mais je pense qu'après toutes ces aventures et sacrifices, c'était largement mérité.
L'ensemble de cette saga reste un coup de coeur, son univers si riche et ses personnages me resteront longtemps en mémoire.

Ah c'est la fin :( J'ai vraiment apprécié l'aventure avec Ophélie : les tomes sont plein de rebondissements et de questionnements pour cette jeune fille. Les univers que Christelle Dabos a inventé sont riches et bien décrits. L'histoire d'amour avec Thorn pèse aussi dans la balance (ça doit être mon côté fleur bleue qui ressort!).
Je ne peux hélas qu'être un peu déçue par le dénouement final ... oui j'aurais attendu un happy ending ;)
Je ne suis pas mécontente pour autant d'avoir découvert cette série que je conseillerai.

D-E-C-E-P-T-I-O-N.
cornucopianisme, l'Autre, l'autre Autre, l'Echo, les Échos, l'Envers, les inversés, l'Ombre (...)
Le dernier tome de la passe miroir est étouffé par les tentatives d'explications compliquées, scabreuses, métaphysiques, on y comprend rien et ça donne mal au crâne.
La fin qui se veut ouverte, laisse un goût amer, un sentiment d'inachevé, et de baclerie assez lâche.
C'est comme si à la fin d'Harry Potter on ne nous avait pas dit clairement qui est mort et qui n'est pas mort.
Tant pis. Choix de l'autrice.
Thorn restera malgré tout un de mes personnages de fictions préféré.

Qui est je ? Je est Tu. Rien qu'avec ça, vous devriez comprendre que nous partons dans du métaphysique non philosophique. Wha mon cerveau a explosé.
Alors que tout l'univers du premier tome m'avait enchanté (même mon entourage l'avait été), je me retrouve à la fin du cycle à soupirer déçue d'avoir lutté pendant 1 mois et demi sur ce pavé de 670 pages. Descriptions en longueur. Intérêt des chapitres en dent-de-scie. Echos, doppelgangers, changement de visages et explications inabouties. Jeu de mots alourdissant le tout. Bref j'ai trimé dur pour en venir à bout, parfois lisant même en diagonal, horreur et damnation, ça n'est pas du tout dans mes habitudes.
Les moments où Ophélie comprend des choses, ces "révélations", je ne comprends pas grand chose. Ma lecture fut fastidieuse, on peut dire que l'auteure a une imagination débordante mais c'est bien la première fois que j'aurai voulu plus de cadrage donc de clarté. Et puis la fin.. oui c'est une fin, un choix frustrant mais pourquoi pas. C'est dommage à dire mais on ne garde en mémoire que la fin d'un roman comme au restaurant où on ne repense qu'à son dessert, celui-ci a un goût amer pour lequel je ne vais jamais replonger quitte à rester dans le flou.

Quelle déception que ce 4ème tome de la Passe-Miroir… Est-ce parce que trop de temps s'est écoulé entre ma lecture des trois premiers tomes et celui-ci que je n'ai pas réussi à entrer facilement dans le récit ? Peut-être. Mais alors que j'espérais que j'allais être reprise par la même frénésie de lecture que lors des tomes précédents, la magie n'a jamais opéré. J'ai dû lutter pour ne pas abandonner la lecture. Autant j'avais admiré les ressources imaginatives de Christelle Dabos, autant ici elle a dépassé mes limites. Trop c'est trop. Je n'arrivais plus à visualiser, les personnages sont tellement nombreux et l'intrigue tellement alambiquée, que je n'ai jamais accroché.

Un avis difficile à rédiger parce que j'ai tellement aimé cette série que cette fin me laisse sur ma faim (ok je sors...).
Je m'explique, depuis le premier tome, je me suis attachée à Ophélie, oui oui malgré ses défauts énervants, je sentais une volonté de fer, une loyauté infaillible, une belle personne en somme et je lui souhaitais de tout coeur un final à la hauteur. Malheureusement l'auteure m'a perdue dans ses explications sens dessus dessous (au sens propre pour le coup) et mon imagination s'est bloquée. Dès lors, incapable de visualiser ce qui était en train de se dérouler, j'enchaînais les pages pour terminer l'histoire mais sans le piquant, l'attrait, quelque chose s'était cassé.
Je retiendrai une formidable aventure pendant 3 tomes et 2/3.
Merci.

Ce dernier tome de la série m'a bien moins enthousiasmée que les autres. Trop perché pour moi. Si j'admire l'imagination de l'auteure, sa capacité à créer un monde fantastique complexe et à le rendre crédible, j'ai trouvé la deuxième moitié poussive et j'ai eu du mal à aller jusqu'au bout.
Malgré cela, j'ai pris plaisir retrouver Ophélie et Thorne, ces personnages si originaux et attachants et j'ai encore une fois apprécié l'écriture fluide et agréable de l'auteure.