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Il manquait le tour de France aux exploits de Bérurier. Voilà qui est fait avec ce 59ème numéro paru en 1965. Les ingrédients habituels sont au programme, sans EPO, point n'est besoin pour Béru qui tient la forme. Un bon San-A, sans plus.
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59ème roman de San-Antonio publié en 1965 (dépôt légal 3ème trimestre 1965).

L'histoire se déroule en juin 1965 sur le Tour de France pendant 3 jours.

Histoire : de retour de mission à Nice, San-Antonio et Bérurier s'arrête à Dijon, première ville étape du Tour de France, retrouver Berthe Bérurier et Alfred le coiffeur qui sont inscrits à la caravane publicitaire afin de commercialiser un produit miracle...

Un très bon San-Antonio où Bérurier tient le premier rôle avec un clin d'oeil au Tour de France (même si les étapes de F. Dard ne correspondent pas à celui de 1965). Nous découvrons aussi de nouveaux champions comme Jacques Angeunille, Courzidor et l'accordéoniste Zézette Bordemer.

Pinaud a toujours un rôle secondaire et intervient vers la fin du roman.

A noter, comme avant-propos, un "avertissement à mes féaux lecteurs" très intéressant.
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A ma grande honte, je dois dire que je n'avais jamais lu un seul ouvrage de Frédéric Dard, malgré la myriade de San Antonio que le zigue a pondu durant le moment qu'il vivait encore et qui s'appelle la vie, si tant est qu'être lu après sa mort ce n'est pas aussi vivre encore un peu. Mais fi de philosophie, filou ! Et puis je ne l'ai pas lu, ce Vas-y, Béru ! je l'ai fait passer par mes oreilles jusqu'à mon cerveau lent qui s'est mis à voler à vau-l'eau tant sa valait le coup.

C'était lu par Antoine de Caunes et – déconne pas – on aurait comme qui dirait dit que la voix de Didier l'embrouille avait été sortie de la puissance oblongue et de la longue jouissance des gens qui ont été respectivement le père et la mère de l'acteur, juste pour ce rôle-là, qui allait à merveille à ce drôle-là (ola de joie !).

Alors que dire ? Pour commenter ce 59ème opus de la série je ne ferais pas l'affront au lecteur ci-présent (toi, ducon.ne !) d'écrire que l'histoire est un peu négligeable quoique non-négligée, puisque c'est pour la langue, qui trucule la jactance, qui néologise à foison, qui faisande le français et se contrefiche de la bienséance et des règles de grammaire (il y a bien longtemps que grammaire n'a plus ses règles, voyons !), que ça rappelle avec goulupté le phrasé du français d'un Brassens, d'un Devos ou d'un Audiard (oh les poncifs poussiéreux et passables pour sclérosés du style, cher Anto, rajoute au moins que Moix n'est qu'un Dard qui s'est piqué d'être pris au sérieux pour rajeunir ta critique !), voire du Rabelais hâbleur pas au rabais, que c'est la Renaissance tardive du baroque, fait de bric et de broc, que ça brille et déborde de périphrases, que parfois c'est aussi payant que l'acte de chair avec sa légitime (et les personnes qui n'ont pas compris que le sport en chambre c'est payant quand ce n'est pas payant, ont raté une bonne partie de leur vie si tant qu'être rincé après sa petite mort c'est vivre tout à fait), mais qu'enfin, malgré tout il y a bien un alpha et un omega à la narration proposée, et, ainsi, du fond qui colle à la roue de la forme, je n'ai donc rien à en dire de plus…
Lien : http://poussieres-de-bulles...
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