Un italien, qui rentre d'Argentine où il a combattu la dictature avec sa femme, tombe amoureux d'une prostituée. Au fur et à mesure, il lui raconte sa vie là-bas. C'est le second livre de cet auteur que je lis et j'ai adoré. J'ai retrouvé ce style simple et percutant, poétique et touchant. C'est un livre dont j'ai relu plusieurs fois certaines phrases tellement je les trouvais belles.
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Un court roman plutôt poétique .
Une écriture simple , quelquefois trop , avec des phrases sans intérêt ( est ce l ‘effet de la traduction)
Le sujet est intéressant mais le résultat reste imparfait
Certes il faut cultiver son jardin , aimer la nature et les fleurs
D ‘autres l'ont dit il y a fort longtemps
Je pense qu'il y avait mieux à faire , quelque chose de plus approfondi
Je comprends le désir de simplicité de l ‘auteur tant au niveau de l ‘écriture que dans le choix des personnages
Mention assez bien mais avec l ‘envie de lire les autres livres d' Erri de Luca
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Court roman comme beaucoup de Erri de Luca très belle narration bien maîtrisée
l'auteur interroge le destin.J'ai fait connaissance avec cet écrivain car ma belle -fille a réalisé sa thése de doctorat en étudiant ses livres .Elle l'a rencontré en Italie .il habite près de Rome
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Le narrateur est un italien revenu au pays après avoir vécu en Argentine. Jardinier, passionné par les arbres et les livres, il fait la connaissance d'une femme beaucoup plus jeune que lui. Ils passent la nuit ensemble et apprennent à se connaître. Làila a la trentaine, autrefois dentiste, elle se prostitue désormais pour gagner sa vie.
Le passé et le présent s'entremêlent dans le récit du jardinier. Ce dernier évoque sa rencontre avec Dvora, la femme qu'il a suivi en Argentine. Il se remémore la guerre, la fin tragique de la femme aimée, sa fuite sur un bateau, puis sa rencontre avec une veuve de pêcheur dénommée Maria.
C'est la première fois que je lis un ouvrage d'Erri de Luca. J'ai été, dès les premières pages, surprise par l'écriture très poétique, belle et originale. Peut-être que j'aurais aimé entrer davantage dans les détails du récit, on n'entre pas véritablement dans le vif du sujet, tout est évoqué, suggéré. Cela reste malgré tout une jolie découverte qui m'a permis de connaître le parcours atypique de cet auteur.
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J'aime toujours autant l'écriture d'Erri de Luca. Il a une plume franche, dépouillée, tous les sentiments, les émotions sont à fleur de peau. Ici il y narre la rencontre d'un homme et d'une femme, une histoire d'amour. Enfin, le narrateur évoque le traumatisme qu'a été la dictature en Argentine. C'est le genre de livre que j'aime lire surtout pour l'écriture, mais le récit ne m'emballe pas, dans le sens où je ne tourne pas les pages avec empressement. Et je ne pense pas que cette histoire m'ait marqué au point de m'en souvenir dans quelques années.
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Dire peut ,suggérer beaucoup tel est la force de ce livre
revenu en Italie après sa première vie tragique d'opposant Argentin;
ce jardinier vit en symbiose avec la nature sans superflu.
l'amour naissant avec Leila et l'amitié avec Selim raccroche notre jardinier à l'humanité en laquelle il ne croit plus.
ce récit apaisé nous remus pour notre plus grand bien ;si j'ose dire il remet les pendules à l'heure.
sans conteste un chef d'oeuvre.
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un livre ou le simple fait de planter un arbre prend une dimension magique par la manière dont c'est écrit...une histoire douce et très belle
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J'ai commencé par lire 10%. Puis j'ai continué, encore 10%. Même si, en réalité, il ne se passe quasiment rien, je suis happée par la musique, les images, les vibrations de l'écriture d'Erri de Luca (que je découvre pour la première fois).
Je peux comprendre les difficultés éprouvées par certain.es, c'est une écriture particulière, inhabituelle : personnellement, c'est ce qui me plaît. Essayez donc de vous aventurer dans ce livre, que risquez-vous?
C'est un livre qui a été donné au CDI par la soeur d'une femme qui était une grande lectrice. J'ai plusieurs étages de bouquins issus de ce don, et je dois choisir ceux qui vont rester et ceux qui iront chercher d'autres lecteurs.
"Les livres devraient rester sans surveillance dans des endroits publics pour se déplacer avec les passants qui les emporteraient un moment avec eux, puis ils devraient mourir comme eux, (...), bref ils devraient mourir n'importe comment sauf d'ennui et de propriété privée, condamnés à vie à l'étagère."
Ce livre-ci va être condamné un moment à l'étagère d'un endroit public où des passants sont autorisés à les emporter un moment avec eux, donc la consigne est presque respectée ^^
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