Symbole de la technocratie triomphante et de la toute-puissance de l'industrie nucléaire, la centrale de Creys-Malville, Superphénix, se voit frappée de fermeture définitive par le gouvernement socialiste, en juin 1997. Mais, tel un bolide lancé en pleine course, le réacteur ne s'arrête pas pour autant: il faut commencer par brûler le coeur. A la suite d'un séisme, la centrale explose quelque temps après. En quelques heures, la panique s'empare du pays, les politiqu... >Voir plus