AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,78

sur 2392 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Robinson Crusoé, un grand classique international.
Satisfaite de l'avoir lu car c'est un classique et je n'en connaissais que les grandes lignes.
Cependant je me suis ennuyée quasiment tout du long. Je trouve que c'est mal raconté, c'est très factuel et un peu décousu.
Commenter  J’apprécie          00
Ce classique ne m'a pas plu du tout, je dirais même que je m'y suis ennuyé. À un point tel que si cela n'avait été dans le cadre d'une lecture commune je l'aurais laissé tomber. Les états d'âme du narrateur m'ont laissé de marbre, ses élans religieux m'ont agacé tellement ils semblaient opportunistes, sa condescendance envers Vendredi m'ont fait grincer des dents. Les divers apprentissages sur l'île ne m'ont pas vraiment intéressé non plus, pas plus que ses “exploits” face aux visiteurs de l'île. L'écriture m'a semblé ampoulée, même pour l'époque. Je ne m'attendais pas bien sûr à un thriller mais j'ai trouvé le rythme lent, les scènes d'action mal exploitées. E quelle suffisance du sujet britannique se croyant supérieur au reste de l'humanité ! Bref c'est évident que ce livre ne tombe pas dans mes goûts . . .
Commenter  J’apprécie          90
Ce fût une des lectures imposées de mes années collèges (ou lycée ?...) et je n'ai jamais réussi à aller au-delà de la page 150. C'est assez imbuvable. Plein de descriptions à rallonge et de questionnements intérieurs... on est loin de l'aventure de survie à laquelle on s'attend.
D'ailleurs Thursday Next (personnage de fiction de l'auteur Jasper Fforde, détective littéraire, entre autres) me classe presque dans "les 10 livres les plus ennuyeux", et c'est tout à fait mon ressenti.
Commenter  J’apprécie          34
Lorsqu'on s'apprête à commenter une oeuvre majeure, on tremble toujours un peu. Comme lors d'un examen devant un jury implacable et incorruptible. Au risque de m'attirer les foudres de la majorité (la totalité?) des lecteurs, je me lance en prenant soin de préciser que je ne me considère en rien supérieur à qui que ce soit, bien au contraire, que je me trompe souvent et n'ai pas la science infuse. Mais toutes les idées ont le droit de s'exprimer, même celles qui vont à l'encontre du mouvement général. Surtout celles-ci.
Paru en 1719, le roman de Defoe connut aussitôt un immense succès et devint au fin des années et des siècles (excusez du peu!), une référence pour les plus grands et le livre de chevet de bon nombre de garnements. Si bien qu'aujourd'hui, il véhicule des idées reçues qui ont la vie dure pour quiconque n'a pas plongé ses yeux dans le roman.
1. Robinson est seul sur son ile, dans un dénuement total. Faux.
Il récupère un chien, deux chats, tente d'apprivoiser un perroquet et se convertit même à l'élevage. Il possède armes à feu et quelques provisions, une malle de vêtements qu'il repêche du navire échoué non loin de la plage. Rien à voir donc avec les naufragés de l'ile de Tromelin (histoire vraie de plus) qui n'avaient pas un seul arbre sur leur bout de terre et ont réussi à tenir quinze ans.
2. Robinson est le premier écologiste. Faux.
C'est même tout le contraire. Maitrisant le feu (deux mousquets, quelques pistolets), il n'hésite pas à dominer son monde. Ce n'est pas un retour à la nature, c'est la démonstration de ce qu'un homme, un seul, peut faire comme dégâts sur une ile isolée. Alors, imaginez quelques millions de la même espèce sur l'étendue d'une planète.
3. Robinson est un héro. Faux.
S'il se rebelle face à la tiédeur de son père concernant la place idéale d'un homme dans la société (apologie de la classe moyenne), ne désirant rien d'autre que partir à l'aventure en courant les océans, il n'a rien de l'aventurier. Paru à une époque où la majorité des romans ne racontaient que des histoires de chevaliers, Robinson est un peu Monsieur Tout-le-Monde qui va être confronté à des situations extraordinaires, comme on envoyait les poilus anonymes se faire dézinguer dans les tranchées. Mais chassez le naturel, il revient au galop : tant au Brésil que sur son ile, Robinson n'aura d'objectif qu'à se développer, à régir le monde autour de lui. On peut même voir dans son séjour sur l'ile un raccourci saisissant de l'Histoire de la civilisation occidentale. D'abord, assujettir la nature, ensuite la dominer, puis se rendre le maitre en toutes choses et, au final, évangéliser les sauvages (ou les anéantir) et sauver des compatriotes tel un seigneur oeuvrant envers les plus démunis.
D'autre part, lorsqu'il découvre sur la plage une empreinte de pied humain, Robinson éprouve la plus grande peur de sa vie. Il va s'enfermer à double tour dans sa caverne, refusant d'utiliser son fusil (le bruit) et d'allumer un feu (la fumée) qui pourrait dénoncer sa présence à ces envahisseurs. Commence alors un délire sécuritaire qui montre bien que Robinson est un réactionnaire pur jus.
4. Robinson est délivré par des pirates. Faux.
Des mutins tout au plus. Cela évoqué, il reçoit de nombreuses visites, à commencer par des sauvages anthropophages. Se pose alors la question du pourquoi il ne tente pas de s'évader de sa prison. Eux sont venus, pourquoi ne pourrait-il pas s'échapper?
5. Robinson est malin. Faux.
Je reconnais qu'il n'est pas manchot et qu'il parvient à récréer un monde, son monde au coeur de l'ile, érigeant même une résidence secondaire sur l'autre versant de l'ile, plus accueillant. Mais, passer plus de six mois à abattre puis creuser un tronc d'arbre en guise de pirogue avant de s'apercevoir qu'il sera dans l'incapacité de le trainer jusqu'au rivage… Robinson serait-il blond?
6. Vendredi est sa conscience. Faux.
Contrairement au criquet de Pinocchio, Vendredi n'est seulement qu'un sauvage sur le point d'être boulotté par ses ennemis et que Robinson sauve (le premier d'une longue liste…). Intensément redevable, il devient son esclave délibéré. J'ai dû me laisser abuser là encore par le roman de Tournier.
7. L'histoire se termine quand Robinson est délivré. Faux.
En réalité, elle commence bien avant son échouage sur l'ile déserte et perdure bien après, ce volume n'étant que le premier d'une trilogie. Il sera même question ici d'aventures montagneuses avec un épisode mettant en scène une horde de loups affamés!
8. Robinson Crusoé est une bible. Vrai.
Après tant d'aventures et ayant fait son nid sur l'ile, Robinson se repend. Il reconnait sa désobéissance filiale et les moeurs de marin qui l'ont conduit à ce naufrage. Ce roman est celui de la rédemption. Dès lors, Robinson ne voit plus que par la Bible, qui tient lieu de référence à tout ce qu'il entreprend. du reste, sa colonisation de l'ile ressemble à s'y méprendre à l'essor de la civilisation judéo-chrétienne. Il ne se contente pas de rester un chasseur-cueilleur comme les tribus primitives, mais développe l'agriculture, puis l'élevage avant d'évangéliser Vendredi et de retrouver la civilisation, largement pourvu des dividendes de sa plantation laissée au Brésil avant le naufrage. Robinson n'est donc pas un exilé, un va-nu-pied, mais bien un chef d'entreprise.

Je suis un peu exigeant. Comme tout roman fondateur, sa lecture fait naitre quelques belles envolées philosophiques. En voici quelques simples exemples :
La connaissance empêche de vivre heureux, la peur nait de la conscience du danger.
L'argent n'a plus raison d'être hors de la société. La valeur des choses est en rapport avec leur utilité.
Le but de la vie est de créer, de produire quelque chose. La réflexion sur tout ce qu'il faut mettre en oeuvre pour obtenir un simple morceau de pain vaut son pesant d'or et m'a fait repenser à une vidéo vue sur le net où un personnage tentait de se faire un sandwich par ses propres moyens (cultiver le blé pour la farine du pain, faire pousser les tomates, élever du bétail pour obtenir du lait afin d'en faire du fromage, récolter le sel et autres condiments, trouver une source d'énergie pour faire cuire, etc, etc). Cela amène au final à cette question simple : combien de temps pourrions nous survivre dans la nature, coupé de notre confort, sans rien?
J'avais un peu d'appréhension concernant le style pour un roman paru il y a bientôt 300 ans. Cependant ça se lit comme on déguste une crème glacée à part que Defoe fait un usage immodéré du subjonctif. Enfin, on aurait pu imaginer une description romantique de ces contrées exotiques, à la place nous n'avons que le côté pratique des choses, jusqu'à la comptabilité pure et simple. Lire (ou relire) Robinson est, somme toute, très instructif s'il n'est pas aussi jouissif que l'on pouvait espérer.

Commenter  J’apprécie          10
Pfiou, quelle lecture fastidieuse que celle de Robinson Crusoé ! Et pourtant, pas inintéressante non plus. Mais laissez-moi vous expliquer tout ça…

Robinson Crusoé, c'est 783 pages (en ce qui concerne mon édition en tout cas), divisées en deux grandes parties d'approximativement 400 pages chacune. Et à l'intérieur, du texte, du texte, du texte, pas un seul chapitre. Ou on pourrait dire aussi un chapitre de 400 pages environ. C'est dense, très, un peu trop à mon goût. J'ai du mal avec ce principe parce que du coup, je ne sais pas quand m'arrêter et je trouve ça un peu démotivant. Parce que sinon, on peut se dire « aller, encore un chapitre et j'arrête », mais pas là !

Robinson Crusoé, c'est aussi un livre publié au début du 18ème siècle et on le ressent énormément dans le style d'écriture parfois un peu pompeux et assez lourd encore que plus accessible à mon sens que certains grands classiques français.

Tout le monde connaît déjà plus ou moins l'histoire de Robinson Crusoé, comment il s'est retrouvé tout seul sur une île déserte pendant presque 30 ans, comment il a finalement trouvé quelqu'un sur son île qu'il a appelé Vendredi… J'ai été surprise de découvrir qu'en fait, sa vie sur l'île déserte ne constitue qu'à peine la moitié du roman. le reste de l'histoire n'est que description des autres voyages qu'il a faits ensuite. A mon sens, la partie la plus intéressante, c'est justement celle où il se trouve sur l'île et où on voit comment il apprend à se débrouiller pour survivre d'abord puis pour vivre de façon assez confortable ensuite. Tout le reste m'est apparu comme assez rébarbatif.

Quant au personnage de Robinson lui-même, autant il m'est apparu comme sympathique au début de l'histoire, autant j'ai fini par ne plus l'apprécier du tout à la fin. En fait, tout le moment où il est tout seul sur son île, Robinson est raisonnable. Il apprend à se débrouiller tout seul, fait preuve de beaucoup de bon sens. Il apprend même ce qu'est le bonheur. Parce que oui, comme il le dit lui-même, il s'est trouvé parfaitement heureux sur son île, complètement déconnecté de la société. Même si tout ceci ne l'a pas empêché de sauter dans le premier bateau qui passe pour partir de son île.

Là où le personnage a fini par me déplaire, c'est justement à partir du moment où il rencontre Vendredi. Et tout va de mal en pis par la suite. Robinson m'est rapidement apparu comme quelqu'un qui se pensait totalement supérieur à tous les autres. Lorsqu'il sauve Vendredi des mains des cannibales qui viennent festoyer sur les côtes de son île, il se dit « chouette, je vais avoir un serviteur ! » et il l'éduque à sa manière, lui apprend à lui obéir, à l'appeler maître et l'initie à sa religion. Il continue de même avec les autres personnes qui finissent par se retrouver sur son île, se considérant un peu comme leur roi à tous, n'attendant pas moins d'eux qu'ils n'acceptent de sacrifier leur vie pour le protéger lui en cas de besoin.

Au fil de ses voyages suivants, il devient de plus en exécrables, se contentant de juger constamment la conduite des autres peuples qu'ils rencontrent, chacun étant plus barbare que le précédent. Et loin d'apprendre de la culture des autres, il ne songe qu'à les éduquer à sa propre culture ou à les punir simplement parce qu'ils ne croient pas en son Dieu.

Heureusement qu'on sait que le livre a été écrit au début du 18ème siècle, autres temps, autres moeurs, autres modes de pensée. Parce que clairement, on pourrait considérer ce roman comme raciste et colonialiste à fond.

Pour conclure, je suis très contente d'être enfin parvenue au bout de cette lecture. Parce qu'il faut aussi que je vous dise que j'avais déjà essayé de le lire quand j'étais au lycée (parce que j'en avais envie, pas pour l'école) et que je l'avais laissé tombé, en partie parce que ça ne me plaisait pas plus que ça mais aussi parce qu'il fallait que je lise autre chose pour mes cours de français. Mais bien que je sois satisfaite d'y être arrivée, en dehors du passage où Robinson est tout seul sur l'île, je n'ai pas particulièrement été captivée par cette lecture.
Commenter  J’apprécie          50
J'ai lu, enfant, Robinson Crusoé dans une version illustrée, condensée, expurgée. Comme tout le monde, j'ai rêvé de ce monde inconnu et préservé qu'à force d'ingéniosité de travail et de persévérance le héros parvient à s'adapter ; il assènera à Vendredi le sauvage paresseux et cruel une belle et prétentieuse leçon civilisatrice. Bien. Bien ! Mais déjà à six ans je me demandais pourquoi Robinson ne faisait pas de son seul compagnon de misère un ami plutôt qu'un domestique ?
À la lecture de l'édition intégrale, j'ai compris que monsieur Crusoé était un homme vilain, un contre exemple ; il abandonne l'entreprise familiale au grand dam de son père, part à l'aventure, devient négrier, s'enrichit. Mais il existe une justice immanente et Robinson fait naufrage au large d'une île déserte où il restera « prisonnier » plus de vingt ans. J'avoue que les accès de repentance de Crusoé en termes convenus m'ont agacé. Son galimatias théologico-humaniste facile ne fait pas oublier son racisme bien-pensant et satisfait de son époque.
Mais j'ai un peu tort de me montrer aussi sévère : il ne faut pas regarder le passé avec nos yeux d'aujourd'hui ; grande est encore de nos jours la puissance évocatrice du mythe créé par Daniel Defoe
Commenter  J’apprécie          20
L'histoire est célèbre : Robinson Crusoé devient marin contre l'avis de son père et après plusieurs mésaventures en mer, il échouera sur une île déserte et y survivra pendant de nombreuses années.
Comme beaucoup de monde, je connaissais l'histoire de cette grande figure de la littérature, mais je ne l'avais encore jamais lue.

C'est maintenant chose faite et me voici bien embêté pour en écrire une critique, tant je ressors mitigé de ma lecture.

De certains côtés, j'ai trouvé le roman passionnant. Robinson Crusoé fait preuve d'astuce et de courage pour survivre. Il est le roi de la débrouillardise. On a de la peine pour lui à chacun de ses échecs, heureux à toutes ses petites victoires. On ressens bien sa solitude, ses peines, ses joies... Bref, tous ces aspects du roman m'ont énormément plu.

Mais un autre aspect du roman m'a vraiment géné, d'autant plus qu'il est essentiel dans l'histoire, c'est que le roman de Daniel Defoe est tout entier imprégné de morale religieuse. Robinson Crusoé le pêcheur (il a désobéi a son père) subit milles souffrances de la main de Dieu, dans le but de faire de lui un homme meilleur. Je n'ai rien contre la religion, mais ces passages moralisateurs étaient bien trop nombreux à mon goûts.

Sans parler de la relation de Robinson avec Vendredi. Crusoé le considère d'emblée comme un serviteur (le premier mot d'anglais qu'il lui apprend est "Maître") et très vite il entreprend de lui enseigner sa religion, partant du principe qu'il n'y a qu'un seul vrai Dieu et donc que les croyances de Vendredi ne peuvent être que des mensonges professés par des imposteurs.
Du point de vue du lecteur du 18e siècle, cela se comprend. C'est même vu comme une bonne action puisque faisant cela Robinson sauve l'âme du sauvage. le lecteur moderne que je suis y a juste vu une grave marque d'intolérance et ces passages, en plus d'être très longs, m'ont plutôt évoqué un lavage de cerveau.

Au final, bien que je sois très content d'avoir lu ce classique, je l'ai trouvé très daté et trop long. Pour une fois, je préfère les copies à l'original et, aux amateurs de robinsonnades, je conseillerais plutôt Vendredi ou la vie sauvage, de Michel Tournier, dont je conserve un excellent souvenir (bien que lointain... Il faudrait que je le relise) ou, dans un genre différent, l'Île mystérieuse, de Jules Verne.
Lien : http://lenainloki2.canalblog..
Commenter  J’apprécie          162
Comme un item d'un challenge auquel je participe regroupe les mots « classique » et « jeunesse » (deux qualificatifs qui ne me font pas sauter de joie), je me suis traînée jusqu'à l'ancestrale bibliothèque familiale pour en tirer un vieux livre vert des éditions Hachette, moisi, sans ISBN (en 1938 ça n'existait pas...), et parsemé de cinq illustrations de J. Pegnard (je ne sais pas qui c'est et ses dessins ne me donnent pas envie de chercher).
Me voici donc avec le célébrissime Robinson Crusoé entre les mains. le roi des naufragés depuis près de deux siècles, puisque ce roman d'aventure a été publié pour la première fois en 1719. Ce qui nous prouve qu'il y a des morales intemporelles...
Le hic pour moi, c'est que je n'ai pas vraiment envie de me mettre dans la peau d'un enfant pour juger ce livre (oui, j'ai le droit). Forcément, il m'a manqué les questionnements existentiels à la mords-moi le noeud sur la solitude. Je suis une grande solitaire et pourtant je suis absolument certaine qu'au bout d'une semaine sur cette île je me serais pris une cuite au rhum. Robinson, lui, en un quart de siècle, ça ne lui traverse pas l'esprit une seule fois. C'est chiant la vie d'un héros de roman jeunesse, non ? Il n'a quasiment fait que bosser comme menuisier, agriculteur, tanneur... avec la Bible comme béquille psychologique. Amen (l'apéro, huhu).
Robinson Crusoé est le symbole de la longévité de l'optimisme mais moi, dans ma peau d'adulte, cette longévité m'a faite bâiller.
J'aurais dû chercher la version BD.
Commenter  J’apprécie          175
Alors que je m'attendais davantage à un roman d'aventure, j'ai été dérangé par le caractère désuet du personnage et des moeurs en cours à l'époque. Pourtant, l'ouvrage aborde des concepts qui méritent de s'y intéresser de plus près.
Finalement, j'en retiens surtout un panorama d'une époque de colonisation. Un roman qui a mon sens a mal vieilli.

Commenter  J’apprécie          20
J'ai lu la version traduite par Pétrus Borel, c'est une version très liée à son époque. les leçons de morale judéo-chrétienne y sont omniprésentes, la suprématie de l'homme blanc,civilisé et bienveillant, mise en exergue dès l'apparition de Vendredi.
A éviter si l'on cherche un roman d'aventures.
Commenter  J’apprécie          30




Lecteurs (12868) Voir plus



Quiz Voir plus

robinson crusoé(facile)

Quel est le pays d’origine de Robinson Crusoé ?

France
Chine
Mongolie
Angleterre

10 questions
120 lecteurs ont répondu
Thème : Robinson Crusoé de Daniel DefoeCréer un quiz sur ce livre

{* *}