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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
« Au nom du père », du Desberg et du Marini, amen ! le Scorpion attaque, dans ce septième épisode, le dernier arc de sa série avec un retour à Rome tonitruant et, potentiellement, riche en révélations !

Si certains lecteurs ont pu se lasser des quatre tomes consacrés à l'arc en Cappadoce et en Palestine, de Constantinople à Jérusalem, ils vont pouvoir raccrocher les wagons en retrouvant la Ville éternelle et son cortège de bretteurs, de comploteurs et de cardinaux (certaines catégories pouvant allégrement s'entrecouper). La dimension de cape et d'épée est ainsi largement développée une nouvelle fois ici (duels à l'épée, courses-poursuites sur les toits ensoleillés), ce qui entérine mon impression de retrouver là l'ambiance des deux premiers épisodes de la série.
En allant dans cette direction, nous pourrions même aller jusqu'à dire que l'intrigue du premier tome est au même point une fois ce septième tome terminé ! Nous en voyons beaucoup, mais nous en savons finalement peu : commencer à ce tome-ci pourrait même être une option finalement ! Pour autant, ne négligeons pas les atouts de cet épisode. Même si on a parfois l'impression de suivre un schéma répétitif (flashback, combat, poursuite, dialogue, flashback, combat, poursuite, dialogue, etc.), le rythme est constant, les dessins toujours aussi dynamiques (chapeau, monsieur Marini) et l'ambiance encore bien enjouée.

Ce septième tome sonne donc le retour à Rome pour le Scorpion et toute sa clique. L'arc en Méditerranée orientale s'étant terminé de manière quelque peu abrupte, la réception est un peu maladroite ici, mais l'ambiance de la capitale vaticane fait toute la différence pour nous remettre sur pied de suite. Espérons maintenant que les trois derniers tomes tiennent le rythme et surtout les promesses lancées dès le tout premier tome.

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De retour à Rome pour ce septième tome, où l'on peine à reconnaître la ville et ses joyeuses drilles qui faisaient le plaisir du Scorpion. L'atmosphère y est bien triste et Trebaldi semble bien décidé à mettre un terme à toute dérive d'une application stricte et rigoriste de la religion catholique...Bien que lui-même ne soit pas insensible aux jolies femmes qui se présentent à la cour pour servir d'ambassadeurs des royaumes alentours.

Le Scorpion, plus décidé que jamais à venger mère et père, parcourt la ville pour retrouver les responsables de son statut d'orphelin...Découvrant une vérité bien différente que celle qu'il pensait détenir jusque-là...Mais qu'un lecteur averti aurait devinée dans les tomes précédents. Pas de réels rebondissements donc, même si Au nom du père renoue avec les escarmouches dans les rues de Rome et les fuites pour échapper aux cardinaux ou aux moines-guerriers.

A noter tout de même les curieuses tractations des autres membres de la famille Trebaldi, et en particulier de Nelio que l'on devine plein de ressources retorses.
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Tome 7 : Trebaldi commence part faire un carnage dans Rome. madame Colomba. La Rome que le scorpion retrouvait en rentrant de ma Terre Sainte était plongée dans une angoisse oppressante. Méjaï à des affaires a régler. Les archives secrètes du Vatican. Cardinal Curtis. Socrates. le Scorpion = Armando. Église St Stefano. Lieutenant Crecesti. Histoire de la mère des Scorpion. Nelio. Duel Trebaldi/SCORPION.
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Une série qui rend "addict" !
Dans ce tome le scorpion et Meja avancent dans leur relation amoureuse....
Et le Scorpion en apprend plus sur la raison de la haine de Trebaldi.....
Allez, je passe au huit !
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La croix de saint pierre à été réduite en cendres dans les bras du scorpion. Celui-ci retourne sur Rome avec une ultime chance de faire plier le pape trebaldi. Seul le passé de la mère du scorpion pourrait sauver le monde chrétien.
Toujours aussi sympa
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Le Scorpion est de retour à Rome. Il ne s'est passé que quelques semaines (deux mois à tout casser) pour l'escapade en Terre Sainte. Personnellement, j'aurais tablé sur davantage, au vu des déplacements, mais bon...

On retrouve les trahisons, les familles, les duels, les escapades nocturnes et les secrets d'alcôves... Bref, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. le Scorpion reprend ses investigations sur son père... et arrive à une découverte bouleversante... On n'en dit pas plus.

Desberg a la grande intelligence de développer les seconds rôles. le Cardinal de Curtis, dernier opposant à Trebaldi. le père et le frère de Trebaldi. Deux nouveaux (et jeunes) ambassadeurs de France, un homme et une jeune femme que Trebaldi désire ardemment dès qu'il la voit et qui n'est pas sans rappeler la mère du Scorpion...

Les scènes du passé s'intègrent assez bien dans l'ensemble. Surtout grâce aux visions de Trebaldi qui a de sacrés coups de chaleur...

On retourne donc à la recette qui avait fait le succès des deux premiers tomes. Oui, mais voilà, c'est du réchauffé. Et les pâtes réchauffées, c'est pas toujours très bon. Idem avec le risotto. Y'a un os... alors c'est de l'osso bucco et ça, c'est meilleur réchauffé, mais je m'égare.

J'ai surtout trouvé Marini lmoin de son meilleur niveau. Notamment pour la poursuite en calèche, où les chevaux sont fort statiques alors qu'ils sont lancés au galop. J'attends de voir la suite...
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Pour commencer, je reste un peu dubitatif par rapport à l'autocollant ‘nouveau cycle' qui orne la couverture de ce septième tome.

Bon, c'est vrai que d'un côté la quête de la croix de l'apôtre Pierre est terminée, ainsi que le voyage au Moyen-Orient. On retrouve donc un Scorpion de retour à la case départ, toujours à la recherche de ses origines et avec un Trebaldi encore un peu plus au sommet du pouvoir de cette Rome du dix-huitième siècle.

Mais, d'un autre côté, on a beau retrouver un tome sans Rochnan et un Scorpion sans croix de Pierre ou parchemins, cette séparation de cycles parait tout de même un peu artificielle tellement la continuité des aventures des tomes précédents semble évidente. On retrouve nos personnages là où on les a abandonné dans le tome précédent et avec une quête et un environnement qui me semblent inchangés par rapport au début de la série.

Même si, dans la lignée des tomes précédents, Desberg nous livre un récit plein d'aventure, d'action et de conspirations sur un rythme effréné, les révélations sont très prévisibles et la quête d'Armando Catalano, dit le Scorpion, semble stagner. Néanmoins, entre les Trois Mousquetaires et Zorro, cette série continue de s'imposer comme une des meilleures aventure du genre "cape et d'épées".

Côté graphisme il faut une nouvelle fois féliciter un Enrico Marini qui, malgré le format «standard» sous lequel est édité cette série, parvient à s'exprimer pleinement et nous livre à chaque fois un dessin magistral, pourvu de couleurs somptueuses.

Bref, un excellent tome qui abandonne certains protagonistes dans de sales draps et le lecteur en plein suspense.
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EXTRAIT "
Septième tome, et toujours aucune faute, dans le parcours de Desberg et Marini sur cette série. L'ambiance "jeux de cours" qui se développe, en parallèle de l'action, est un pur bonheur. J'adore, pour ma part, ce subtil équilibre entre l'aventure et les intrigues politiques. Les combats de ruelle, comme les combats de palais. Et Desberg est doué sur tous les aspects. "
Lien : http://www.chroniquesdelinvi..
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Un des meilleurs de la série. le dessin est toujours magnifique et l'histoire est relancée de belle manière avec des révélations et l'apparition de nouveaux personnages à la personnalité intéressante Nelio et la Comtesse Marie Ange de Sarlat dont on pressent qu'ils vont jouer un rôle plus important.
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L'aventure s'accélère dans ce tome et ce n'en est que plus intéressant;
Retour à des graphismes sombres qui s'accompagne d'un retour à Rome pour les protagonistes.
Lien : http://lemondedemissg.blogsp..
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