Mamma Roma

quelle déception que ce roman ! après avoir savouré le gang des rêves, j'ai embarqué dans celui là avec enthousiasme. la chute a été brutale : tout sonne faux, les personnages comme l'intrigue. tout n'est que postures, scènes édifiantes censées nous éclairer sur la nature héroïque des personnages, absurdités historique (se trimballer un appareil photo pour prendre des photos "sur le vif" en... 1870), et résolution magique de toutes les difficultés rencontrées sur le chemin par les protagonistes... bref, si je mets 2 étoiles, c'est que j'ai voulu coûte que coûte finir ce livre, histoire de nourrir le maigre plaisir de suivre l'intrigue et de savoir "comment ça finit" (spoiler : tout est bien qui finit bien, les gentils sont récompensés et les méchants punis). mais ça c'est parce que je suis bon public.

COUP DE COEUR IMMENSE ! ❤

Rome, 1870. Pietro, l'orphelin est désigné par la Comptesse pour quitter l'institut et partir avec elle et son époux. Il va devoir apprendre les codes d'un nouveau milieu... Marta, orpheline aussi, a grandi dans un cirque. Elle n'y est pas née mais a été recueillie par Melo, et s'interroge sur ses origines...
Ils sont jeunes, et animés par une force incroyable. de grandes aventures les attendent...

Les quatres précédents romans de l'auteur ayant été des énormes coups de coeur, j'attendais celui-ci avec beaucoup d'impatience et d'enthousiasme !
C'est simple, dès les premières pages tournées, la magie Luca di Fluvio à opéré. Sa plume est si envoûtante, j'ai immédiatement plongé aux côtés de Pietro, Marta, Nella et les autres... J'ai été emportée par la puissance de cette histoire, par ces personnages incroyables et cette plume exceptionnelle ! ❤

Avec Mamma Roma, on plonge dans les événements qui ont conduit à l'unification de l'Italie et la chute des états pontificaux. Rome est en ébullition, elle se veut libre, éternelle, italienne... 🇮🇹

J'ai adoré la fougue de Pietro, j'ai été émue par le courage de Nella, je me suis follement attachée à Marta la malicieuse, sans oublier Melo, le sage au grand coeur...
Mamma Roma c'est un tourbillon d'émotions qui vous attend. C'est la noirceur et la cruauté de la vie, mais c'est surtout de belles valeurs et des rêves d'avenir meilleur.

Mamma Roma c'est une magnifique fresque romanesque de plus de 650 pages, mais croyez-moi, on ne les voit pas défiler. C'est un très beau voyage à Rome, ville chère à l'auteur, et cela se ressent.

Je peux paraître dithyrambique mais que voulez-vous, Luca est l'un de mes auteurs favoris! Ce livre est tellement riche et dense, mes mots ne suffisent pas, il vous faut le lire pour comprendre ! 😍

Si je dois le comparer ce petit dernier aux quatres autres romans De Luca, sachez que ce roman m'a paru moins dur et moins sombre que les précédents... Mais je les ai tous aimés d'amour, lisez les tous ! ❤

Qui adore cet auteur par ici? Et les autres, qu'attendez-vous pour le découvrir? 😘

Italie, vengeance, orphelins.
1870, Rome, période de l'unification de l'Italie(fin de l'existence des Etats Pontificaux). Nous faisons la connaissance de Pietro, orphelin qui vient d'être choisi par la comtesse Nella. La vie ne sera pas simple car elle va perdre son marie et sera ruinée; elle va errer et se cachera à Rome pour retrouver ses origines. Il y aura Marta qui vit dans un cirque.
Magnifique saga où on tremble pour nos protagonistes, où les rencontres sont merveilleuses mais parfois aussi dangereuses. Même pour le plus mauvais d'entre eux nous avons de l'empathie. Ca grouille, ça se bat, ça se dévoile, l'amour est là mais on tremble. Quel écrivain incroyable, Di Fulvio était. Je me voyais dans ces rues à Rome.
Il y a tout dans ce livre: amour, violence, chantage, cruauté, amitié, politique.
Très belle aventure.

Mamma Roma de Luca di Fulvio est excellent tout comme ses précédents romans.
Cette fois ci l'action se passe en 1870 à Rome qui appartient jusqu'alors au pape et on va vivre ce qui précède la libération de la future capitale italienne, en suivant trois personnages principaux formidables.
C'est un roman très dense, très bien documenté, passionnant, émouvant. Comme avec chacun de ses livres, l'auteur nous embarque avec lui de la première page à la dernière !
J'ai le soleil des rebelles dans ma pal que je vais essayer de lire cet été !

Décidement je n'accroche pas du tout à cet auteur , c'est à mon sens un roman passable de plage mais pas plus, c'est mièvre au possible, c'est convenu, les personnages sont clichés.. et on s'ennuie ferme... l'écriture est catastrophique, aucun style.. bref du bon gros roman commercial à souhait, typiquement le style d'auteur qui suit un filon et qui va pouvoir l'épuiser avec sa clique de lecteurs fans et lecteurs en quête de gentilles bluettes bien guimauvantes.. il y a tellement mieux...

Mamma Roma, Luca di Fulvio
Lire Luca, c'est prendre une immense inspiration et s'enivrer de la Vita… elle est Dolce Vita pour nous, lecteur, mais Roma est également combat, sang et guerre dans ce livre ; elle vous écrase, vous bouleverse, vous entraîne et vous dépasse. Et pourtant, qu'elle est belle, Roma, dans les yeux de Martha et Pietro, dans leurs combats, leurs espoirs, leurs doutes et leurs peurs même.
Il est des livres qui nous donnent du baume au coeur et font résonner l'espoir à notre corde sensible. Ce livre est de ceux-là. Alors si vous aimez les romans historiques, si vous aimez les personnages forts et sensibles, à genoux parfois mais toujours prêts à lutter et que vous êtes prêts à passer un moment dans les mots d'un conteur né… je ne sais pas ce que vous faites encore là… rendez visite à votre libraire !

1870

Il y a Pietro 16 ans orphelin, rêve de changer le monde.

Il y a une Comtesse avec l'ambition de changer le cours des événements.

Il y a Marta, une artiste de cirque aux aspirations révolutionnaires.

Trois existences que Rome finit par réunir.

Leurs aventures auraient pu être courtes et vite s'arrêter mais ce serait mal connaître Luca di Fulvio et son talent de conteur pour faire naître des histoires aux fabuleux destins.

Dans Mamma Roma, j'ai retrouvé des petits bouts du Gang des rêves, des morceaux des Enfants de Venise avec des fragments des Prisonniers de la liberté et un léger soupçon du Soleil des rebelles. Tous ces romans réunis dans un seul.

Mamma Roma

Les personnages vont assister à la naissance de Rome. Rome leur mère patrie. Rome qui est en ébullition, entre misère et noblesse occupée par une armée française. Rome se veut libre, la confrontation est proche. Rome évanescente. Rome éternelle. Rome Italienne.

Ce roman est une soif d'indépendance, de liberté, d'amour et de rêve.

Une grande épopée aux multiples hasards.

J'espère que vous aurez pris du plaisir à me lire, j'ai essayé tant bien que mal de trouver les bons mots qui correspondent parfaitement à Mamma Roma, certains passages m'ont serrés le coeur, je n'ai pas ressenti le grand coup de coeur auquel je m'attendais mais c'était une très bonne lecture, une ballade magique et mystérieuse au coeur de Rome, c'est un livre tellement riche et dense qu'il est difficile d'en parler, il y a tellement de choses.

Lien : https://deslivresmonunivers...

M a m m a R o m a ♥️
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Luca.
Mon auteur chouchou.
Des coups de coeur à chaque fois.
Le rendez-vous que je ne manquerai pour rien au monde !
Mon petit coeur bat encore tout fort après avoir lu cette merveille. Car oui, ce livre, c'est une merveille ♥️
Une MER-VEILLE !
Un bonbon, un petit bijou, une pépite ! Vraiment ! ♥️
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Rome, 1870.
On y rencontre Pietro, orphelin passionné par la photographie. Marta, révolutionnaire dans l'âme. Nella, la comtesse qui m'impressionne par sa force et sa rage de vivre. Mais aussi Melo, Henri, Ludovico, et même l'Albanese !
Et on voyage en Italie, qui n'est pas encore l'Italie. À Rome, qui est encore occupée par les troupes françaises. En pleine guerre pour une Italie libre !
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Quel coup de coeur ! ♥️
J'ai tellement aimé cette histoire ! Si je devais la comparer aux précédentes, je dirais qu'elle est moins sombre, moins dure, moins violente, mais pas moins puissante.
Luca m'impressionne vraiment avec ses histoires et ses idées. On retrouve sa magnifique plume ainsi que sa merveilleuse manière de conter les histoires, et on se retrouve transportés dans une Rome des années 1870 comme on ne l'imagine pas.
C'est 700 pages de pur bonheur !
Ce que j'adore avec ses livres, c'est que c'est typiquement le genre de livres que je peux relire (alors que je ne relis jamais un livre que j'ai déjà lu) mais là… j'aime tellement les histoires De Luca que j'ai envie de les lire, et relire, et encore relire !
Et Mamma Roma en fait partie ♥️
On sent qu'elle a été écrite avec le coeur. On sent aussi ce lien spécial, cet attachement que Luca a avec sa ville natale, vu la manière dont il en parle ♥️
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Bref, je déborde d'amour pour ce livre, et j'ai juste envie de vous dire que vous pouvez y aller les yeux fermés, parce qu'un gros coup de coeur vous attends !

Le 5 mars 1870, Pietro (bientôt seize ans) orphelin confié aux (mauvais) soins du Regio Istituto di San Michele Arcangelo d'Olengo fut – contre toute attente – adopté par la Comtesse Silvia di Boccamara et son époux, Ipolito Odin.

Sur les chemins italiens, Marta (quinze ans) vit depuis sa petite enfance au sein du cirque Callari. Elle a été abandonnée (elle aussi) par ses parents (ou bien volée sur une route par Melo ?…) et plus ou moins « adopté » par ce dernier.

La chance – qui avait pourtant commencé à sourire – à notre jeune ami Pietro semble brutalement le fuir : à peine arrivé dans sa nouvelle demeure, le cruel destin qui lui colle à la peau décide à nouveau de le trahir. Ruiné, Ipolito Odin se pend, laissant derrière lui sa famille faire face à son triste sort, et l'adolescent se voit contraint de fuir à Rome avec la Comtesse … Il apprendra rapidement qu'elle s'appelle en réalité Nella et appartient (comme lui-même) à la grande famille des « laissé(e)s pour compte », de ce monde sans pitié pour les plus démunis et les plus vulnérables …

Luca di Fulvio pose le décor de sa nouvelle intrigue au coeur de son pays natal, sur une période relativement courte (de mars à septembre 1870) à la veille d'une révolution en marche sur Rome, où le Pape se veut maître incontesté et incontestable … Comme à son habitude, l'auteur entoure les trois principaux protagonistes de ce roman (Pietro, Marta et la Comtesse) d'une flopée de personnages de rencontre, plus attachants les uns que les autres. Et une fois encore, j'ai passé un bien agréable moment de lecture (et d'évasion, cela va de soi) en leur compagnie !

A bien des égards, il existe de fortes similitudes entre Mama Roma et Les enfants de Venise.

En apparence, les différences sont pourtant de taille. L'histoire se déroule ici au XIXème siècles dans les dernières heures de la construction de l'unité italienne. L'histoire se déroule essentiellement à Rome et cette fois-ci la question juive ne sera pas évoquée. Mais tout cela n'est qu'illusion…

Luca di Fluvio semble ici, à nouveau, hésiter entre le roman historique, d'apprentissage, d'aventures et la romance. Comme de coutume, il lui faudra beaucoup de pages avant de faire son choix. Malgré une grande variété d'histoires secondaires, c'est finalement l'histoire d'amour qui va prendre la place la plus importante et servir de fil rouge.

Il faudra donc accepter cette décision, avant de partir pour un peu plus de huit cents pages… Les histoires secondaires sont certes intéressantes, se laissent suivre mais ne parviennent pas à nous ôter l'impression de faire du remplissage en attendant que l'histoire principale se décante.

Il va également être question d'aventures… mais là il faudra remercier les personnages qui font tout le travail. Fidèle à ses habitudes, l'auteur nous régale avec des personnalités qui ne laissent pas indifférent. S'ils sont, une nouvelle fois, la force de l'ouvrage, un certain nombre d'eux seront toutefois particulièrement stéréotypés.

le style est fluide, et en langue française, il faut saluer le travail de traduction particulièrement réussi et apprécié. Ce pavé se lira rapidement, de manière fluide, sans difficulté ni temps mort. du moins pour ce qui concerne la lettre, parce que sur le fonds c'est une autre paire de manches.

Les points positifs peinent toutefois à contrebalancer les nombreuses déceptions que suscite cette lecture. L'orientation roman historique est ici clairement inversée : l'histoire sert à l'intrigue et non l'inverse. Les explications historiques sont absentes et il faudra être à l'aise avec cette période pour comprendre les enjeux, notamment de la présence des soldats français à Rome. le manque de perspective est ici particulièrement troublant… comme si tout cela est au final n'est pas si important que cela.

Pour de rien arranger, les approximations historiques sont nombreuses et visibles. L'auteur en reconnaît une, de taille qui plus est, mais il ne s'agit pas de la seule. de manière générale, il est difficile de croire un seul instant que tout cela ait pu arriver, ôtant à peu près tout crédit à cette lecture.

Les intrigues sont cousues de fil blanc et franchement prévisibles. Il n'y aura donc ici pas vraiment de surprises, ce qui est particulièrement décevant pour un roman aussi long. L'auteur suit sa trajectoire, sans explorer d'autres sentiers, bien plus intéressants.

Enfin, et sans en dévoiler plus que nécessaire, l'orientation générale de l'oeuvre, ne surprendra guère les habitués de l'auteur, malgré un dénouement qui se laisse désirer trop longuement.

Finalement, malgré de nombreuses bonnes volontés, voici un roman qui devient trop rapidement ennuyeux et prévisible. A réserver aux adeptes de l'auteur.