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3,76

sur 7043 notes
En me prêtant ce roman, j'étais prévenu : le nombre important de personnages est perturbant et peut rendre la lecture laborieuse. Forte de cette information, pour être sûre d'avoir bien en mémoire tous ces personnages, j'ai lu en un après-midi un bon tiers, et en l'espace d'une semaine, j'ai finalement dévoré ce gros roman.
Il est vrai qu'il y a du monde, et les divers va et vient entre le passé et le présent rendent cette lecture tortueuse, au point où je me suis dit qu'inévitablement, l'auteur, à un moment ou un autre, ne doit plus lui-même s'y retrouver. Que c'est alambiqué !
Je me suis laissée entraîner, peut-être trop facilement au vu des critiques négatives, et j'ai passé un bon moment de lecture.
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Bon, pas facile pour moi d'écrire cette critique….
J'ai été plutôt emballée au début, au point de ne pas pouvoir lâcher le livre sur la première moitié. L'histoire alterne entre deux périodes, celle du quadruple meurtre de 1994, et la réouverture de l'enquête en 2014, par les mêmes protagonistes.
J'ai trouvé au départ que tout état assez limpide, malgré les multiples retours en arrière et les nombreux narrateurs, je m'en sortais plutôt bien pour suivre le cours de l'enquête.
Mais d'un coup, ça s'est sérieusement gâté. Trop de personnages, trop de détails dont je n'ai pas saisi l'intérêt. L'auteur accorde subitement un rôle important à certains personnages secondaires dont on se demande finalement quelle est la place dans cette histoire, et quel est l'intérêt de déblatérer des pages et des pages sur leurs aventures. Ne serait-ce finalement qu'une façon d'épaissir le roman ? Plus de 600 pages, était-ce bien nécessaire ?
Et que dire du style de l'auteur ? Les dialogues sont pauvres, risibles parfois, on se croirait presque dans un vaudeville, style qui ne me semble pas adapté à une telle histoire ; des fautes de syntaxe pointent leur nez ici et là, à se demander si ce n'est pas des erreurs d'impression, mais non il y en a trop, c'est bâclé, Monsieur DICKER vous m'avez déçue.
Pourtant j'avais aimé ses deux précédents romans, leur originalité aurait-elle fait que je sois passée à côté de ces défauts d'écriture ?


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Curiosité, quand tu nous chopes. Depuis pas mal de temps maintenant, mes esgourdes piaillent à force d'entendre parler de ce môsieur best-seller, léché comme il faut, qui écrirait « divinement bien » et tiendrait en haleine durant 600 pages. J'en ai les tympans en marmelade. Mes yeux, eux, n'en peuvent plus d'assister au folklore de groupies aux culs embrasés prêtes à écarteler le premier chenapan qui oserait pointer du doigt le beau gosse de la sphère. En gourmet littéraire qui se respecte, il fallait que j'y mette mon doigt. J'ai acheté le truc.

La disparition de Stephanie Mailer est donc un bouquin, censé être policier, dont l'intrigue principale consiste en la résolution du meurtre de ladite Stephanie, journaliste téméraire disparue puis retrouvée morte noyée quelques jours après avoir remué une affaire bouclée 20 ans plus tôt : le meurtre de 4 personnes – une vraie boucherie, répète plusieurs fois l'auteur, histoire que vous l'imprimiez bien, ne sait-on jamais – dont le maire de la ville. Wah mais qui a donc pu tuer cette pauvre Stephanie ? Et pourquoi ? Naaan tout est lié, les enquêteurs ont du louper un truc il y a 20 ans. Il faut le trouver.

Voilà ce qui vous attend dans ce bouquin digne des pires sketchs bulgares (je n'en connais aucun). « Écrire, c'est mettre des mots ensemble qui forment ensuite une phrase », affirme l'auteur derrière un de ses nombreux personnages caricaturés. Il définit là exactement ce qu'est ce machin : une succession de mots pris à la volée puis posés là, sans vie.

Ce livre en quelques mots : des scénarios et dialogues chimériques dans un univers inexistant (on sait que ça se passe aux States, mais ça s'arrête là, aucune description, rien qui nous permette de nous y projeter), des scènes vermoulues tout plein, des enchaînements plus décousus que mon dernier coït interrompu. Bref, zéro dynamisme. Je vous refais un des scénars du m'sieur (dans son style, s'entend) : Un mec marié se tape son assistante dans une idylle toute festoyante. le type réalise, après moult suçailles de pomme, que cette relation lui est toxique et décide d'y mettre un terme. Mais *surprise surprise* la meuf menace de tout déballer à la presse si jamais il osait *wahhhou*. le mec n'a pas le choix, il doit la tuer pour sauver sa carrière. Pile poil au moment où il se décide, une occaz du feu de Dieu se présente, YES ! Il réussit donc à buter la nymphe (avec une pierre, s'il vous plait) dans une ville fraîchement plongée dans le chaos. Coup de bol, personne ne l'a vu. Il peut se tirer tranquille. Mais naaan, il revient, décide de foutre le cadavre dans le coffre de sa bagnole, traverser la ville, rejoindre Los Angeles, prendre la route pour des vacances avec sa femme et ses gosses dans leur voiture (avec le macchabée à l'intérieur, 3 JOURS DURANT), se rendre dans une autre ville et jeter le corps. Bingo ! Attendez deux secondes, on n'est pas dans du foutage de gueule pur et dur, là ?!

Trouver un compliment pour ce récit s'avère une mission digne d'un India Jones. Il est tellement creux et insipide que c'en devient écoeurant. Je n'exagérerais pas si j'affirmais que les ronronnements de la chatte à ma cousine sont inaudibles comparés à ceux des phrases ici.
« Oui, elle avait tout pour elle. Elle plaisait beaucoup aux hommes, tout le monde tombait en pâmoison devant elle. Les mauvaises langues diront que c'est grâce à elle si la librairie d'Orphea marchait si bien à l'époque. »
Je vous laisse compter le nombre de « elle ». le pire c'est quand il essaie des trucs du style :
« Si on lui avait donné une pièce de monnaie chaque fois qu'elle s'était entendu dire cela, elle nagerait aujourd'hui dans une piscine remplie d'argent. »
Fichtre-bleu ! Mais que diantre essaie-t-il de me dire ? Sans blague, Dick !? Naaaaaan ! Avouez que c'est à s'en extirper les ovaires de rire. Dans la même veine, vous avez « le maire avait crié tellement fort que les murs avaient tremblé. Un silence de mort régna soudain ». Wow ! Je vous épargne ses « figures de style » manière « Donc si je comprends bien, résuma Michael, tout est lié mais rien n'est lié. » You rock !

Pour compenser la frigidité de son récit, l'auteur s'engouffre dans de mièvres réflexions qui auront pour seul mérite de ternir une affabulation déjà frêle et monotone pour un résultat plus soporifique que l'intégrale de Gounelle. Il ne s'y passe rien, macache bono, à tel point que vous pourrez commencer la lecture puis sauter 200 pages, vous en serez toujours au même point.

Et l'enquête, nom d'une chagasse ! Une suite d'hypothèses capillotractées pour des enquêteurs d'un crétinisme qui ferait de l'ombre à Youssouf Fofana. le mec pastiche même les critiques, mais c'est d'un ridicule ébouriffant !

Allez, on s'arrête là. Entre les dialogues sourds, les répétitions (putain comment il se répète, le mec !), les mafieux qui jacassent on dirait Ruquier, le style collégial, contrairement à papa dans la bonne, ça passe pas ! Je n'ai rien ressenti ; ni doute, ni émoi, ni surprise, ni entrain, niet ! À part une irrépressible envie de dégueuler mes viscères. Un bouquin infecte et intellectuellement navrant.
Lien : https://uncomptantpourriende..
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Pour me situer, j'ai beaucoup aimé « la vérité sur l'affaire Harry Québert » et « le livre des Baltimore ». Donc j'attendais un livre de la même veine et du même style. Ce qu'on appelle un lecteur conquis d'avance. D'où, peut-être ma déception au fil des pages, car je n'ai pas retrouvé les mêmes ingrédients.
Pourquoi Dicker a-t 'il situé cette histoire dans les Hamptons dans un lieu qui n'existe pas cette histoire pouvait se dérouler dans ce cas n'importe où, alors pourquoi pas en Suisse ? Orphea lieu des évènements est un lieu fictif donc impossible de visualiser les scènes….Par contre il semblerait que la ville de bridgehampton soit celle décrite... Voir ocean road hamptons. Pour moi qui aime situer les histoires dans des lieux j'ai été déçu. Et aucune musique n'est venue remplacer ce manque !!
Quant à l'intrigue on pourrait croire qu'elle s'est forgée au fil de l'écriture et que ce sont les personnages qui ont décidé du coupable parmi eux.
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Je trouve que les personnages manquent de corps et de caractères. Nous n'avons pas d'information sur leurs origines et leur histoire. Seule une description de la jeunesse de Jesse intervient dans le récit de la page 489 à la page 505. Ce paragraphe décrivant très bien le personnage de Jesse au travers de sa jeunesse aurait dû à mon sens intervenir plus tôt dans le livre pour mieux camper un des personnages central du roman. Je suis friand de citations et c'est dans cette partie du livre où mon appétit a été récompensé, mais ailleurs le champ des possibles est devenu un petit jardinet. Ce livre souffre de la comparaison avec l'affaire Harry Québert où les citations de son cru foisonnent.
A la Page 153 on découvre de nouveaux protagonistes la famille Eden sans raison apparente !!! Cette famille vient s'inscrire dans cette histoire pour faire le nombre…..
Page 218 Kirk Harvey ancien chef de la police d'Orphéa et vivant à L.A. accepte de révéler la vérité sur les meurtres de 1994 si on lui laisse présenter sa pièce au festival de théâtre !!! Incohérence, comme beaucoup d'autres situations où l'on a peine à imaginer que cela puisse se produire.
J'ai envie de relire la vérité sur l'affaire Harry Québert pour revoir si ma lecture et mon appréciation étaient justes, car je trouve beaucoup trop de différences avec ce roman. Pourquoi autant d'emballement à l'époque ? L'écriture était dynamique et le sujet maitrisé. le seul point commun entre ses deux livres, la structure du titre et la photo ! Pour le reste c'est-à-dire « la littérature » il faudra probablement attendre le prochain, mais là il va être attendu d'une façon différente de celle-ci.
Dans la série des page-turner j'ai vu beaucoup mieux. Ce n'est évidemment que mon appréciation.
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C'est avec ce pavé que je découvre Joël Dicker. On l'avait tellement encensé pour son roman précédent, que j'ai préféré me faire une idée avec un autre.
Et je ne suis pas déçue (et je vais donc lire Harry Quebert).

La disparition de Stéphanie Mailer est connue dès le début du roman bien entendu; l'intrigue réside donc dans l'enquête menée par deux policiers. Ceux-ci avaient bouclé une affaire de meurtre il y a vingt ans, affaire dont la journaliste disparue venait justement de remettre en cause l'issue.

Bien que ce soit un pavé, le roman se lit à une vitesse folle car on accroche dès les premières pages. La technique de Joël Dicker qui consiste terminer chaque chapitre ou presque sur un cliffhanger et à alterner passé (1994) et présent (2014) n'est bien entendu pas étrangère à cette addiction.

Certains personnages sont bien installés dans le roman dès le départ, même si chacun détient une part de mystère jusqu'à la fin tandis que d'autres font leur apparition, parfois de manière étonnante, au court du récit. Et la plume de Dicker parvient à tisser un véritable écheveau complexe mais crédible au fur et à mesure que se déroule l'histoire.

Bien entendu, certaines ficelles sont plus grosses que d'autres, et on n'a pas l'effet WAOUW à la fin. Mais le roman est efficace dans son genre; les personnages sont soit attachants, soit limite exécrables tant l'auteur parvient à leur donner une réelle consistance.

La disparition de Stéphanie Mailer est donc un page turner redoutable qui ravira les amateurs du genre.
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Ce livre m'a laissée perplexe. Une intrigue intéressante à la base, du suspense, des allers-retours dans le passé (un peu trop quand même) mais des invraisemblances et des personnages bâclés, improbables... Pourquoi l'auteur n'a t-il pas plus travaillé la psychologie de ses personnages pour les rendre un minimum plus crédibles ?

L'évolution de la plupart des personnages est bourrée d'invraisemblances... En voici quelques unes :
- le critique Ostrovski à l'ego surdimensionné qui accepte de se ridiculiser dans la fameuse pièce de théâtre "La nuit noire",
- le type prêt à tout pour sauver sa femme qui s'engage dans une spirale du crime mais qui vit ensuite heureux, la conscience tranquille, jusqu'au moment où les événements l'amènent à recommencer ses assassinats,
- celui présenté comme étant honnête, généreux, qui refuse de se laisser corrompre mais qui va accepter de commettre un crime,
- le policier décrit comme étant nul, harcelé par tous ses collègues qui le jugeaient incompétent et qui va s'avérer plus malin que nos deux héros policiers,
- ces deux derniers, soi-disant les meilleurs, mais qui se sont finalement complètement plantés vingt ans avant, bâclant leur enquête au point de ne pas avoir découvert la corruption qui gangrenait la ville alors qu'elle était de notoriété publique...
Bref, j'en passe...
Ne relit-on plus les manuscrits avant de les éditer ? Il est bien dommage que les responsables d'édition n'aient pas suggéré le remaniement des passages ou des personnages incohérents de ce livre.
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Avant d'écrire ma petite critique, j'ai relu celles que j'avais rédigées pour les deux précédents ouvrages de J. Dicker. je les résume ainsi : très emballée pour "la vérité sur l'affaire Harry Québert", un peu déçue par "le livre des Baltimore". Pour le troisième ouvrage mon sentiment est plutôt très déçue. A ce rythme je pense que je m'abstiendrais de lire le prochain ouvrage.

J'ai lu ce livre sur tablette. Il m'a été envoyé par Gwen 21 en décembre 2018, en remerciements pour 20 critiques portées sur "challenge pavés 2018". Elle me précisait :"voici ton choix. Je t'en souhaite une lecture plus récréative que pour moi."

Je ne vais pas le résumer, cela a été fait très bien par de nombreux babélios. J. Dicker est intelligent car avec une histoire et une intrigue pas vraiment exceptionnelles il réussi à faire de son livre un "page turner". En le lisant on se dit "c'est pas terrible" mais on fait défiler les pages et les chapitres, pour connaître le dénouement.

Même si ce n'est pas un très bon livre je n'emploierai pas pour le définir, comme l'a fait l'un des critiques du Masque et la Plume, l'expression préférée de la grand-mère de l'enquêteur Jess Rosenberg "c'est de la merde". 😂








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Jesse Rosenberg avait tourné la page sur sa vie de flic, sur son passé à la criminelle, il n'aspirait qu'à prendre sa retraite tranquille pour se consacrer à son grand projet. C'était sans compter l'apparition d'une jeune journaliste à sa soirée de départ, venue lui annoncer que le meurtrier désigné en 1994 pour le quadruple meurtre d'Orphea n'était pas le bon! Cet échange sera probablement resté sans suite si Stephanie Mailer n'avait pas subitement disparu dans des circonstances alarmantes, convainquant Jesse de reprendre l'enquête. Meurtres, théâtre, gloire, tromperies, mensonges, souvenirs tragiques : la vérité n'éclatera qu'au prix de nombreux et divers rebondissements !

Joël Dicker sait y faire, il n'y a pas à dire. Une fois entrés dans l'univers de son roman, difficile d'en sortir. Rythmé par des chapitres courts, des témoignages, des flashbacks, c'est un récit riche et foisonnant qui nous transporte irrémédiablement au coeur de l'intrigue. Plus on lit et plus on échafaude d'hypothèses, on a lu La Vérité sur l'Affaire Harry Quebert, on sait comment fonctionne l'auteur, on pense qu'on a compris… Mais il y a toujours un revirement, un élément en plus pour contredire notre théorie et nous mettre dans les pattes un nouveau suspect, un nouvel indice, un nouveau témoin. Alors on tourne les pages, toujours plus vite, on dévore les lignes toujours plus rapidement pour avoir le fin mot de l'histoire.

Véritable page-turner, ce roman n'en est pas moins exempt de quelques longueurs, quelques passages dont on ne sait pas vraiment ce qu'ils apportent à l'intrigue – si ce n'est qu'ils perdent le lecteur en l'intéressant à la vie de personnages complètement auxiliaires qui n'ont rien à voir avec rien. Calcul de l'auteur? On ne peut pas s'empêcher, une fois le livre refermé de se dire que finalement c'est un peu simple, après toutes les hypothèses qu'on avait échafaudé dans notre tête. Il fallait y penser, ça c'est sûr, mais enfin pourquoi mettre là-dedans trente-cinq personnages annexes et quinze histoires tragiques du passé sans aucun rapport avec l'enquête en cours?

Il n'en reste pas moins que, malgré ces quelques questionnements post-lecture, on passe ici un très bon moment à courir après les témoins aux quatre coins des Etats-Unis, à se goinfrer de sandwichs pendant les planques, à reconstituer des murs d'enquête sur des tableaux magnétiques – bref, à faire tout ce qui constitue une bonne enquête bien compliquée. le tout assaisonné d'une dose d'humour un peu loufoque amené par quelques personnages décidément assez improbables, on ne s'ennuie pas !
Lien : https://theunamedbookshelf.c..
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J'ai mis le temps pour découvrir ce roman qui m'a emporté dans une enquête très complexe, j'ai mis quand même un mois pour le lire tranquillement.
La disparition de Stéphanie Mailer a permis de recommencer une nouvelle enquête sur le quadruple meurtre du maire d'Orphéa et de sa famille.

Anna ainsi que nos deux anciens policiers Jesse et Derek vont devoir reprendre tout depuis le début suite aux nouveaux indices.

Je me suis un peu senti embrouillée par moments car l'auteur par un peu dans tous les sens et j'ai perdu le fil de l'histoire car Stéphanie Mailer avait vraiment disparu de cette histoire ou d'autres meurtres se dévoilent et d'autres personnages qu'on découvre en tournant les pages. Une pièce de théâtre, la nuit noire arrive à nous captiver afin de mieux nous détourner du coupable dont je ne me serais jamais douté.
Un ancien flic va dévoiler le nom du véritable coupable ou est-ce un moyen d'attirer du monde pour voir cette pièce de théâtre absolument nullissime.

Dans ce roman il y a beaucoup de suspects et l'auteur nous emporte dans de multiples fausses pistes afin de mieux réussir son final.
J'étais un peu déçu que l'un des personnages s'en sorte aussi bien après avoir tué sa maîtresse. Sinon c'était vraiment un roman très mystérieux et impossible de savoir où l'auteur va nous balader tout le long du livre.
J'ai bien aimé ce roman mais j'ai trouvé quelques longueurs et je me suis sentie un peu perdue à certains moments.

Lien : https://sabineremy.blogspot...
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L'énorme attrait de ce roman réside vraiment dans la structure de l'histoire, qui est très bien construite, précise et extrêmement bien écrite.
Alors pourquoi ne pas mettre 5 étoiles ?
J'aurais tendance à dire que le trop est l'ennemi du bien !
Par moment, j'ai trouvé qu'il y avait trop de détails, trop de flash back, trop d'éléments connexes à l'histoire. le début de l'histoire est parfaite, tout comme la fin d'ailleurs. Cependant dans le milieu, je me suis parfois embêtée, surtout avec le personnage de Harvey, qu'on décrit sans arrêt comme un homme irascible.
Ma collègue m'a dit que ce n'était pas le meilleur roman de cet auteur, j'ai donc hâte de voir ce que le "meilleur" donnera et si il attendra les 5 étoiles !
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