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3,75

sur 7010 notes
Génial ! Joël Dicker a un don pour écrire des romans vraiment prenant du début à la fin. Je ne me suis pas ennuyée une seule minute, tout s'enchaîne. J'aime sa façon d'écrire et de tenir le lecteur en haleine grâce au changement de personnages dans la narration. Oui, parce que le nombre de personnages est important, il y a donc beaucoup de suspects et cela demande d'être attentif !
J'avoue avoir deviné le coupable et son motif à un certain moment du roman mais Dicker est parvenu à me faire aller vers d'autres pistes, d'autres suspects.... le doute persiste jusqu'au bout.

Je recommande vivement ce livre pour tous les amateurs d'enquêtes, ne vous laissez pas impressionner par le nombre de pages, parce qu'à la fin, vous voudrez qu'il y en ai davantage!
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Ce roman est un polar grand public avec un suspense maîtrisé mais pas haletant. J'avais aimé les arcanes de la vérité sur l'affaire Harry Quebert, ce roman est beaucoup moins surprenant.

L'histoire est basée sur la réanalyse d'une enquête policière. Alors qu'il s'apprête à partir en retraite, Jesse est interpellé par une jeune femme, Stephanie Mailer, qui lui annonce qu'il a foiré l'enquête pour quadruple meurtre menée 20 ans plus tôt. Sur les entrefaites, Stephanie disparait.

Jesse enquête sur la disparition avec la police locale, représentée par Anna, et découvre que Stephanie a bel et bien disparue, enlevée puis tuée et que son meurtre a peut être un lien avec l'enquête qu'elle menait sur le quadruple assassinat. Nos enquêteurs rouvrent leurs dossiers et découvrent de nouveaux indices.

Tous les éléments de la recette du polar sont dans ce livre, avec un zeste de page-turner : cela sent un peu trop le roman formaté. Bien sûr, il y a des fausses pistes, sinon ce ne serait pas drôle ; il y a une galerie de personnages, dont certains sont assez intéressants, et l'incontournable secret qui hante les flics mais j'ai trouvé que le livre était un peu longuet et s'essoufflait par moment, il y a bien une centaine de pages de trop.
Lien : http://jimpee.free.fr/index...
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Je découvre Joël Dicker par ce roman. Je n'avais pas pris le temps de lire La vérité sur l'affaire Harry Quebert, lequel avait rencontré un vif succès. Je n'ai pas été déçu, j'ai même beaucoup aimé. J'ai été très admiratif de la " technique " de l'auteur : foisonnement des personnages, enquête policière sur un mode journalistique " à l'américaine " et révélation du coupable à l'extrême fin. le scénario est mené d'une main de maître, la mécanique fonctionne avec une précision de métronome et les rebondissements s'enchaînent, sans aucune rupture de rythme sur 630 pages. J'ai lu ce livre presque d'un trait, ce que je conseille car nous sommes ainsi plus assuré de bien garder le fil rouge en main. L'intrigue, originale, nous tient en haleine et les petits secrets de chacun des protagonistes pimentent la recette. Joël Dicker nous livre également une bonne analyse de la société privilégiée new yorkaise qui prend sa villégiature dans les très chics Hamptons. Un bon roman !
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Malgré un début de roman prometteur et une intrigue accrocheuse illustrée par une multitude de personnages, ce roman se révèle rapidement décevant tant l'histoire est plus que burlesque mais peut-être que c'était voulu par l'auteur. Trop de longueurs, trop d'incohérences, trop de caricatures, une écriture lassante et des protagonistes parfois si grotesques que s'en est écoeurant. L'auteur nous avait habitué à mieux !
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Voilà un livre sans faux pli, tout est parfait, tellement parfait que je n'ai pas été emportée par l'histoire, j'ai trouvé la lecture de ce roman fastidieuse. Ce qui fait l'originalité des livres de l'auteur en insérant une histoire dans l'histoire ne sert pas aussi bien l'intrigue et le nombre important de personnages fini par être lassant. Et pourtant, c'est une recette que j'ai adoré dans "Le dernier des Baltimore". Quand un auteur trouve une ficelle, l'utiliser dans ses livres n'est pas à tous les coups une réussite. Dommage.
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Vacances de Pâques 2013 : j'avais loué pour une semaine un gîte dans les Vosges. Au programme : randonnées et visites. J'emporte dans mes valises La Vérité sur l'affaire Harry Quebert. Quelle erreur ! Impossible de décoller de mon bouquin ! Je n'ai qu'une hâte : rentrer pour lire. Rien d'autre ne m'intéresse… (déjà qu'en temps normal, les randos...) Maintenant, je suis prudente : quand je pars découvrir une région, je veille à n'emporter que des livres pas trop prenants, autrement, autant que je reste chez moi !
Alors quand j'ai su que Joël Dicker venait de publier La Disparition… je me suis ruée dessus…
Autant le dire tout de suite : je suis très déçue et ce, pour plusieurs raisons. Tout d'abord, je trouve que les personnages (inutilement nombreux à mon sens) sont vraiment caricaturaux : on a l'impression d'esquisses insuffisamment travaillées et manquant cruellement de profondeur psychologique, de fantoches stéréotypés ! Certains d'entre eux touchent même parfois franchement au burlesque tellement ils sont outrés ! du coup, impossible de s'attacher à eux ou de ressentir la moindre émotion à leur égard. Ils sont vivants, tant mieux pour eux, ils meurent, bof, on s'en moque un peu !
Par ailleurs, trop souvent, les situations, archi-convenues, relèvent du cliché. Les dialogues sont plats « comme des trottoirs de rue » (c'en est drôle parfois!)
Et l'on ne croit pas une seconde à cette histoire boursouflée de partout et complètement invraisemblable ! L'auteur dit dans certaines interviews que ce n'est pas un polar… Ça se discute, mais ce qui est vrai, c'est que parfois on a plutôt l'impression d'être dans un vaudeville, voire dans une farce ! On passe finalement du plat à l'outrancier… Étrange comme impression...
Et puis, il y des « trucs » franchement insupportables, notamment les scènes racontées par un personnage et, chapitre suivant, inutile flash-back, on assiste à ladite scène qui a eu lieu vingt ans plus tôt. Bon, une fois, ça va, on a compris…
Quant aux répétitions, d'adjectifs notamment, elles sont légion ! Il m'aurait demandé, le gars Joël, que je les lui aurais soulignées, moi, avec mon stylo rouge de prof !
Et cependant, je reste bien persuadée que le scénario de base n'était pas mauvais et qu'il eût été possible d'en faire un roman intéressant, peut-être en le dégraissant, en approfondissant la dimension psychologique des personnages ou en travaillant davantage l'écriture des dialogues, notamment...
C'est trop long, on sent parfois un côté « remplissage ». (C'est encore la prof qui suppose que l'élève n'avait plus rien à dire, mais comme il fallait atteindre un certain nombre de pages pour avoir la moyenne….)
Je suis sans doute sévère, mais c'est à la hauteur de ma déception.
Cela dit, même si j'ai eu un petit coup de mou au bout de la centième page, j'ai poursuivi ma lecture et j'avoue que, malgré tout, l'intrigue m'a portée jusqu'au bout ! Donc, malgré les réserves énoncées plus haut, La Disparition reste tout de même un page-turner efficace...
Les seuls personnages qui m'ont fait rire et dont j'ai aimé la description sont les grands-parents de Jesse Rosenberg (souvenez-vous, ceux qui disent tout le temps : « Bande de petits cons » ou « C'est de la merde » ; là, j'avoue que le comique de répétition m'a fait marrer) - c'est un chapitre d'ailleurs complètement délirant et qui n'est pas tout à fait dans le même registre que le reste de l'oeuvre, peut-être parce qu'il y a de l'humour... (p 489 à 499)
Bon, mais je me connais... tout cela ne m'empêchera certainement pas de me jeter sur le prochain roman de Dicker…
(Avec tout ça, j'ai complètement oublié de vous dire de quoi ça cause ! Tant pis, au moins, on ne pourra pas m'accuser d'avoir divulgâché l'intrigue...)
Lien : http://lireaulit.blogspot.fr/
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Un très bon roman policier mais il y a pas mal d'incohérences, c'est tiré par les cheveux, et pourtant ça commence bien.
La lecture est addictive comme on dit maintenant, mais c'est vrai.
C'est la fin qui m'a déçue. Je m'attendais à autre chose. Et puis, il faut suivre car parfois c'est invraisemblable. Surtout le passage de la pièce de théâtre de Kirk aux répliques complètement débiles, mais aussi Steven qui s'en sort trop bien.
Dommage car ça aurait pu être mieux.
Mais que demander de plus à un roman policier que de nous distraire ?
Et ici, ce roman fait le job, c'est tout ce que je lui demande.
Je savais bien que ce ne serait pas Proust !
Donc, pas de grosse déception.
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Enfin terminé ! J'ai sérieusement lutté pour terminer ce livre, j'aurais dû abandonner, une vraie perte de temps.
Roman tout simplement grotesque : rebondissements à répétition, incohérence dans l'histoire, style d'écriture difficile à suivre, personnages superficiels et non crédibles. Par moment, j'avais l'impression que l'auteur écrivait un roman policier absurde...écrire pour écrire sans aucun souci de captiver le lecteur. Je me suis sentie non respectée en tant que lectrice.
Je me demande comment monsieur Dicker a fait pour écrire un si long roman vide de sens . Dommage j'avais tellement aimé "Les derniers jours de nos pères".
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Ayant apprécié "La vérité sur l'affaire Harry Québert", je m'attendais à retrouver le même plaisir de lecture avec ce roman. Et bien non ! J'ai eu l'impression de lire un banal Lévy ou Musso : aucun style, des platitudes, des personnages peu (voire pas) attachants, une histoire très classique, des retournements de situations très attendus et assez mauvais, le tout sans oublier un enchaînement de phrases clichés, une histoire d'amour bidon, un mystère complètement nul...

Le livre, qui est un sacré pavé, propose des chapitres qui se passent en 2014 et d'autres en 1994, avec les voix de plusieurs protagonistes, afin de résoudre plusieurs meurtres qui ont eu lieu à ces 2 époques. le point de départ de l'histoire pourrait être intéressant, mais dès le début, on a le droit au cliché du personnage qui sait quelque chose mais évidemment ne le dit pas tout de suite, histoire d'avoir le temps de mourir (mais pas avant d'avoir semé quelques indices un peu partout, comme une personne normale) avant de révéler la vérité ! Ensuite, certains personnages introduis dans l'histoire m'ont paru complètement inutiles, de nombreux passages sont allongés à l'extrême avec des phrases qui ne semblent être là que pour faire du remplissage, et globalement je n'ai pas réussi à m'intéresser à l'histoire. Je me suis pourtant forcée à lire jusqu'au bout, mais sans pouvoir m'empêcher de lire à haute voix pour ma famille les passages niais, redondants, clichés et j'en passe ; ce qui, vous vous en doutez bien, m'a pris énormément de temps.

En bref, ce livre a été une belle déception par rapport au souvenir que j'avais du premier livre de l'auteur. Ici, on retrouve un roman fade et sans saveur, qui ne me laissera aucun souvenir !
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1994, un quadruple meurtre a lieu dans la petite ville balnéaire d'Orphea. Vingt ans plus tard, une journaliste enquête sur ce meurtre, persuadée que le coupable désigné par la justice n'était pas le bon. Cette journaliste, c'est Stephanie Mailer. Et elle-même disparaît. Voilà le point de départ de cette enquête passionnante de Joël Dicker. Eh bien oui, moi je l'ai trouvée passionnante et je n'arrivais pas à lâcher ce livre, contrairement à ce que j'ai lu dans de nombreuses critiques après ma lecture (heureusement que je ne les ai pas lues avant). Passionnante car pleine de rebondissements, de nouveaux personnages qui apparaissent et apportent leur lot de mystère, leurs histoires, qui s'entremêlent mais sans que le récit ne devienne incompréhensible. Car Joël Dicker sait parfaitement doser le suspense et les rebondissements. Alors c'est vrai, il y a parfois des incohérences, de gros clichés, mais qu'importe, je me suis régalée, comme du reste avec le livre des Baltimore et La vérité sur l'affaire Harry Québert. Il faut croire que je suis un bon public pour du Joël Dicker.
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