AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,17

sur 29324 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Du facile-à-lire sans prétention qui aurait pu être agréable, avec un style fluide et une intrigue crédible.
Malheureusement, plus les retournements de situation s'enchaînent, moins l'enquête reste consistante. Je l'ai fini avec beaucoup de lassitude.
Commenter  J’apprécie          10
On parlait d'un chef d'oeuvre mais je ne suis beaucoup ennuyé en lisant ce roman : le style est trop poussif à mon goût et cela manque cruellement de souffle littéraire. Néanmoins, le découpage de l'histoire est bien faite et la trame générale apporte beaucoup de suspens au roman. Je n'adhère malheureusement pas au style Dicker qui profite pour beaucoup d'un enfumage médiatique.
Commenter  J’apprécie          30
Autant l'intrigue est intéressante et bien ficelée autant les sentiments exprimés par deux personnages principaux sont « nian nian » et finissent par énerver passablement.
Lecture mitigée en finalité.
Disons qu'il mérite d'être lu au moins pour l'intrigue.



Commenter  J’apprécie          20
Beaucoup de suspens et de rebondissements en effet. Mais la fin n'a ni queu ni tête, ça part dans tous les sens... 3eme roman de cet auteur pour ma part, et 3eme fois que je suis déçu...
Du commercial comme Musson ou Levy... Bref, la littérature d'aujourd'hui
Commenter  J’apprécie          00
Une lecture addictive certes

Mais un scénario très peu original, des dialogues vides et affligeants, des personnages clichés, stéréotypés, auxquels s'ajoute une vision genrée assez problématique, une histoire d'amour mièvre et beaucoup de répétions.
Commenter  J’apprécie          00
Emprunté dans un hôtel à l'étranger.
Hé ben ! Il s'en passe de belles dans ce roman !
S'il n'y a pas forcément la qualité, il y a la quantité, ça c'est sûr...
Bon bref, ça passe le temps...
Par contre, ce qui est beaucoup plus gênant à mon sens, c'est le traitement que Joël Dicker fait subir à la pauvre mère juive du héros (héros d'un fade...),une caricature comme on n'en fait plus depuis que j'ai vu "Comment devenir une mère juive en 10 leçons" et encore dans cette pièce, c'était drôle, dans ce livre ça se veut drôle, c'est juste malaisant.
Et ce livre a reçu le "Prix Goncourt des lycéens" et le "Grand Prix de l'Academie Francaise".
Le premier, je peux comprendre, mais alors le second...
Commenter  J’apprécie          124
Bon sang mais pourquoi les amis vous offrent ils des livres?
Le choix n'était pourtant pas idiot: un roman deux fois primé, vendu à des millions d'exemplaires, et bientôt adapté en série (dixit la quatrième de couv) ! On risque pas grand chose...
Hé ben si. L'académie française nous a bien eu.

D'accord ce roman n'est pas nul, l'intrigue est bien construite, et on se prend rapidement au jeu de trouver le coupable dans le défilé des personnages digne d'un bon Agatha Christie.
Mais le décor est trop visible, les acteurs jouent faux et sont caricaturaux à l'excès. le bon flic bourru qui cache un coeur d'or, la tenancière outrancière, l'éditeur sans scrupule, la mère insupportable... , on finit par se lasser.
L'histoire d'amour est d'une mièvrerie qui laisse pantois et les extraits généreusement fournis de "l'oeuvre magistrale" de Harry Quebert d'une rare indigence.
Certains détails de l'enquête de Marcus relèvent du club des cinq ("oh la la, il faut que j'aille vite aux toilettes! je vais en profiter pour fouiller la maison du suspect! ").

Bref j'ai décroché trop souvent pour y croire, et c'est bien dommage.
Comme la mise en abyme est un peu le fil conducteur du roman, et fait en partie son originalité, je me demande si Joël Dicker n'a pas fait comme son héros, et écrit son roman sous la pression et au dernier moment, en bâclant certains passages...


Commenter  J’apprécie          110
Je n'ai pas vraiment détesté, mais pas du tout adoré non plus, n'en déplaise à la bonne note reçue par ce bouquin.

D'abord, il est très américain. Dès les premières lignes, on sent qu'on est aux Etats-Unis, avec des phrases entre Rocky et Karaté Kid, motivation, développement personnel et comme symbole ultime de réussite les contrats à un million de dollar. Il est clair qu'ici, chef-d'oeuvre rime avec gros biftons (ça ne rime pas, mais on a l'idée).

Ensuite, le coeur de l'intrigue est quand même la relation pédophile (n'ayons pas peur des mots) entre Harry (34 ans) et la petite Nola de 15 ans. Certes, Marcus est ami avec Harry et je comprends qu'il lui garde son amitié malgré ce qu'il sait, mais quand même, aller jusqu'à écrire un bouquin pour le défendre, c'est un peu gros.

Enfin, j'ai trouvé le tout très (très très) long. J'ai plusieurs fois décroché en me demandant où il voulait en venir, et même de quel genre était le bouquin que j'avais entre les mains. Suspense ? Roman d'amour ? L'histoire d'un écrivain en panne d'inspiration qui finit par trouver l'histoire en or ? A la fin, j'ai pigé (il m'a fallu le temps me direz-vous), mais en cours de route, j'ai failli me perdre 10 fois.

Bref, même si une de mes amies me l'avait chaudement recommandé (ce qui m'a poussée à le terminer), même s'il a remporté plusieurs prix (dont le grand prix du roman de l'académie française), j'ai du mal à comprendre ce qui vaut un tel engouement. Quant à moi, je vais gentiment passer à autre chose.
Commenter  J’apprécie          92
Le livre est tellement connu que j'avais envie de voir ce qu'il en était vraiment.
Le début était prometteur : le cadre intéressant, les personnages riches et une intrigue policière bien mystérieuse...
Plus j'avançais, plus le roman se "fissurait" :
- Des longueurs à n'en plus finir. L'auteur reprend des scènes pour les compléter et ce plusieurs fois... Cela devient vite pénible.
- La qualité du texte : les dialogue sont d'une mièvrerie insupportable. Franchement, même si ce n'est pas censé être de la grande littérature, il y a un minimum.
- La bêtise des personnages. .
En bref, ce roman a été une grosse déception.
Commenter  J’apprécie          279
On tient le pompon en matière de très mauvais best-seller ovationné et récompensé (Prix Goncourt des lycéens 2012, Grand Prix du roman de l'Académie française).
Comme dirait le défunt et très regretté Jean-Pierre Coffe : « C'est de la merde ! »
C'est un pavé de plus de huit cents pages dont la médiocrité de l'auteur dégouline un peu plus à chaque chapitre, du moins pour les deux cents premières pages car ma lecture n'est pas allée au-delà. L'auteur, qui, sans doute, s'est identifié à son héros, puisqu'il est question d'un écrivain qui a connu un immense succès littéraire, nous décrit en long, en large et en travers, les tourments du syndrome de la page blanche que connaissent beaucoup d'auteurs.
Il n'y a pas l'accroche qu'ont tous les bons polars, du moins ceux dignes de ce nom, et qui transporte le lecteur de bout en bout de l'histoire. Ici, seul l'ennui nous traine péniblement d'une page à l'autre.
C'est très mauvais : lecture arrêtée à la page 208, une alternative : l'autodafé ou la reprise de la lecture dans un élan de compassion béate.
Editions de Fallois, Poche, 855 pages.
Commenter  J’apprécie          4313





Lecteurs (69694) Voir plus



Quiz Voir plus

Savez-vous la vérité sur l'affaire Harry Quebert ?

Que sont Harry et Marcus ?

père et fils
frères
amis
collègues de travail

24 questions
2486 lecteurs ont répondu
Thème : La Vérité sur l'affaire Harry Quebert de Joël DickerCréer un quiz sur ce livre

{* *}